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11/07/2010

Message du président du Vlaams Belang pour la fête nationale flamande.

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En ce 11 juillet 2010, jour de la fête nationale flamande, le Président du Vlaams Belang Bruno Valkeniers a redigé un message au sein duquel il demande que la prochaine reforme de l´Etat belge aille plus loin dans le sens des attributions de compétences aux régions.

09/07/2010

L'assassin de Theo van Gogh n'a pas eu une seule minute de regrets depuis 2004.

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Pays-Bas. Mohammed Bouyeri, l’assassin du réalisateur Theo van Gogh, n’a pas une seule minute de regrets depuis les faits qui se sont déroulés en novenbre 2004. C’est ce qu’il a écrit dans une lettre envoyée à la Fraternité musulmane Sanabi en Belgique.

Le chef  de file du PVV, Geert Wilders, a écrit au ministre de la justice des Pays-Bas afin de lui demander d’empêcher les contacts entre cet assassin condamné à la prison à vie et des groupes musulmans radicaux.

Silvio Berlusconi : "ou la ‘manœuvre’ financière passe, ou nous rentrons tous à la maison".

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« L’annonce de Silvio : ‘ou la ‘manœuvre’ financière passe, ou nous rentrons tous à la maison’ » (Antonio Vanuzzo, Il Riformista) :

« Lors d’un entretien télévisé sur Italia 1, S. Berlusconi a qualifié la loi de finances rectificative d’‘acte de courage’, affirmant ‘si la loi ne passe pas, le gouvernement s’en ira’. Le président du Conseil s’est référé aux données diffusées hier par le FMI, qui a légèrement revu à la hausse ses estimations sur le PIB italien pour 2010 (de +0,8% à +0,9%) mais avec une légère baisse du taux de croissance pour 2011 (de +1,2 à +1,1%). ‘Les dernières données économiques’, a expliqué Berlusconi, ‘confirment la ligne du gouvernement ; la reprise est en cours, et sera beaucoup plus solide grâce à une politique de rigueur dans la dépense et les comptes publics’. A Rome, hier, la commission Budget du Sénat a poursuivi l’adoption de nombreux petits amendements sur la ‘manœuvre’, laissant de côté le vrai problème, les coupes budgétaires des régions. Sur ce front, rendez-vous est pris pour aujourd’hui : les responsables des collectivités territoriales examineront avec le gouvernement les coupes imposées par la loi de finances rectificative. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

L'UDC revendique le siège devenu vacant au Conseil fédéral.

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Nous avons parlé sur ce blog, à plusieurs reprises, du fait que l’UDC Suisse, qui doit obtenir deux postes de conseiller fédéral (ministre), s’est retrouvé sans conseiller fédéral, puis en a récupéré un et tente depuis lors d’obtenir le deuxième siège de ministre qui lui revient.

 

Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix : 

 

L'UDC a pris acte de la démission annoncée du conseiller fédéral Moritz Leuenberger. Ce départ aurait dû intervenir depuis longtemps. En avril dernier, la direction de l'UDC Suisse avait déjà décidé de faire valoir le droit clairement établi du parti à un deuxième siège au Conseil fédéral, indépendamment du fait que le démissionnaire soit socialiste ou radical. Conformément à la règle de la concordance, l'UDC a droit, plus que tout autre parti politique, à un deuxième siège au gouvernement.

 

L'UDC a toujours respecté la concordance. Ayant recueilli 28,9% des suffrages aux dernières élections au Conseil national, l'UDC est de loin le premier parti de Suisse. Le PS suit avec 19,5%, le PLR avec 17,7% et le PDC avec 14,5%. C'est dire que le droit de l'UDC à deux sièges au Conseil fédéral est mieux établi que celui de tout autre parti. L'UDC est aujourd'hui clairement sous-représentée avec seulement un siège au gouvernement. Par conséquent, elle réclame pour elle le siège devenant vacant à la suite du départ de Moritz Leuenberger. Il appartiendra aux organes compétents du groupe parlementaire et du parti de choisir le candidat de l'UDC.

Deux députés du BZÖ ne participent pas à l'investiture du président autrichien.

