Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/02/2013

Les résultats définitifs des élections en Italie : Chambre des députés.

Le Peuple de la liberté.jpg

Ligue du Nord.jpg

Fratelli d'Italia.jpg

La  Destra.jpg

Au sein de la coalition de Silvio Berlusconi se trouvent 4 partis patriotiques ou disposant d’une aile patriotique :

Le Peuple de la Liberté (Pdl) : 7.332.121 voix  21,6 %    97 sièges.

Ligue du Nord                       : 1.390.156 voix    4,1 %    18 sièges.

Fratelli d'Italia                       :    666.001 voix    2,0 %     9 sièges.

La Destra                               :    220.312 voix    0,6 %    pas de siège

Résultats totaux de la coalition de Silvio Berlusconi : 9.923.100 voix  29,1%   124 sièges.

Futuro e Libert+á per l'Italia.jpg

Au sein de la coalition centriste de Mario Monti se trouve le parti :

 

Futuro e libertà (Fli)  de l’ex-nationaliste Gianfranco Fini :   159.454 voix    0,5 %     pas de siège

Forza Nuova.jpg

Casapound.jpg

Flamme Tricolore.jpg

Les nationalistes radicaux de Forza Nuova : 89.832 voix 0,3 % pas de siège

 

Ceux de Casapound Italia 47.788 voix  0,1% pas de siège

 

Et aussi Fiamma Tricolore 44.748 voix 0,1% pas de siège

Die Freiheitlichen.jpg

Le parti die Freiheitlichen présent au Tyrol du Sud / Haut-Adige  : 48.317 voix 0,1 % pas de siège


-

Le Mouvement 5 étoiles - beppegrillo.it qui représente l’antipolitique et une forme de populisme : 8.688.545 voix 25,5 % 108 sièges.

Total

Au total, près de 30 % ont voté pour des listes patriotiques alors que le populiste Beppe Grillo emporte 25 % des voix.

Revue de presse italienne à propos des résultats des élections législatives.

 

Source : Ambassade de France à Rome :

Italie. Les Unes des quotidiens de ce mardi 26 février 2013 : aujourd’hui dominées par l’ingouvernabilité et le boom de Grillo, après le résultat des élections.

Les Unes : Aujourd’hui dominées par l’ingouvernabilité et le boom de Grillo, après le résultat des élections.

Élections en Italie :

1. Réactions des quotidiens :

Presse mainstream : "vote-choc : il n’y a pas de majorité" (Corriere), "boom Grillo - Italie ingouvernable" (Repubblica), "boom de Grillo - Parlement bloqué" (Stampa), "Sénat bloqué : tensions sur les marchés" (Sole 24 Ore), "l’ingouvernabilité a gagné" (Messagero)

Satisfaction exprimée par les quotidiens de droite sur la performance de Berlusconi : "le lion Silvio dévore le jaguar (en référence à Bersani)" (Libero), "Miracle Berlusconi" (Giornale), "la surprise du Cavaliere dans le chapeau" (Foglio)

Pour les journaux de gauche : "la Chambre au centre gauche, le Sénat paralysé, Grillo triomphe" (L’Unità, proche PD), "échec et mat" (Manifesto), "le boom de Grillo les bat tous et les pousse à des arrangements" (Fatto, gauche alternative).

Enfin, Avvenire (catholique) titre sur "un mécontentement stellaire" (en référence aux étoiles du M5S)

2. Éditoriaux – tonalité générale très inquiète quant à la législature qui s’annonce :

Large convergence pour désigner les « gagnants » (M5S et PDL) et les « perdants » (PD, Monti).

Large convergence aussi pour souligner la dimension "eurosceptique" ou en tous cas critique de l’Europe telle qu’elle est, et pour souligner 2 facteurs expliquant le vote : désespérance sociale et mécontentement fort à l’égard d’une classe politique qui n’a pas su se réformer (absence de réforme de la loi électorale abondamment soulignée). Pour la Repubblica (édito du vice-directeur M. Giannini) "ont prévalu les populismes" et la « colère sociale s’est exprimée contre l’Europe et contre les taxes ».

