16/01/2013
Le chef de groupe du PPE : « Notre candidat en Italie est Monti. »
L’attention des quotidiens est de nouveau focalisée sur les propos de Berlusconi dans les médias télévisés de la veille. Cette fois, c’est la proposition de Berlusconi d’une candidature de Mario Draghi à la Présidence de la République qui retient l’attention de la presse italienne et sa colère contre le PPE qui « décharge » Berlusconi suite aux déclarations du chef de groupe Daul : « Notre candidat en Italie est Monti ». Dans le Fatto quotidiano (quotidien de gauche alternative), le critique littéraire Belpoliti analyse le comportement adopté par Siovio Berlusconi qui, selon lui, est une stratégie bien étudiée. Il revient en effet à la « comédie à l’italienne » lors de ses prestations télévisées, faisant mine de nettoyer le tabouret où était assis le journaliste Travaglio ou donnant un petit coup taquin sur la tête d’un journaliste de L’Espresso : « et ça marche » estime le critique, le Cavaliere parvenant à se rendre de nouveau sympathique au public.
Les journaux s’intéressent également à la stratégie du PD : pour S. Folli dans le Sole, Bersani doit « revoir sa stratégie de campagne » (ton employé trop « sobre » par rapport aux « feux d’artifice » de Berlusconi et axe stratégique plus précis à proposer aux électeurs) et ne surtout pas « donner la victoire du PD pour certaine ». Il revient sur le thème du « vote utile » et le danger que la liste d’Ingroia (ancien magistrat), dans certaines régions-clefs, « récupère les voix les plus à gauche ». E. Letta, dans Avvenire, annonce qu’il n’y aura « jamais d’accord avec Ingroia » mais que « voter utile contre le Cavaliere » est indispensable. Pour le conservateur Foglio, le chef du PD doit impliquer davantage Renzi, jeune maire de Florence, dans la campagne en cours.
Le thème des « imprésentables » reste très présent dans la presse de ce jour : Corradino Mineo (ancien directeur de Rai news 24 et chef de liste PD en Sicile) dans un entretien à l’Unità s’en prend à « la bourgeoisie parasite et mafieuse » et demande que « les candidats suspects soient bannis des listes ». La réunion du « Comité de garantie éthique » du PD aura lieu demain sur le sujet.
« L’anomalie italienne débarque à Strasbourg » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « L’hostilité d’une grande partie du PPE à l’égard de Silvio Berlusconi se révèle comme une arme à double tranchant. Les déclarations d’hier en faveur de Mario Monti du Français Joseph Daul, chef de groupe au Parlement UE, se sont transformées peut-être pas en une gaffe mais en un geste de frustration. Elles souhaiteraient signaler d’une part la préférence de la majorité des partis modérés continentaux pour le président du Conseil sortant et pour sa liste, d’autre part l’intolérance envers un Berlusconi allié à la Ligue et par conséquent au ‘populisme’. Elles soulignent aussi l’anomalie italienne où le référent principal du PPE, le PdL, est en conflit avec l’autre référent, l’UDC et la préférence comme ‘candidat du PPE’ pour Monti, qui n’en fait pas encore partie. Daul, qui ne veut pas attaquer Berlusconi chaque jour par peur ‘d’offrir 2 ou 3 pts au populisme’, préfère repousser le règlement des comptes après les élections italiennes des 24 et 25 février, laissant comprendre qu’il pourrait y avoir ensuite des décisions punitives. Or, le PPE pourrait rester formellement neutre : la contribution du PdL est l’une des plus importantes après celle des allemands CDU-CSU. Lors de la réunion des populaires UE à Chypre, la semaine dernière, l’analyse de la campagne électorale italienne a poussé vers la prudence et le pragmatisme. Entretemps, la relation à huis clos sur l’Italie a été confiée au berlusconien Antonio Tajani, vice-président de la Commission UE. Les sondages estiment le PdL à 20% des intentions de vote, devant la liste de Monti et l’UDC, ce qui suffit pour mettre des remparts aux mécontentements envers Berlusconi. En Italie, la crainte que ces attaques venant de l’étranger puissent favoriser Berlusconi et réduire les chances d’avancée de la coalition centriste guidée par Monti augmente jour après jour. Bien conscient de cela, Monti a contacté hier matin Daul pour protester, expliquant qu’il ne se sentait pas représenter le candidat du seul PPE. Cicchitto, chef de groupe du PdL à la Chambre, en profite pour présenter Monti en tant que Président du Conseil ayant divisé le centre droit et qui s’apprête à gouverner avec le PD de Bersani. Bref, c’est un point épineux et Casini évite d’entrer dans le débat. Le départ ou l’expulsion de Berlusconi du PPE (évoqué par De Mita) dépend aussi des équilibres qui se formeront au Parlement italien et du poids qui se projettera sur le Parlement européen. Voici pourquoi Berlusconi insiste sur le ‘vote utile’ profitant de la perplexité d’une partie de l’électorat sur une victoire de la gauche et évalue Monti à 10% des intentions alors que les sondages sont moins avares avec ce dernier. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Parlement allemand : où Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard seront-ils assis ?
Allemagne et France. Le Spiegel en ligne publie un article au sein duquel il se demande si Marion Maréchal-Le Pen se rendra à Berlin afin d’assister à la fête organisée pour les 50 ans du Traité d’amitié entre l’Allemagne et la France. L’ensemble des députés français sont invités à cette occasion.
