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31/10/2009

Cologne : consternation parmi les représentants des partis du système.

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Consternation parmi les représentants des partis du système
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Le 29 octobre 2009, la séance constitutive du Conseil municipal de Cologne a amené une surprise. Jörg Uckermann, le candidat de pro Köln (Pour Cologne) au poste de maire-adjoint, a obtenu 6 voix, alors que pro Köln dispose de 5 élus. Un élu des partis du système a donné sa voix au candidat de pro Köln.

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Des représentants au sein de  différents organismes municipaux

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Grâce à ses cinq élus au Conseil municipal de Cologne, pro Köln obtient des représentants, avec droit de vote, au sein de différents organismes municipaux de Cologne.

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Cependant, le Conseil d’administration de la Caisse d’Épargne de Cologne a décidé de réduire le nombre de ses membres afin d’empêcher pro Köln d’y avoir un représentant.

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Proposition rejetée

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Le groupe d’élus du mouvement pro Köln au Conseil municipal de Cologne avait demandé au maire de Cologne de placer à l’ordre du jour de la prochaine réunion du conseil municipal de Cologne la demande de remise du prix Konrad Adenauer au social-démocrate Thilo Sarrazin. Celui-ci, membre de la direction de la banque centrale allemande, a fait preuve, selon pro Köln, de courage civil lorsqu’il a dénoncé la non-intégration des personnes d’origine non-européenne.

 

Cette proposition a été rejetée par le Conseil municipal de Cologne.

Le BZÖ soutient la nomination du conservateur (ÖVP) Wolfgang Schuessel au poste de président de l'Union Européenne.

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Le BZÖ soutient la nomination du conservateur (ÖVP) Wolfgang Schuessel au poste de président de l'Union Européenne. Le chef de file du BZÖ a appelé le chancelier social-démocrate (SPÖ) d'Autriche et le ministre conservateur (ÖVP) des finances à soutenir sans retenue cette nomination, en leur reprochant leur tiédeur.

 

Le conservateur (ÖVP) Wolfgang Schuessel ayant amené les nationalistes dirigés par Joerg Haider au gouvernement en janvier 2000, les nationalistes lui doivent bien cela. L'intérêt des patriotes est de soutenir ceux qui au sein des partis politiques du système sont favorables à une alliance avec eux.

 

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Le conservateur Wolfgang Schuessel, l'homme qui a amené les nationalistes autrichiens au gouvernement en janvier 2000.

30/10/2009

L'ONU dénigre la Suisse.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse (29% des voix) :
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Le Conseil fédéral doit rejeter immédiatement les dénigrements de l'ONU.

 

Á en croire le Comité des droits de l'homme de l'ONU, la Suisse est un pays marqué par le racisme, l'antisémitisme, la violence à l'égard des femmes, des agressions policières contre les requérants d'asile et d'autres horreurs. Ce Comité s'en prend aussi aux droits démocratiques suisses en citant en exemple l'initiative contre les minarets. L'UDC attend du Conseil fédéral qu'il proteste immédiatement et vertement contre cette attaque aussi ridicule qu'infondée lancée par l'ONU. En outre, la représentante de la Suisse au Comité des droits de l'homme doit être révoquée. Pour l'UDC, la Suisse doit sérieusement se demander si sa place est encore à l'ONU. L'utilité de cette appartenance est égale à zéro. Il est temps de s'interroger sur l'opportunité de quitter cette organisation.

 

L'assemblée plénière de l'ONU est actuellement placée sous la présidence de la Libye. Ce pays détient des otages suisses et a tenté de faire débattre l'ONU sur la dissolution de la Suisse et la distribution de son territoire entre les pays voisins.

 

La brève prise de position dans laquelle le Comité des droits de l'homme de l'ONU dénigre grossièrement la Suisse cadre parfaitement avec ce tableau. On y reproche à la Suisse des manquements aussi graves que l'antisémitisme, la discrimination raciale, l'absence d'engagement contre la violence à l'égard des femmes ou encore des violences policières contre les requérants d'asile et les immigrants. Cet organe de l'ONU ose même mettre en doute les droits démocratiques de la Suisse tout comme le principe selon lequel les membres de l'armée suisse gardent leur arme de service à domicile.