Enfin, insistance sur "l’alarme dans les chancelleries européennes et aux États-Unis", avec le voyage de J. Kerry présenté comme une occasion pour faire le point sur l’Italie.

2.1. Europe : le thème est au centre de plusieurs éditos qui soulignent le caractère historique du vote, certains évoquant le risque de mise sous tutelle d’une Italie ingouvernable.

celui du Corriere della Sera ("faire face à la réalité", M. Franco) : "c’est une ’ Italie eurosceptique’ qui a gagné, au moins face à la politique de rigueur économique. Un troisième pôle a émergé, mais ce n’est pas celui de Monti : modéré, européen, de gouvernement (…) paradoxalement, P.-L. Bersani perd politiquement, même s’il gagne la prime de majorité à la chambre (..). Le soutien de l’Europe à Monti n’a eu aucun effet ; au contraire, il en a peut-être eu un négatif. C’est comme si l’Italie avait intériorisé l’idée d’une suspension de la démocratie et s’était refusée à analyser les répercussions internationales du vote. Et même plus : elle a décidé de les défier, satisfaisant les sentiments hostiles à une austérité évaluée non pour ses effets bénéfiques sur les comptes publics, mais pour ses effets négatifs sur la croissance et l’emploi (…) S’il ne se trouve pas un accord sur une unité et certaines réformes, la perspective d’une législature courte deviendrait vraisemblable. Avec le risque d’une mise sous tutelle (commissariamento) bien plus traumatique que celle perçue dans les derniers mois ».

également celui du Sole 24 Ore (S. Folli, "la tempête parfaite") qui évoque l’Europe juste après la crise du système politique italien dans les principaux facteurs d’explication du vote. "la méfiance à l’égard de la monnaie unique et à l’égard des sacrifices imposés par l’UE (ou par l’Allemagne ?) a produit une nouveauté sans précédent dans notre histoire politique : un Parlement dans lequel le sentiment anti-européen devient pour la 1ère fois majoritaire. (..). Cette convergence singulière sous le signe d’ ‘une autre Europe est possible’ est très significative. Parce que, en attendant de trouver cette autre Europe, elle se traduit en hostilité à l’égard des institutions communautaires actuelles". L’éditorialiste marque son accord avec P. Krugman (p.m. article paru dans le FT) : ces élections ont bien été un référendum sur l’austérité en Europe. Interrogation aussi : "comment exorciser une possible mise sous tutelle de la part de la troïka UE-BCE-FMI" ?

pour l’Unità (directeur C. Sardo – cf infra) : "l’Europe aussi doit réfléchir attentivement : si elle ne change pas de voie le plus vite possible, si elle ne fait pas siennes les suggestions d’Obama sur les politiques pour l’emploi et la croissance, elle tuera justement les forces politiques européistes qui cherchent à maintenir liées perspective communautaire et plus grande égalité sociale".

la Stampa (cf infra) dans l’éditorial de son directeur, souligne également que l’impact social des politiques d’austérité a été largement sous-estimé et le Sole, dans son édito économique, parle d’une obligation de répondre aux souffrances de l’économie réelle du pays.

2.2. S’agissant des scénarios, la perplexité domine avec des avis divergents sur l’opportunité d’une grande coalition pour faire au moins une réforme de la loi électorale :

pour la Repubblica (édito déjà cité), "faire un gouvernement dans ces conditions est impossible", excluant d’abord un gouvernement de gauche avant de présenter deux options difficiles : un gouvernement large (avec PDL) pour faire au moins la réforme de la loi électorale, ou bien un retour immédiat aux urnes.