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Lors de la cérémonie d’entrée en fonction du président de la République autrichienne, les Députés du BZÖ Stefan Petzner et Gerald Grosz étaient absents. Ils ont pris cette décision parce qu’ils sont favorables à la suppression de la fonction de président de la République.

08/07/2010

Vienne: une scission du BZÖ va soutenir les sociaux-démocrates.

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L’Initiative Wiener Bürger (Initiative de Citoyens de Vienne) est une scission du BZÖ, le parti fondé en 2005 par Jörg Haider. Ce mouvement, qui compte 800 membres et sympathisants, ne se présentera pas lors des élections à Vienne mais soutiendra le Maire sortant social-démocrate (SPÖ), candidat à sa réélection,  Michael Häupl. Dans le quartier de Floridsdorf, ce mouvement soutiendra le maire de quartier (SPÖ) Heinz Lehner. Ce dernier déclare : « Je me réjoui de chaque soutient - de chaque citoyen qui s’intéresse à la politique - peut-importe la raison qui l’a amené au SPÖ. »

 

Deux autres mouvements issus de la scission du BZÖ, le Freies Bündnis Zukunft et la liste de citoyens de Hans-Jörg Schimanek, n’ont pas encore décidé si ils allaient se présenter aux élections pour le Parlement du Land de Vienne.

Le nouveau nationalisme russe.

Le livre Le nouveau nationalisme russe de Marlène Laruelle est un ouvrage intéressant. Il nous décrit l’évolution politique de la Russie et contient de nombreuses informations à propos des différents partis politiques qui jouent la carte du nationalisme en Russie.

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Berlusconi isole Fini.

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« Le président du Conseil isole Fini et met le gouvernement à l’abri des surprises » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

« L’éloignement entre G. Fini et le PdL se précise, sans que l’on entrevoie cependant le moment exact de la rupture définitive. Dans ses rencontres d’hier avec les dirigeants du centre droit, Berlusconi l’a liquidé d’un ‘Fini n’existe plus’ mais l’exigence de ne pas exacerber la tension avec le Quirinal retarde le moment du règlement de comptes. Le silence du président de la Chambre face au communiqué conjoint de Berlusconi et Tremonti – annonçant le vote de confiance sur la ‘manœuvre’ financière à la Chambre comme au Sénat – trahit son irritation : il sait parfaitement que la demande de confiance est un défi qui lui est lancé. Le gouvernement le met face à une contradiction qui lui a déjà été reprochée ces dernières semaines : celle d’être à la fois le chef d’une minorité interne du PdL et d’avoir le troisième personnage de l’Etat au sens institutionnel – et, par conséquent de devoir choisir. L’initiative tend à le faire apparaître comme marginal et privé de poids véritable. Les marges de manœuvre au Parlement tendent à devenir nulles et le centre gauche se plaint de l’absence de toute possibilité de discussion. Le vote de confiance aura lieu jeudi 15 au Sénat, puis ce sera le tour de la Chambre. A cette occasion, on pourra mesurer la distance qui sépare G. Fini de ces gens qu’il sent de moins en moins comme faisant partie de la même majorité que lui, un sentiment que partage sans état d’âme le PdL. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le président du BNP recommande Geert Wilders pour le prix Sakharov.

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Le président du BNP, Nick Griffin, recommande Geert Wilders pour le prix Sakharov. Il propose Geert Wilders pour son combat inlassable en faveur de la liberté d’expression, contre l’islamisation et l’immigration de masse et son opposition aux attaques gauchistes à l’encontre des valeurs de la civilisation occidentale en vue de détruire l’Europe de l’intérieur. Et cela malgré le fait que la justice néerlandaise le persécute pour son courageux travail.

 

Selon Nick Griffin, le Parlement européen devrait donner un signal en attribuant à Geert Wilders le prix Sakharov 2010 afin de dire qu’il ne tolérera plus des attaques aussi monstrueuses à l’encontre de la liberté d'expression et le droit des citoyens de défendre les valeurs qui sont indéniablement les pierres angulaires de la société au sein de laquelle ils vivent.

Le 11 novembre 2010 : 4ème journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale.