 

Cette commission réunit des expertes et des experts de "haut niveau moral et de grande compétence" (comme l'affirme la commission elle-même) de 18 pays. On y trouve notamment des représentants de Tunisie, du Maroc, d'Algérie, d'Egypte, de Colombie ou encore de l'Île Maurice qui osent critiquer la situation des droits de l'homme en Suisse. La représentante de la Suisse, une femme professeur à Zurich, donc payée par l'Etat, a déclaré il y a un an dans une interview qu'elle n'élirait certainement pas Ueli Maurer au Conseil fédéral. Elle a ajouté concernant l'ancien ministre de la justice Christoph Blocher: "Pour moi, il est évident que l'ancien ministre de la justice a fait un grand tort à l'Etat de droit, au droit international public et à l'image du droit international en Suisse."

 

L'UDC attend du Conseil fédéral qu'il proteste immédiatement contre ce dénigrement intolérable de la Suisse par un organe de l'ONU. La représentante de la Suisse doit être révoquée. La coupe est pleine. L'intérêt de la Suisse de rester dans l'ONU doit être sérieusement remis en question et l'opportunité d'une démission doit être examinée. 

29/10/2009

Jobbik : anniversaire de la révolte de 1956.

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Vendredi dernier, une réunion a eu lieu une réunion à Budapest en l’honneur du 53ème anniversaire de la révolte hongroise et du vingtième anniversaire de la République hongroise. Á cette occasion, le Jobbik et quatre autres partis nationalistes d'Europe ont fondé l’Alliance des mouvements nationaux européens.

Wolfgang Schüssel, futur président de l'Union Européenne ?

Wolfgang Schüssel. Ce nom a fait la "une" de l'actualité il y a dix ans. Á l’époque, dirigeant du Parti conservateur autrichien, Wolfgang Schüssel décide de négocier la formation d’un gouvernement avec le FPÖ de Jörg Haider.

 

En février 2000, le gouvernement voit le jour. C’est un coup de tonnerre en Europe. Les réactions fusent de partout et le gouvernement conservateur-nationaliste autrichien est attaqué de toutes parts. Les conservateurs et les nationalistes gouvernent ensemble l’Autriche jusqu’en 2007. Hors, voici que Wolfgang Schüssel pourrait devenir le président de l'Union Européenne.

 

Voici un article sur le sujet (traduction : Ambassade de France à Rome).

« Berlin songe à Schüssel pour la présidence UE » (Adriana Cerretelli, Il Sole 24 Ore) : « A la veille d’un Conseil européen où on parlera nominations, en coulisses au moins, les actions de l’Autrichien W. Schüssel semblent en forte hausse. Il aurait désormais le soutien résolu d’A. Merkel. La cote de T. Blair, trop peu européiste, semble en nette baisse. Trop d’européisme, au contraire, chez J.-Cl. Juncker – qui n’a en outre rien trouvé de mieux que d’attaquer dans la presse allemande la nouvelle ligne budgétaire de Mme Merkel. Réputé médiateur infatigable et homme de consensus, l’ex-chancelier autrichien, centre-droit comme Barroso, vient aussi d’un petit pays, mais de la Mitteleuropa. Pourrait alors succéder à Solana une personnalité de centre-gauche issue d’un grand pays, tel D. Miliband ; si le Finlandais P. Lipponen était choisi pour Président, M. Barnier aurait le profil du poste. L’issue attendra un sommet extraordinaire, sans doute les 12-13 novembre. Vendredi et samedi, il sera question de la concession à faire à Prague pour convaincre V. Klaus de ratifier. Autre thème lourd : le climat. A 40 jours de Copenhague, aux perspectives incertaines, il y a désaccord au sein de l’UE sur les aides à donner aux pays en développement et sur la répartition du fardeau entre les 27, les pays de l’Est demandant des aides. Certains, dont l’Italie et l’Allemagne, souhaitent attendre que les autres pays industrialisés, Etats-Unis en tête, montrent leur jeu. Jusqu’ici, personne ne s’est avancé, sauf l’UE et le Japon – ce qui n’augure rien de bon, sauf surprise. »

28/10/2009

Le FPÖ est là pour tous.