la Stampa dans l’éditorial de son directeur "le devoir de décisions courageuses" (cf infra) prend clairement parti contre une telle hypothèse de grande coalition, parce qu’il est illusoire de croire que des partis qui n’ont pas réussi à réformer la loi électorale en un an le feront et parce qu’un retour aux urnes après ne pourrait qu’aggraver la révolte contre le système des partis (le soupçon étant que ceux ci n’ont cherché qu’à sauver leur peau). Une seule solution : "voir au Parlement si des convergences sont possibles pour donner des réponses claires aux citoyens", avec une obligation de clarté et de transparence totale. Ces convergences sont à trouver entre partis traditionnels mais aussi avec les parlementaires grillistes qui doivent être traités comme une ressource, non comme des ennemis.

le Sole (éditorial déjà cité) souligne qu’une grande coalition est un "tabou absolu" et qu’une réédition de la majorité précédente, si elle ne faisait rien, ferait encore monter Grillo, mais n’exclut pas qu’une telle grande coalition, en faisant 3 ou 4 réformes utiles et claires, puisse donner le signal de renouveau qu’attend le pays. Il conclut que dans ce contexte confus l’hypothèse d’une réelection de Napolitano a maintenant une certaine légitimité.

Outre la Stampa, Avvenire appelle aussi au sens de responsabilité pour donner un gouvernement sans entrer toutefois dans le détail des implications de cet appel.

Sans majorité claire au Sénat, l'Italie dans l'impasse.

 

Italie. Sans majorité claire au Sénat, l'Italie est dans l'impasse :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/02/25/legislati...

Beppe Grillo fête son extraordinaire résultat.

 

Italie. Beppe Grillo, le représentant de l’antipolitique, fête la grande victoire obtenue par son parti. Il a exclu toute alliance avec les partis en place. Il prophétise que le centre-gauche de Pierluigi Bersani et le centre-droit de Silvio Berlusconi vont devoir s’allier afin de gouverner le pays et que de nouvelles élections auront lieu dans six mois.

25/02/2013

Angelino Alfano remercie Silvio Berlusconi.

Le Peuple de la liberté.jpg

Italie. Lors d’une conférence de presse tenue à Rome alors que les bulletins étaient encore comptabilisés, le président du Peuple de la Liberté Angelino Alfano a remercié Silvio Berlusconi pour l’énergie avec laquelle il a conduit la campagne électorale du parti, ainsi que les millions d’électeurs qui ont apporté leur confiance au Peuple de la Liberté.

Fratelli d'Italia, fondé il y a deux mois, obtient 2 % des voix.

Fratelli d'Italia.jpg

Italie. Fratelli d'Italia, fondé il y a deux mois, obtient 2 % des voix.

http://fr.novopress.info/132696/elections-italiennes-ou-e...

Résultats des élections législatives en Italie.

Le Peuple de la liberté.jpg

Ligue du Nord.jpg

Futuro e Libert+á per l'Italia.jpg

Forza Nuova.jpg

La  Destra.jpg

Flamme Tricolore.jpg

Casapound.jpg

Fratelli d'Italia.jpg

Die Freiheitlichen.jpg

Chambre :

http://www.repubblica.it/static/speciale/2013/elezioni/ca...

et Sénat :

http://www.repubblica.it/static/speciale/2013/elezioni/se...

Des infiltrants payés 100.000 euros.

 

Allemagne. Un homme qui a travaillé durant 18 ans pour l’Office de protection de la Constitution en infiltrant le parti ultranationaliste NPD a touché 180.000 euros. Il travaillait 45 heures par semaine pour un salaire hebdomadaire brut de 900 euros.

Le Député du Parti postcommuniste die Linke Madame Petra Pau demande la fin des « infiltrants ». Selon elle, il n’est pas rare que ces gens reçoivent 100.000 euros.

Un autre infiltrant du NPD, Tino Brandt, évoluait au sein des bureaux du président du NPD du Land de Thuringe et était un des co-fondateurs et  dirigeant influente d’une Kameradschaft. Pour son travail, il recevait 400 euros par semaine et a encaissé en tout 100.000 euros.

Tino Brandt.jpg

Tino Brandt : infiltrant du NPD (gauche), puis après la fin de l'infiltration (droite)

Petra Pau.jpg

Le Député post-communiste Madame Petra Pau demande la fin des infiltrants.