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Une date à retenir :

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PARIS - FORUM DE GRENELLE
JEUDI 11 NOVEMBRE 2010

LA 4ème JOURNEE

 

NATIONALISTE & IDENTITAIRE

ORGANISEE PAR

SYNTHESE NATIONALE

07/07/2010

Pas question de préparer l'adhésion à l'UE - l'UDC rejette un accord-cadre avec l'UE.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

La prise de position en politique européenne que les gouvernements cantonaux ont adoptée aujourd'hui donne une impression ambiguë. Les cantons s'engagent certes pour la poursuite de la voie bilatérale, mais exigent en même temps la conclusion d'une convention bilatérale avec l'UE. Pour l'UDC, il est évident que la signature d'une telle convention pour régler des questions institutionnelles ouvrirait la voie à un accord-cadre matériel. Le Conseil fédéral a lui aussi évoqué cette possibilité qui constitue en réalité une nouvelle étape vers l'adhésion de la Suisse à l'UE. L'UDC rejette avec la même détermination diverses autres propositions cantonales comme un ancrage de la politique européenne dans la Constitution fédérale ou encore l'introduction d'une cour constitutionnelle en Suisse.

Bruxelles continue malgré tout d'exercer une attraction quasi magique sur les autorités suisses. Comme le Conseil fédéral et l'administration, les gouvernements cantonaux ne ratent aucune occasion pour tenter de pousser la Suisse dans l'UE. Les chants à la gloire de l'UE poussés régulièrement par l'ambassadeur UE Reiterer - comme aujourd'hui dans le quotidien zurichois NZZ - ne semblent pas rester sans effet sur ces milieux.

L'UDC exige que les rapports entre la Suisse et l'UE continuent de passer par des accords bilatéraux individuels. Ces traités doivent régler des objets clairement définis et intéressant les deux parties. En revanche, l'UE s'oppose catégoriquement à tout rapprochement institutionnel de l'UE. Un accord-cadre servirait avant tout à préparer l'adhésion de la Suisse à l'UE. Il serait au contraire temps que le Conseil fédéral retire enfin la demande d'adhésion déposée à Bruxelles. Faut-il rappeler qu'une entrée de la Suisse dans l'UE aurait pour conséquences la suppression de la démocratie directe, une baisse des salaires, une hausse du chômage, un renchérissement des loyers, des taxes et redevances encore plus lourdes ainsi qu'une versement obligatoire de plusieurs milliards de francs par an à Bruxelles?

La cour constitutionnelle, que les cantons suggèrent d'introduire en Suisse pour vérifier la constitutionnalité de lois fédérales affectant le principe de la subsidiarité, doit également être rejetée. Provoquant l'émergence d'un Etat de juges et restreignant les droits démocratiques, cette proposition aurait même du mal à trouver une majorité auprès des cantons.

Le Vlaams Belang Jongeren organise une université d'été.

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Le Vlaams Belang Jongeren (Jeunesses du Vlaams Belang) organise son université d’été du 17 au 24 juillet 2010 dans la Province du Limbourg (Belgique).

La réunion est ouverte aux membres du Vlaams Belang Jongeren qui ont entre 16 et 35 ans inclus.

Berlusconi : "le PdL aura le dessus sur les courants internes".

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« Berlusconi : réunion avec les anciens de Forza Italia : ‘le PdL aura le dessus sur les courants internes’ » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) :

« Berlusconi a convoqué hier le cercle restreint des dirigeants qui étaient à ses côtés au sein de Forza Italia. Il a lancé un dernier avertissement à G. Fini, qui paraît cependant s’adresser aussi à tous les berlusconiens en train de fonder un défilé de courants divers et variés : ‘maintenant, la vieille politique, ça suffit’. C’est en quelque sorte un ‘cabinet de guerre’ qui s’est réuni en vue, surtout, de solder définitivement les comptes avec les finiens : les fidèles La Russa et Gasparri, anciens d’AN, n’y étaient pas, alors qu’étaient présents les coordinateurs Bondi et Verdini, les responsables de groupe Cicchitto et Quagliariello, le ministre Alfano et le conseiller juridique Ghedini. Après deux heures de discussion, un communiqué très sec a répété le leitmotiv berlusconien des dernières semaines : ‘le PdL est né en tant que mouvement populaire, expression directe des électeurs, pour unir toutes les traditions politiques du centre droit et avoir ainsi le dessus sur la vieille partitocratie et la vieille logique des courants, d’où qu’ils proviennent’. »