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Sankt Georgen am Filmannsbach se trouve à 40 minutes de voiture de Salzbourg. 410 personnes vivent dans ce village. Une église, une taverne, une école, le poste de pompier, la mairie et quelques maisons unifamiliales constituent le village qui ne compte pas un seul commerce.

 

Le maire est depuis 1949 VdU (l’ancêtre du FPÖ), puis FPÖ (lorsque ce parti a été fondé en 1955 et a absorbé la VdU). Le FPÖ atteint à Sankt Georgen am Filmannsbach le score de 40,9% des voix.

 

La maire déclare que le succès du FPÖ dans sa municipalité ne doit rien au thème de l’immigration. Il y a dans le village 15 non-Autrichiens et il n’y a pas de problèmes avec eux.

 

Les bleus sont là pour tous

 

Le succès du FPÖ provient du fait que le parti est là pour chaque citoyen, quelque soit son appartenance politique. L’appartenance au FPÖ se transmet aux enfants qui à leur tour votent pour le FPÖ. Le village ne connaît pas de problème de chômage.

 

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Le maire FPÖ de Sankt Georgen am Filmannsbach, Franz Kastinger.

Silvio Berlusconi téléphone à l’émission Ballarò : "L’anomalie ? Les juges communistes".

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« Le Cavaliere téléphone à l’émission Ballarò : ‘L’anomalie ? Les juges communistes’ » (Marco Galluzzo, Corriere della Sera) : « Hier soir, S. Berlusconi a téléphoné à Rai 3 : ‘j’ai assisté au festival des mensonges, je veux répondre’, poursuivant : ‘les magistrats sont la vraie opposition en Italie et je vous rappelle que la télévision publique est payée par l’argent de tous les Italiens, et non pour diffuser seulement des programmes de gauche attaquant toujours un seul parti politique’. Contre Ballarò : ‘les Italiens bien et de bon sens ne vous regardent jamais’. L’émission parlait de justice ; selon Berlusconi, la vraie ‘anomalie italienne ce n’est pas votre serviteur mais les procureurs communistes qui m’ont agressé depuis que je suis entré en politique ; 109 magistrats se sont intéressés à moi et à mon groupe ; étais-je le chef d’entreprise le plus criminel de l’histoire ou bien sont-ils, eux, la vraie anomalie de l’Italie ?’.

(Traduction : Ambassade de France à Rome.)

27/10/2009

Le BZÖ de Styrie prépare son propre programme.

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Le 28 novembre 2009, le BZÖ de Styrie présentera son propre programme lors d’une convention. Le BZÖ de Styrie sera notamment orienté vers une politique plus conservatrice en matière de sécurité que le BZÖ national.

Nouvelle orientation politique du BZÖ.

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Le président du BZÖ, Joseph Bucher, a présenté, devant 250 cadres du parti, à la Hofburg à Vienne, les dix propositions fondamentales du parti.

 

Le nouveau programme s’inscrit dans la tendance politique libérale. Il est orienté vers la performance.

 

Le programme du BZÖ se différencie complètement de celui du FPÖ sur la question de l’immigration. Alors que le FPÖ est opposé à celle-ci, le BZÖ est en faveur d’une immigration contrôlée : «  tous ceux qui ont une volonté de performance doivent  être autorisés à immigrer. ». Le BZÖ est favorable à l’accueil des réfugiés politiques mais s’oppose à l’abus du droit d’asile.