Le Vlaams Belang contre l'entrée de la Roumanie et Bulgarie dans l’espace Schengen.

 Vlaams Belang.jpg

Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang s’oppose à l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie au sein de l’espace Schengen.

 

Selon le Ministre national-centriste flamand N-VA de l’intégration Geert Bourgeois, en 2012 environ 9.400 Polonais, Roumains et Bulgares se sont installés de manière permanente en Flandre. En réalité, ce nombre doit être bien plus élevé étant donné que beaucoup ne s’inscrivent pas auprès des autorités communales [municipales] de leur lieu de résidence. Selon le Ministre Geert Bourgeois, la possibilité pour la plupart de trouver un travail sont nulles, surtout lorsqu’ils ne maîtrisent pas le néerlandais. Le ministre estime que la solution consiste à imposer un cours d’intégration, imposition que l’Union européenne interdit.

Le Vlaams Belang demande que l’immigration en provenance de l’Est de l’Europe soit combattue. Le parti trouve scandaleux qu’autant de Roumains et Bulgares viennent en Flandre alors que ces pays ne sont pas encore dans l’espace Schengen. Le Vlaams Belang considère que « Schengen » est un échec : les frontières intérieures sont tombées, mais les frontières extérieures sont extrêmement poreuses. Par conséquent, les États membres doivent avoir comme autrefois la possibilité de protéger leurs frontières afin de suppléer aux carences de l’Union européenne en la matière.

Le Vlaams Belang se tient derrière la position du gouvernement néerlandais qui est en ce moment le seul à s’opposer à l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie au sein de l’espace Schengen. Ces deux pays posent problème à cause de leur haut degré de corruption et leur criminalité organisée. De plus, la frontière entre la Bulgarie et la Turquie (le pays de transit par laquelle  passe la partie la plus important de l’immigration illégale vers l’Union européenne) est poreuse. Et encore, la Roumanie et la Bulgarie essayent de résoudre leur problème tsigane en l’exportant vers les autres États membres. Le Vlaams Belang appelle les autorités fédérales [nationales belges] à soutenir le gouvernement néerlandais durant le Conseil européen  du 7 mars 2013 lorsque la question de l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie au sein de l’espace Schengen sera à l’ordre du jour.

Silvio Berlusconi rompt le "silence électoral".

Le Peuple de la liberté.jpg

Italie. Les quotidiens indiquent que Silvio Berlusconi a rompu le silence électoral en s’érigeant contre les « magistrats pires que la mafia ».

Le MCG perd devant le Tribunal fédéral.

MCG.jpg

Suisse. Le Tribunal fédéral refuse d'annuler les décisions du Grand Conseil d'exclure de leurs commissions les députés Stauffer et Rappaz :


http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Le-MCG-perd-devan...

24/02/2013

Trois femens tentent d’empêcher le vote de Silvio Berlusconi.

Le Peuple de la liberté.jpg

Italie. Milan. Trois femens ont essayé d’empêcher le vote de Silvio Berlusconi. Seins nus, les femens portaient inscrit sur le dos le slogan «Basta Berlusconi» (Berlusconi ça suffit).

Aleksandar Vučić en Angola.

SNS (serbe).jpg

Serbie et Angola. Le Vice-Premier ministre et Ministre de la défense Aleksandar Vučić (SNS) réalise une visite de deux jours en Angola.

Dixième anniversaire de l’emprisonnement du dirigeant du SRS Vojislav Šešelj.

SRS.jpg

Serbie. Belgrade. Le Parti radical serbe (SRS) a organisé ce dimanche 24 février 2013 une manifestation intitulée « Dix ans de tyrannie du Tribunal de La Haye – Dix ans de chute de la Serbie. » afin de marquer le dixième anniversaire de l’emprisonnement du dirigeant du parti Vojislav Šešelj. Ce dernier s’est rendu le 23 février 2003 au Tribunal Pénal International (TPI) de La Haye après son inculpation. Il n’est toujours pas condamné. La justice du TPI a changé cinq fois les chefs d’inculpation. Le procès a débuté en novembre 2007. Le procès a été suspendu trois fois.