« Les tensions au sein du PdL mettent tout le centre droit en péril » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

« Il est vrai que ‘les dissensions au sein de la majorité ne proviennent que d’une minorité’ face à une ‘énorme majorité’ numérique, comme dit P. Bonaiuti. Mais, politiquement, le PdL prend des coups qui pourraient remettre en cause son identité et suggérer de nouvelles solutions, et Berlusconi le sait bien. La multiplication des groupes en son sein est un symptôme de la crise qui touche tout le centre droit, au-delà des tensions avec Fini. Elle confirme le sentiment que le centre droit est habité par des projets et des ambitions trop différents pour que la cohabitation dure encore longtemps. Au sein du centre droit, on paraît s’affronter sans craindre la rupture : l’opposition est faible et il ne semble pas y avoir d’alternative ; l’idée selon laquelle le PdL ne serait que temporaire, victorieux en 2008 et pourtant précaire dans l’esprit même de ses fondateurs, va grandissant. A ce stade, la question n’est plus de savoir si Berlusconi et Fini prendront des chemins différents mais quand et comment ils célébreront leurs adieux. Quand Formigoni menace de restituer ses pouvoirs au gouvernement, il officialise un affrontement avec le Palais Chigi et surtout avec Tremonti, et ce depuis la Lombardie, cœur du pouvoir berlusconien et léghiste. Les petites crises virtuelles qui se succèdent sans issue montrent que le centre droit a perdu son épicentre. Et la réunion d’hier avec les ex-Forza Italia démontre aussi, sans le vouloir, l’existence d’un courant berlusconien. Cette situation permet au gouvernement et au PdL de survivre mais sûrement pas, à ce stade, de faire face au reste de la législature avec confiance et détermination. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

06/07/2010

Geert Wilders pense que l’ancien informateur doit être licencié de sa fonction de président du Conseil d’État.

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Pays-Bas. Le chef du PVV, Geert Wilders, pense que l’ancien informateur, Herman Tjeenk Willink, doit être licencié de sa fonction de président du Conseil d’État et ne doit plus être choisi dans le futur en tant qu’informateur.

Le dirigeant du PVV est mécontent parce que son parti a été exclu des négociations en vue de la formation d'un gouvernement.

Tjeenk Willink a transmis lundi sa tâche à Jacques Wallage (PvdA / Parti social-démocrate) en Uri Rosenthal (VVD / Parti libéral de droite).

Une autre majorité ? Seulement si Bossi le veut.

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Pier Luigi Bersani est le secrétaire général du Parti Démocrate, le parti de centre-gauche, principal parti d’opposition.

« Une autre majorité ? Seulement si Bossi le veut » (Stefano Cappellini, Il Riformista) :
« Une nouvelle majorité se trouve en dix minutes », la boutade de PF Casini est redevenue d’actualité dans cette période délicate pour le gouvernement Berlusconi, alors que circulent à nouveau des rumeurs de remaniement. En réalité, il faut bien plus de minutes que cela pour rétablir les équilibres, et les élections anticipées restent de loin l’issue la plus probable. A moins que ce ne soit Bossi qui ‘débranche’ le Gouvernement. C’est en tout cas ce qu’espère PL Bersani, selon qui seul un revirement de la Ligue peut causer la chute de Berlusconi – il ne faut pas compter sur les finiens, trop faibles pour vraiment changer la donne. Fini lui-même admet que la Ligue est le seul acteur capable à ce stade de barrer la route à Berlusconi. Si Bossi choisissait cette voie, ce ne serait pas en raison d’affinités avec l’opposition, mais par simple pragmatisme : si pour l’heure le gouvernement Berlusconi est le plus apte à garantir les progrès du fédéralisme, il n’en sera pas forcément toujours ainsi. La crise de la droite induit une baisse de popularité qui complique l’hypothèse d’élections anticipées, surtout pour une Ligue qui veut avant tout voir avancer la réforme fédérale. Combien de temps encore la Ligue peut-elle tolérer que son unique objectif soit menacé par les embardées de la majorité ? Voilà pourquoi c’est à Bossi que s’est adressé Bersani pour qu’il ‘lâche le milliardaire’, en disant toute l’importance que le PD attache au fédéralisme. La vision du PD est claire : Fini peut se répandre dans les journaux, seul Bossi peut désarçonner pour de bon le Cavaliere. »