 

Le BZÖ est favorable à l’instauration d’une « green card » afin de permettre une immigration contrôlée dans les domaines où le demande de main d’œuvre se fait pressante.

 

Le président du BZÖ a déclaré que son parti était avant tout orienté contre les syndicats, qui bloquent l’évolution de l’économie.

 

Le BZÖ a donc adopté, au niveau national, une position proche de celle du Parti libéral allemand, le FDP.

 

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Le président du BZÖ présente le nouveau programme aux cadres du parti.

La confrontation avec la Ligue fait retrouver à Fini son entente avec Berlusconi.

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« La confrontation avec la Ligue fait retrouver à Fini son entente avec Berlusconi » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le PdL donne acte à Tremonti d’être un excellent ministre de l’économie et, en parallèle, exclut qu’il devienne vice-président du Conseil. Bossi, lui, en fait toujours son candidat à la vice-présidence. Dialogue de sourds. Et évolution des rapports de force au centre-droit : les sentiments mêlés anti-Ligue et anti-Tremonti rendent espace et poids politiques à un GF Fini menacé, récemment, de marginalisation ; quand sa fondation FareFuturo dit ‘nous ne voulons pas mourir léghistes’, elle fait écho à un sentiment diffus au sein du PdL et aigu dans le PdL nordiste, soumis à une concurrence dure de Bossi. Quand il prend la tête du ‘parti de la dépense’ selon Tremonti, il s’attire d’autres soutiens. Même des gens en désaccord avec lui par ailleurs se font ses alliés objectifs pour contraindre le ministre de l’économie à la collégialité et alléger l’hypothèque Bossi sur la coalition. La note diffusée hier après la rencontre entre Berlusconi et les 3 coordonnateurs du PdL parle de ‘concilier deux exigences également pertinentes’ : rigueur et croissance – association que redoute Tremonti, y voyant la menace d’une hausse des dépenses ; or le palais Chigi semble appuyer le ‘parti de la dépense’ ; la nécessité d’une voie médiane entre maîtrise de la dépense et souci de la reprise est ‘exprimée par le président Berlusconi’, y lit-on. Berlusconi essaie surtout d’apaiser la fronde contre son ministre tout en obtenant de lui plus de ductilité. La Ligue, elle, dramatise, parlant de démission et des risques d’une perte de crédibilité financière. Mais la dramatisation peut cacher des pièges – et avoir des effets non désirés. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

26/10/2009

Tyrol du Sud / Haut-Adige : la consultation populaire échoue de peu.

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La consultation populaire qui a eu lieu ce dimanche dans la région italienne, peuplée majoritairement de germanophones, du Tyrol du Sud ou Haut-Adige a échouée. Afin que les résultats soient pris en considération, le taux de participation devait atteindre 40%. La consultation populaire consistait en une quintuple consultation. Le taux de participation a oscillé entre 37,8 et 38,2 %.
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De nombreuses irrégularités ont été constatées. Les bureaux devaient être ouverts à 6h du matin. Dans de nombreux endroits, les personnes désirant voter se trouvaient encore à 7h30 devant des portes fermées. Certains électeurs ont même attendus l’ouverture des portes des bureaux de vote jusqu’à 9 h.

Berlusconi convoque un sommet du Peuple de la Liberté.