SRS 1.jpg

"Liberté pour Šešelj".

Yves Nidegger et Céline Amaudruz candidats à l’exécutif genevois.

UDC.jpg

Suisse. Canton de Genève. Yves Nidegger et Céline Amaudruz candidats à l’exécutif :

http://www.rts.ch/info/regions/geneve/4685841-yves-nidegg...

Un clown perturbe la récolte de signatures de die Freiheit à Munich.

Freiheit.jpg

Allemagne. Bavière. Munich. Die Freiheit poursuit la récolte de signatures en vue de voir organiser une consultation du peuple à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Afin de perturber la récolte de signatures de die Freiheit, un clown gauchiste est entré en action.

die Freiheit 4.jpg

Le clown perturbe le discours de Michael Stürzenberger de die Freiheit

die Freiheit 3.jpgdie Frieheit 2.jpg

Écologistes : leur main gauche ignore ce que fait leur main droite.

La Fondation Heinrich Böll est proche du Parti écologiste allemand. Au sein d’un article publié sur le site Internet de la fondation à propos d’un livre paru en anglais et allemand et intitulé en allemand « Le populisme de droite » et en anglais « Le populisme », le parti national-centriste flamand N-VA est ciblé parmi les formations « populistes de droite ».

Hors cette N-VA, dirigée par Bart De Wever, siège au sein du Parlement européen dans l’Alliance libre européenne.

L’Alliance libre européenne (ALE) est une alliance de partis politiques régionalistes et de défense de minorités qui forme un groupe avec le parti Vert européen au sein du Parlement européen. Hors, les écologistes allemands siègent au sein du parti Vert européen.

La fondation du Parti écologiste allemand dénonce donc en tant que menace « populiste de droite » un parti avec lequel le Parti écologiste allemand siège au sein du même groupe au Parlement européen.

(http://www.boell.de/worldwide/europenorthamerica/europe-n...)

Heinrich-Böll-Stiftung.png

Le bâtiment de la Fondation Heinrich Böll à Berlin.

23/02/2013

Pia Kjærsgaard inaugure son portrait.

DF.jpg

Danemark. Lorsque Pia Kjærsgaard a déclaré quitter ses fonctions de présidente du Parti du peuple danois, ce dernier a décidé de faire réaliser son portrait par le peintre Mikael Melbye. Ce 19 février 2013, le tableau a été inauguré en présence de Pia Kjærsgaard.

DF 1.jpg

Pia Kjærsgaard

DF 2.jpg

Pia Kjærsgaard

DF 3.jpg

Pia Kjærsgaard et Mikael Melbye

DF 5.jpg

Nombreuses embûches lors de l'organisation du voyage de Geert Wilders en Australie.

PVV.jpg

Pays-Bas et Australie. Le voyage en Australie du président du PVV Geert Wilders se fait à l’invitation de la Q Society qui a pour objectif de stopper l’islamisation de l’Australie. Trouver des salles qui accueillent le discours de Geert Wilders n’a pas été facile : de nombreuses ont refusé d’accueillir Geert Wilders ou se sont décommandées. De plus, des services bancaires ont également été refusés.

Geert Wilders devait initialement se rendre en Australie en octobre 2012, mais il  a dû attendre cinq semaines avant d’obtenir son visa. La visite a donc dû être postposée. Le ministre concerné par cette délivrance de visa a écrit un article contre Geert Wilders dans un quotidien australien en essayant de le faire passer pour un extrémiste. Le dirigeant politique de l’Australie occidentale Colin Bartnett a déclaré aux medias que Geert Wilders n’est pas le bienvenu au sein de son État.

Yvan Perrin sera finalement l'unique candidat UDC au Conseil d'Etat neuchâtelois.

UDC.jpg

Suisse. Canton de Neuchâtel. Yvan Perrin sera finalement l'unique candidat UDC au Conseil d'Etat [exécutif du canton] :

http://www.rts.ch/info/regions/neuchatel/4683608-yvan-per...