« La ‘double percée’ de Berlusconi : un pacte avec Tremonti et le cas Brancher réglé. Reste le problème de la relation avec Fini » (Paola di Caro, Corriere della Sera) :
« Les proches de Berlusconi ont jugé ‘très positive’ la journée d’hier. Il a affronté, il est vrai il, et en partie réglé deux gros problèmes qui gênaient l’action de son gouvernement : la ‘bombe’ Brancher et la ‘manœuvre’ budgétaire. Reste donc ‘seulement’ comme point d’interrogation la relation avec Fini – celle avec le Quirinal ayant été consolidée par la démission du ministre pour la Décentralisation offerte sur un plateau d’argent. Un divorce plus ou moins consensuel se profile et les hypothèses de face-à-face virulent entre les deux hommes s’éloignent. En gros, tout peut encore arriver, y compris que Berlusconi rappelle à l’ordre le parti sur le thème de l’unité, demandant que soient dissous fondations, courants et associations divers et variés, comme l’a proposé La Russa. Ou ce sera le temps de l’attente, chacun continuant d’étudier les actions de l’autre. En quête de la possibilité d’un échec et mat – que nul n’a encore trouvée. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Les chefs de file du Vlaams Belang à la Chambre et au Sénat sont désignés.

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Belgique. Les 150 députés du Parlement national et 40 sénateurs élus directs ont prêté serment. Gerolf Annemans a été confirmé en tant que chef de file du groupe parlementaire du Vlaams Belang à la Chambre et Jurgen Ceder dirige le groupe parlementaire du parti au Sénat.

H-C Strache dénonce l'absence de transparence lors de la vente de la banque Hypo Alpe Adria.

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Autriche. Vienne. Le chef de file du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a tenu aujourd’hui une conférence de presse afin de dénoncer la vente « non-transparente » de biens immobiliers « de haute exclusivité » de la banque Hypo Alpe Adria.
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Hypo Alpe Adria est un groupe bancaire dont le siège se trouve à Klagenfurt, capitale de la Carinthie. Il a du être sauvé, lors de la crise bancaire, en 2009, par l’État autrichien.

Ce ne sont pas, selon HC Strache, ceux qui ont fait la meilleure offre qui ont emporté ces biens immobiliers, cela alors que la banque a reçu de l’argent public afin de surmonter ses difficultés financières. Parmi ces biens figurent le château de Velden, le Lampl-Hof am Wörthersee, des participations au sein de l’hôtel Congress à Villach et des terrains de golf.

Des personnes proches des deux partis du système, le Parti social-démocrate et le Parti conservateur, ont emporté la mise, sans être placées en concurrence avec des acheteurs qui proposaient plus pour emporter la vente. Le fils de l’ancien Chancelier social-démocrate Franz Vranitzky aurait ainsi acquis un terrain de golf.

L’invertisseur grec Vasilieos Xeniadis a été écarté alors qu’il proposait de racheter la banque et disposait d’une garantie bancaire de deux milliards d’euros de la Hongkong and Shanghai Bank Corporation. Si Vasilieos Xeniadis avait été autorisé à racheter la banque, l’État autrichien aurait économisé 900 millions d’euros.

La nationalisation de la banque Hypo Alpe Adria en décembre 2009 a permis au Parti conservateur (ÖVP) de faire tomber la banque au sein de son domaine d’influence et de catapulter l’ancien Ministre ÖVP Johannes Ditz au poste de président du Conseil d’administration.

Leefbaar Rotterdam propose le choix des priorités de la police.