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« Berlusconi convoque un sommet Peuple de la Liberté. Les ‘conditions’ de Tremonti » (Paolo Di Caro, Corriere della Sera) : « L’affaire Tremonti continue à secouer le gouvernement. D’un côté, le super-ministre de l’Economie – soutenu par la Ligue – insiste sur ses prétentions : accord total de toute la coalition sur sa politique économique de rigueur et rôle indiscuté au sein du gouvernement. De l’autre, une majorité du PdL – les ex-Alliance Nationale, le Sud, des personnalités gouvernementales sans distinction géographique – qui demande à ce que Tremonti soit remis à sa place et à ce que Berlusconi reprenne les rênes du gouvernement. Pris entre deux feux, Berlusconi a convoqué les coordonnateurs du Peuple de la Liberté pour faire le point et sortir de l’impasse le plus vite possible. La décision à prendre n’est pas facile pour le chef du gouvernement. Il est exclu de nommer Tremonti vice-président du Conseil mais il est aussi dangereux de lui fermer la porte au nez, vu le risque élevé de démission et de rupture avec la Ligue. Le ministre Calderoli, de la Ligue, défend Tremonti, selon lui ‘un peu l’anneau de liaison de la coalition’ et qui ne peut être remplacé par une personnalité technique ; il exclut des élections anticipées, voyant plutôt le risque d’'un petit gouvernement d’unité nationale pour amener l’Italie on ne sait où’. Phrase où certains voient un avertissement à Berlusconi : ‘attention, car sans Tremonti et la Ligue, il n’y aura pas d’élections, mais tu risques d’être écarté toi aussi’. »

24/10/2009

Haut-Adige / Tyrol du Sud : consultation populaire.

Ce dimanche 25 octobre 2009, une consultation populaire a lieu au Tyrol du Sud / Haut-Adige.

 

Cette région d’Italie à majorité germanophone doit se prononcer lors de ce vote par « Oui » ou par « Non » sur cinq questions différentes.

 

Il y a cinq bulletins :

 

blanc : priorité aux autochtones pour la construction d’habitations.

 

lilla : stop à la vente de la patrie

 

jaune : introduction d’une consultation directe du peuple sur tous les grands projets.

 

bleu clair : démocratie directe

 

abricot : réduction du trafic aérien.

 

Les électeurs peuvent se rendre aux urnes ce dimanche de 6 à 22h. Les résultats seront connus lundi après-midi.

 

Voici ce que proposent différents partis du Tyrol du Sud / Haut-Adige à leurs électeurs :

 

(SVP, die Freiheitlichen, Les Verts, Ligue du Nord, , Südtiroler Freiheit, Union pour le Tyrol du Sud, Parti démocrate).

 

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Ja = "Oui"
Nein = "Non"
k.E. = "ne donne pas de recommandations de vote"
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Les partis patriotiques :
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die Freiheitlichen sont proches du FPÖ autrichien.
La Lega Nord est le dirigée par Umberto Bossi.
L'Union pour le Tyrol du Sud et "Südtiroler Freiheit" soutiennent les germanophones de la région.

Grande mosquée de Cologne : pose de la première pierre.

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Le 7 novembre 2009 doit avoir lieu à Cologne la pose de la première pierre de la mosquée géante.

 

Le mouvement de citoyens pro Köln / pro NRW / pro Deutschland (Pour Cologne, Pour la Rhénanie du Nord - Westphalie, Pour l’Allemagne) organise une manifestation contre cet événement.

 

Le rassemblement doit avoir lieu le 7 novembre à 11h, au coin de la Venloer Straße et de la  Innere Kanalstraße, sous le slogan « La Constitution plutôt que la loi islamique. Non à la grande mosquée de Cologne. » 

 

Parmi les Français ayant annoncé leur participation à la manifestation se trouvent Robert Spieler ( http://robert-spieler.hautetfort.com ) et François Ferrier de la Nouvelle Droite Populaire.

23/10/2009

BNP : un ancien combattant membre à vie.

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Gordon Savage, combattant au sein de l’armée britannique lors de la seconde guerre mondiale, a été parachuté à Arnhem lors de l’opération "Market Garden" en septembre 1944 afin de sécuriser les ponts sur le Rhin. Il est devenu, ce mercredi, membre à vie du BNP.