Reportage d'Arte sur la campagne électorale de Casapound.

Casapound.jpg

Italie. Voici un reportage d'Arte sur la campagne électorale de Casapound :

Reportage d'Euronews sur la visite de Geert Wilders en Australie.

PVV.jpg

Pays-Bas et Australie. Reportage d'Euronews sur la visite du président du PVV Geert Wilders (Pays-Bas) en Australie.

La Carinthie attire les entreprises étrangères.

FPK.jpg

Autriche. La Carinthie, dont le gouverneur et trois autres membres du gouvernement (donc 4 sur 7) sont FPK, est le deuxième endroit en Autriche, après la capitale du pays, en matière d’implantation d’entreprises étrangères.

Gábor Vona: « L’américanisme est un virus mortel. »

Jobbik.jpg

Hongrie. Claudio Mutti, qui publie la revue italienne Eurasia, a interrogé le président du parti nationaliste hongrois Jobbik Gábor Vona à propos de questions politiques actuelles.

Jobbik et Fidesz

Gábor Vona déclare que son parti, le Jobbik, est nationaliste radical. Dans ce contexte, le mot « nationaliste » signifie « hongrois » : le Jobbik représente les intérêts hongrois. Le terme « radical » signifie que le Jobbik développe une approche méthodologique d’un certain type. La situation du pays est critique : celui qui désire introduire des changements significatifs doit être radical. Mais il est important de souligner que ni le nationalisme, ni le radicalisme ne sont des valeurs. Le Jobbik représente des valeurs et principes conservateurs : ce parti défend des valeurs traditionnelles ainsi que des valeurs humaines universelles au sein de ce monde moderniste et désintégrant.

Selon Gábor Vona, le Parti conservateur, le Fidesz, ne représente pas une tradition nationale, radicale ou libérale. Il estime que ce parti est opportuniste et technocratique et qu’il change de valeurs aussi souvent que les gens changent d’habits. C’est la percée du Jobbik qui a amené le Fidesz à dériver vers le nationalisme, mais cela ne trompe personne. Le Fidesz est un parti moderniste liberal dont la vision est plus proche de celle du Parti socialiste que de celle du Jobbik.

Proche-Orient

Le président du Jobbik déclare que par rapport à la question du Proche-Orient, il est favorable à la solution de deux États : un pour les Palestiniens et un pour les Israéliens.

Europe

En matière européenne, Gábor Vona s’oppose à l’alliance économique en préparation entre les États-Unis et l’Union européenne. Il considère que cela ne va pas solutionner nos problèmes. Le président du Jobbik est favorable à une alliance et un partenariat entre États indépendants d’Europe. Nous devons renforcer les nations plutôt que les détruire. Une Europe forte dépend de nations fortes.

Ouverture à l'Est

Gábor Vona estime que l’Europe doit développer ses relations en priorité avec le Russie et la Turquie. Il est cependant conscient du fait que pour la plupart des pays européens l’immigration en provenance de Turquie et la foi musulmane qui y a cours sont indigestes. Cela ne doit cependant pas constituer un empêchement de développer des relations à l’Est. C’est notre intérêt politique, économique et culturel. L’américanisme est un virus mortel pour nous. Il envahit nos esprits, paralyse nos corps, affaiblit notre système immunitaire et nous tue finalement. Plus vite nous nous débarrasserons de ce virus, plus tôt nous connaîtrons un nouveau départ.

Site en italien de la revue Eurasia : http://www.eurasia-rivista.org

Gábor Vona.jpg

Gábor Vona

Soirée "Nuit bleue" du FPK.

FPK.jpg

Club Kärnten.jpg

Autriche. Carinthie. Le FPK organise ce samedi 23 février 2013 une soirée « Nuit bleue »  [le bleu est la couleur du FPÖ et du FPK] à Neuhaus. La soirée dansante débute à 20h. Une séance de discussion se déroule à partir de 18h au sein d’une auberge de la localité en présence du président FPK du Parlement du Land et d’un député FPK du Parlement du Land.

FPK 1.jpg