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Pays-Bas. Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante) désire que chaque habitant de Rotterdam puisse déterminer, via internet, quelle priorité la police doit suivre dans son quartier.  Un top 3 des priorités doit être établi. Selon Leefbaar Rotterdam, un tel système fonctionne déjà au Royaume-Uni.

L'UDC Genève entreprend son grand nettoyage.

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Voici un article de TSRinfo.ch. Rappelons que l’UDC de Genève est en concurrence avec le MCG.

Le conseiller national et vice-président de l'UDC genevoise Yves Nidegger est concerné par cette réorganisation des instances dirigeantes du parti. - Laurent Gillieron [Keystone]

Le comité directeur de l’UDC Genève sera complètement remanié, révèle la RSR mardi. Le président Eric Leyvraz et le vice-président Yves Nidegger sont notamment concernés par ces changements, qui doivent encore être confirmés par une assemblée générale extraordinaire du parti.

Quatorze signatures sur les 30 requises ont été récoltées au sein de l'UDC Genève pour la mise sur pied rapide d'une Assemblée générale extraordinaire. Cette réunion aura pour objectif principal de remplacer l'ensemble du Comité directeur actuel, composé notamment d'Eric Leyvraz (président) et d'Yves Nidegger (vice-président).

Une nouvelle équipe de sept personnes a d'ores et déjà été constituée pour tenter de remplacer l'ancienne. Elle comprend Ludwig Müller (président), Jacques Pagan (vice-président), Xavier Schwitzguebel (vice-président), Pascal Rubeli (membre), Patrick Lussi (membre), Thomas Bläsi (membre) et André Pfeffer (trésorier). Il a été décidé de laisser deux places ouvertes afin que d'autres candidats puissent se présenter. L'ensemble des membres de l'UDC se prononcera sur la nouvelle équipe proposée lors de l'Assemblée générale extraordinaire.

Ramener le calme

Contacté par la RSR, le président des jeunes UDC genevois, Xavier Schwitzguebel, estime que le nouveau Comité directeur permettra de ramener le calme et la paix dans les esprits au sein de l'UDC Genève. "L'actuel comité directeur n'était plus assez présent auprès des membres. Beaucoup ont claqué la porte du comité récemment, ce qui a créé un certain flottement. Toutes les tendances du parti n'y étaient plus représentées", estime-t-il. Xavier Schwitzguebel a bon espoir de pouvoir organiser cette assemblée extraordinaire à la fin août. "Le plus tôt sera le mieux, car les élections approchent".

La nouvelle équipe a déjà mis sur pied un programme en 8 points qui sera présenté lors de la prochaine réunion du parti: restaurer la collaboration entre les membres, les élus et la direction du parti; revenir à des statuts démocratiques; donner plus d'autonomie aux sections sur le plan financier et organisationnel; respecter les engagements financiers des élus envers le parti; mettre sur pied une organisation interne en vue des prochaines échéances électorales; établir un budget de fonctionnement; rétablir une communication transparente à l'interne comme à l'externe.

Le président de Plateforme pour la Catalogne présente son livre.

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Josep Anglada, le dirigeant de Plateforme pour la Catalogne (PxC), organise des présentations de son  livre, paru récemment, «Sin Mordaza y sin velos» en différents endroits de Catalogne.
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Le livre de Josep Anglada «Sin Mordaza y sin velos».

05/07/2010

Bavière : interdiction totale du fumer dans les restaurants.

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Allemagne. Les électeurs bavarois se sont prononcés en faveur d’une interdiction totale de fumer, sans exceptions, dans les lieux publics, dans les bistrots et restaurants. Jusqu’à présent, les restaurants disposants d’un espace séparé pour fumeurs ou les chapiteaux à bière rendaient possible le fait de fumer dans un endroit où des personnes mangent et boivent.

Autriche. Les présidents du FPK et du BZÖ ont demandé que le peuple puisse s’exprimer par un vote sur la question.

Pro NRW à Aix-la-Chapelle.

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Un ancien cadre du parti du Juge Schill, le Commissaire principal de police Wolfgang Palm, a été élu à la tête de la section de pro-NRW de l’arrondissement d’Aix-la-Chapelle (Aachen). Il a 54 ans.