« Régionales : le PdL freine Bossi sur la Vénétie »

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« Régionales : le PdL freine Bossi sur la Vénétie » (Lorenzo Fucaro, Corriere della sera) : « Umberto Bossi laisse entendre que c’est un de ses hommes qui se présentera en Vénétie et non l’actuel président Giancarlo Galan – ‘la Vénétie nous revient, l’accord est fait’ – mais Ignazio La Russa, ministre de la Défense et coordonnateur du PDL, temporise : ‘c’est le bureau du PdL qui décide des candidatures et rien n’est fait, nous déciderons début novembre’. Bras de fer donc entre alliés qui s’est aussi manifesté dans la rencontre Fini-Bossi hier matin. Pour régler le tout devrait avoir lieu une rencontre Berlusconi-Bossi-Fini. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Le dirigeant du BNP participe à une émission de la BBC.

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Jeudi, le dirigeant du BNP, Nick Griffin, participait à un débat sur les antennes de la BBC. 500 personnes ont manifesté contre la venue de Nick Griffin au siège de la BBC à Londres.

 

Certains ministres travaillistes ont protesté contre le fait que la BBC donne la parole au BNP. Le directeur général de la BBC a défendu le « principe d’impartialité » de la BBC.

 

Le Times a qualifié l’intervention télévisuelle de Nick Griffin, le chef de file du BNP, de bonne. Le Ministre travailliste de la justice Jack Straw, qui participait au débat, a la réputation d’être un des meilleurs débatteurs du parti travailliste.

 

Ce vendredi, Nick Griffin a accusé la BBC de « lynchage » et a déclaré : « Le public britannique est effaré par le parti pris affiché par la BBC, par le venin de la classe politique, par toute cette injustice »

Anvers : mur symbolique contre les régularisations de clandestins.

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Á Anvers, le Vlaams Belang a construit, ce mercredi, un mur symbolique devant le lieu où sont gérées les demandes de régularisation des clandestins. Il réclame le rapatriement des personnes en situation irrégulière.

 

Voir la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=Q6yQRfl1Lgk&feature=pl...

22/10/2009

Carinthie : le BZÖ et l’ÖVP en conclave.

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Carinthie : le BZÖ et l’ÖVP (le Parti conservateur) qui gouvernent la Carinthie se réunissent en conclave à Gerlitzen, près de Villach, en Carinthie.

 

Les points importants de la réunion sont : l’opposition à l’installation d’un centre de premier accueil pour les demandeurs d’asile (bien que cette compétence relève du gouvernement national), la suppression du soutient financier au club de football SK Austria et le maintient de la dette du Land de Carinthie en dessous de 300 millions d’euros.

Le bureau d'avocat de Markus Beisicht victime de dégradations.

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Le bureau d’avocat de Markus Beisicht, le président de pro Köln / pro NRW (Pour Cologne/ Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) a fait l’objet, malgré une protection policière renforcée, de différentes attaques menant à des dégradations.

21/10/2009

Silvio Berlusconi chez Vladimir Poutine.

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Entretien avec Giancarlo Galan, président de la Vénétie, dans La Repubblica – « Je n’accepte pas de trocs – La Vénétie veut encore de moi » : « ‘Ne pas présenter à nouveau ma candidature à la présidence de la Vénétie serait une grave erreur politique’. Le président du Conseil lui a dit d’aller de l’avant, que la question des candidatures n’était pas close et son rêve d’un 4e mandat à la tête de la Vénétie est toujours bien présent. ‘S. Berlusconi a été très cordial avec moi, il m’a demandé de ne pas être impatient. J’ai reçu de nombreux messages de soutien et du reste, ni Berlusconi ni Bossi ne m’ont, à ce stade, demandé de renoncer. Je ne me contenterai pas d’un troc, comme cela a été évoqué, aucun autre emploi ne m’intéresse. Je n’abandonnerai jamais Berlusconi, à qui je dois tout – il est pour moi comme un père. Simplement, nos positions peuvent être différentes. Trop, c’est trop’. »
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« Le Cavaliere va chez son jumeau Poutine et saute l’entretien avec le roi de Jordanie » (Filippo Ceccarelli, La Repubblica) : « Berlusconi dit ‘se sentir chez lui’ en Russie, au point d’ignorer la visite en Italie du roi de Jordanie et de sa femme. Vladimir Poutine aussi se sent chez lui en Sardaigne, torse nu sous le soleil des vacances, avec le chanteur Apicella.