Les vice-présidents ont également été élus : la juriste Gabriele Mathieu et Klaus Märtin. Eberhard Stolz est le trésorier. Jean Marie Francois devient secrétaire.

(Pour plus d’informations sur le parti de l’ancien Juge Schill, voir l’article que j’ai publié dans Synthèse nationale N°15).

Le PVV monte encore dans les sondages.

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Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders a obtenu 24 sièges de député lors des élections du 9 juin 2010. Le dernier sondage Maurice de Hond donne le PVV à 33 sièges. Le PVV serait le premier parti des Pays-Bas.

Selon le même sondage, le Parti libéral de droite VVD qui a obtenu 33 sièges lors des élections n’en obtiendrait plus que 26.

Ces évolutions sont la conséquence de la gestion de la formation du futur gouvernement par les différents partis politiques. Lors de ce processus, le PVV de Geert Wilders a été traité comme un paria.

Yvan Perrin reste vice-président de l'UDC Suisse.

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Voici un article de TSRinfo.ch :
 
Le vice-président romand de l'UDC Yvan Perrin accepte de conserver sa fonction jusqu'aux élections fédérales de 2011. En contrepartie, il a obtenu d'être épaulé par Jean-François Rime, le vice-président du groupe parlementaire, ainsi qu'une revalorisation du rôle de Claude-Alain Voiblet au secrétariat général.

"Il y a eu des discussions intenses en coulisses", a expliqué le conseiller national neuchâtelois. "Le consensus qui s'est dégagé est qu'il ne faut pas changer de vice-président avant les élections fédérales" de l'automne 2011.

Siège romand sans prétendant

Le temps à disposition pour entrer dans la fonction est trop court, selon Yvan Perrin. En outre, lors de la campagne électorale, "des acteurs auront l'occasion de se mettre en évidence et feront des candidats ou candidates à la vice-présidence acceptables et réjouissants. On aura le temps et plus de choix", a-t-il ajouté.

A ceci s'ajoute le fait qu'aucun Romand ne s'est annoncé pour briguer la vice-présidence du parti suisse depuis l'annonce d'Yvan Perrin de remettre son mandat. Une échéance avait été fixée au premier week-end de juillet et lundi à la mi-journée, aucune candidature n'était parvenue au secrétariat général, a ajouté le Neuchâtelois.

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Le vice-président et le président de l'UDC Suisse.

Fini et l’hypothèse de la séparation consensuelle.

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« Fini et l’hypothèse de séparation consensuelle » (Paola di Caro, Corriere della Sera) :

« La semaine qui commence pourrait être décisive pour le centre droit. Les problèmes les plus épineux – affaire Brancher, écoutes téléphoniques, loi de finances rectificative et relations avec Fini – devraient être affrontés, et le président du Conseil s’emploie à trouver des solutions dans les meilleurs délais. L’objectif de Berlusconi est clair : sortir plus fort de cette semaine, même s’il doit pour cela défier le monde entier. Hier, il semble avoir réglé l’affaire Brancher, avec la démission, demandée et obtenue, du nouveau ministre sans portefeuille pour la Décentralisation, et avoir évité ainsi un vote sur la motion de défiance qui aurait tenté les finiens – et provoqué le déraillement de la majorité. Sur le bureau du Cavaliere, il y a au moins trois autres dossiers en attente : manœuvre, écoutes, et, surtout, l’affaire Fini. Ce dernier est sans doute le plus difficile à résoudre. Comme proposé, officiellement, par le chef de groupe F. Cicchitto, on pourrait arriver à une ‘séparation consensuelle’ entre Berlusconi et Fini, prévoyant la naissance d’une sorte de fédération entre deux sujets politiques qui vivraient sous le même toit, celui du centre droit. Reste à comprendre ce que souhaite réellement Berlusconi, qui devrait rencontrer Fini très prochainement. Il semble partagé entre l’adieu ‘consensuel’ à son allié et l’envie de le chasser de la majorité, et de continuer avec les votes qui lui restent, probablement suffisants pour continuer, même si c’est avec grande difficulté. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)