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

UDC Suisse : votation du 29 novembre 2009.

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L'UDC a adopté les consignes de vote suivantes pour le scrutin populaire du 29 novembre 2009:

- OUI à l'initiative populaire "contre la construction de minarets"
- NON à l'initiative populaire "pour l'interdiction d'exporter du matériel de guerre"
- OUI au financement spécial en faveur du trafic aérien

 L'assemblée générale de l'UDC International, section UDC des Suisses de l'étranger, s'est prononcée avec une seule voix d'opposition pour l'initiative populaire "contre la construction de minarets". Les conditions dans lesquelles doivent vivre les chrétiens dans les pays musulmans sont une raison suffisante pour faire obstacle à l'expansion de l'islam en Suisse. Notre liberté religieuse ne doit pas être abusée en servant de prétexte à l'infiltration de notre culture. Il faut mettre fin aux constantes revendications des musulmans de bénéficier de règlementations spéciales. La Suisse doit absolument éviter des situations comme celles qui se présentent dans les ghettos de certaines banlieues britanniques et françaises.

Lancée par le Groupement pour une Suisse sans armée (GSOA), l'initiative populaire "pour l'interdiction d'exporter du matériel de guerre" a été rejetée à l'unanimité par l'UDC International. Les Suisses de l'étranger relèvent notamment que cette initiative insensée et dangereuse n'apporte strictement aucune contribution à la paix du monde. Les biens militaires suisses ne représentent en effet que 0,7% du marché mondial des armes et leur disparition serait très facilement compensée par d'autres producteurs. L'unique perdante serait la Suisse qui détruirait son industrie d'armement et dont l'armée deviendrait totalement dépendante des fournitures étrangères.

S'agissant du financement spécial du trafic aérien, de l'UDC International a décidé à l'unanimité de soutenir ce projet. Cette ressource permet d'apporter une contribution à la sécurité des aéroports dont profitent notamment les Suisses de l'étranger. Le soutien financier des aéroports régionaux est dans l'intérêt de toute l'économie suisse. En une période de crise économique, il est plus important que jamais de donner un système de transport aérien performant au pays d'exportation par excellence qu'est la Suisse.

20/10/2009

"Endlich Strache!" (Enfin Strache !)

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Ce livre, qui vient de paraître en allemand, a pour objet le chef de file du FPÖ, Heinz-Christian Strache. Le livre d’anticipation se déroule en 2017. Heinz-Christian Strache est chancelier d’Autriche depuis un an et demi. La Troisième République existe depuis un an.

Le livre possède son propre site Internet : http://www.ueberreuter.at/endlich-strache/buch

L’objectif de Heinz-Christian Strache est de devenir maire de Vienne en 2010, puis ensuite chancelier. Si ce livre est une satire, les événements qu’il évoque peuvent cependant se réaliser.

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Le FPÖ et le BZÖ défendent le secret bancaire.

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Le FPÖ et le BZÖ se posent en défenseur du secret bancaire en Autriche.

19/10/2009

Pour avoir à ses côtés une Ligue enthousiaste, la Cavaliere lui concède un fief en Vénétie.

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« Le président du Conseil refait l’unité du PdL en pensant aux régionales et en gelant les conflits » (Massimo Franco, Corriere della sera) : « Ces dernières heures, S. Berlusconi a déployé beaucoup de diplomatie, d’où ces deux considérations : d’abord, il sait qu’il ne peut aller de l’avant sans être sûr du soutien de son parti et des ses alliés ; ensuite, il semblerait que la phase aiguë du conflit institutionnel consécutif à la censure de la loi Alfano soit, peut-être, en passe d’être surmontée – ‘peut-être’ car la transition apparaît un peu brusque. Quoi qu’il en soit, il tente de reprendre le PdL en main : ses rencontres avec Tremonti, puis Bossi et enfin Fini, sont révélatrices de sa volonté de rassemblement. En visite en Bulgarie, il a qualifié d’‘excellentes’ ses relations avec Bossi et Fini, en vue des régionales sans doute. L’idée, lancée par Bossi après le rejet de la loi Alfano, de faire de ce scrutin un référendum sur Berlusconi paraît partagée. Pour l’heure, toutefois, les cibles des récentes polémiques restent hors du périmètre de la conciliation : avec la Consulte, le règlement de comptes est comme suspendu ; et l’offensive d’une partie du PdL contre le Quirinal a cessé –sans clarification toutefois. Hier, à Turin, G. Napolitano a revendiqué son rôle de ‘pouvoir neutre’, répondant indirectement au Palais Chigi qu’être au-dessus des partis ‘n’est pas une fiction’ mais ‘une garantie de modération et d’unité nationale’. Petits indices d’un débat moins exaspéré et d’un retour aux vrais problèmes, à accueillir favorablement, sans les surestimer. »

 

 « Régionales : pacte Berlusconi-Bossi – la Vénétie va à la Ligue » (Ugo Magri, La Stampa) : « Pour avoir à ses côtés une Ligue enthousiaste, la Cavaliere lui concède un fief en Vénétie : il est quasi sûr que Galan, actuel gouverneur, ne sera pas le candidat du centre-droit aux régionales de mars ; le candidat devrait être Zaia, actuel ministre de l’Agriculture. Umberto Bossi, ne pouvant tout avoir, paraît prêt à céder le Piémont, où Crosetto (sous-secrétaire à la Défense) l’emporterait sur Cota (chef du groupe Ligue à la Chambre). A la Ligue, aussi, l’Emilie et la Toscane. Formigoni pourrait rester à la tête de la Lombardie. Fini pourrait récupérer le Latium avec Renata Polverini et Rotondi aller en Campanie. Reste une inconnue : l’UDC n’a pas révélé ses alliances mais Casini pourrait faire un gros coup en Vénétie, si Galan décidait de lancer une ‘liste vengeresse’ et que l’UDC le soutînt. »

 

 « Berlusconi en Bulgarie : ‘je suis trop bon et juste’ » (Amedeo La Mattina, La Stampa) : « En Bulgarie, Silvio Berlusconi est apparu détendu, sûr d’avoir la majorité bien en main. Du reste, ces derniers jours, il a atteint certains objectifs : l’accord avec Bossi pour les candidatures aux régionales, celui avec Fini sur la Justice. Il est aussi parvenu à calmer les tensions entre Letta et Tremonti, qui a obtenu la Banque pour le Sud. Tout cela lui permet de dire que ses relations avec ses alliés sont ‘excellentes’ et que ‘l’alliance est solide car elle se fonde sur le partage de valeurs et programmes, et sur la préoccupation commune face à l’opposition que nous avons en Italie’ – suggérant par là que les réformes pourraient se faire ‘à coup de majorité’, unilatéralement (approche désapprouvée jusqu’ici par Fini et Bossi). »

 

 « Oui à la nouvelle Banque du Mezzogiorno. Objectif : le petit et moyen crédit » (Roberto Bagnoli, Corriere della Sera) : « Le gouvernement a donné son accord à la naissance de la Banque du Sud projetée par Tremonti – lequel a tranquillisé les sceptiques, lors de sa conférence de presse : ‘cette banque ne sera pas une énorme usine à gaz, notamment car l’UE ne nous le permet pas’ : ce sera ‘une banque où on ne parlera pas anglais et où on s’occupera de petit et moyen crédit’. Il se peut cependant qu’on y parle français car ‘le modèle de référence est celui du Crédit agricole’ – entre autres principal actionnaire de BancaIntesa. De son côté, Altero Matteoli, ministre des infrastructures, a annoncé que les travaux pour le pont sur le détroit de Messine débuteraient le 23 décembre pour s’achever en 2016. »

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(Traduction : Ambassade de France à Rome).