Le Spiegel en ligne se pose la question de savoir où Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard seront placés au sein de l’hémicycle du Parlement allemand s’ils sont présents. Les deux députés patriotes ne pourront cependant pas prendre la parole car seuls les chefs de groupes parlementaires seront autorisés à le faire et les patriotes ne disposent pas d’un groupe au sein du Parlement français. Une décision n’a pas encore été prise par l’administration du Parlement allemand à propos de la manière dont les députés seront assis.
(http://www.spiegel.de/politik/deutschland/front-national-...)
Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen
13:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Royaume-Uni : la repentance par rapport à l'esclavage inculquée à la jeunesse.
00:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/01/2013
Le HVIM fait campagne pour un affichage bilingue à Kézdivásárhely.
Roumanie. Transylvanie. Kézdivásárhely / Târgu Secuiesc. Le HVIM (Hongrie) a conduit une campagne afin d’obtenir l’affichage au sein des commerces de cette ville, dont la grande majorité des habitants est de langue hongroise, d’indications en deux langues, roumain et hongrois, plutôt que seulement en roumain.
Voir les photos des affichages dans les commerces : http://kuruc.info/r/3/106666/
23:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le PVV totalement opposé au soutien de 5 milliards d’euros accordé par l’UE à l’Égypte.
Pays-Bas. Une partie de la Chambre des représentants est en colère contre l’envoi possible d’argent par l’Union européenne en Égypte.
Le PVV de Geert Wilders est totalement opposé au soutien de 5 milliards d’euros accordé par l’Union européenne à l’Égypte parce que le président égyptien est, selon le PVV, un virulent antisémite et veut introduire la charia en Égypte.
http://www.usinenouvelle.com/article/aide-de-cinq-milliar...
22:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Denderleeuw : le Vlaams Belang déplore ne pas être consulté.
Belgique. Flandre. Province de Flandre orientale. Denderleeuw. Le chef de file des élus du Vlaams Belang à Denderleeuw Kristof Slagmulder n’est pas content de la manière dont le gouverneur de la province tente de solutionner le problème en excluant le soutien du Vlaams Belang à l’exécutif N-VA et CD&V (nationaux-centristes et sociaux-chrétiens) de la commune et déplore ne pas être consulté.
21:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des Tsiganes de Roumanie sont entrepreneurs à Berlin.
Allemagne. Berlin. Dans un bâtiment à appartements de la capitale allemande se sont installés pas moins de 90 entrepreneurs ! Hélas, il s’agit de Tsiganes de Roumanie qui se présentent en tant qu’entrepreneurs (souvent en démolition) afin d’obtenir ainsi des allocations familiales pour leurs nombreux enfants. Quant à leur activité de démolition, elle est quasi-inexistante.
Que ce soit en Allemagne ou dans le reste de l’Europe occidentale, la gauche conduit à la faillite de la protection sociale en attirant des étrangers qui menacent non-seulement notre système social mais également notre bien-être et notre mode de vie.
19:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Edition de janvier 2013 de la revue "Franc-parler" de l'UDC.
Suisse. La revue de l'UDC "Franc-parler" de janvier 2013 est sortie :
http://www.svp.ch/documents/database/FlipBook/104/flipvie...
19:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mario Monti tire à boulets rouges sur Silvio Berlusconi.
La presse écrite italienne est dominée par les propos critiques de Mario Monti à l’égard de Silvio Berlusconi (« vieux joueur de fifre ») et du très contesté redditometro (instrument de mesure des revenus réels mis en place par le gouvernement Monti, pour lutter contre l’évasion fiscale). Les « prises de bec » Monti-Berlusconi par médias interposés sont largement commentées en pages intérieures : « Monti découvre que le Cavaliere est une canaille » ironise L’Unità, qui publie un entretien de D’Alema, ancien président du Conseil, qui insiste sur le fait que « Le Professeur doit renoncer à l’antipolitique », estimant que « les rapports de force doivent être vus dans une optique européenne ». Pour le Messaggero, proche de Casini (UDC), « Monti change de tactique et se met en compétition avec la droite pour tenter de récupérer les votes des modérés » (ce serait, pour le quotidien, le résultat de sa rencontre samedi avec Casini et Gianfranco Fini). Tous les quotidiens reprennent la riposte de Berlusconi « Monti n’est qu’un bluff » et sa décision de « signer un nouveau ‘contrat avec les Italiens’ » étant donné que, selon lui, « 80% » de son précédent « contrat » a bien été respecté.
« Le Professore combatif » (Ugo Magri, La Stampa) : « Invité du programme télévisé de Bruno Vespa [ndr : sur la RAI, émission « Porta a Porta »], Monti a gagné sur le champ de bataille la médaille de l’ennemi le plus résolu, le plus implacable, le plus sarcastique et le plus féroce du Cavaliere. Jamais un candidat à la présidence du Conseil n’avait attaqué aussi énergétiquement l’image de Berlusconi. Ni Occhetto, ni Prodi, ni Rutelli ni Veltroni. Même Bersani, toujours chez Vespa, s’était contrôlé avec le ton d’un premier ministre in pectore, serein vers la victoire, sans se lancer contre le chef du centre droit. Monti dévoilé pendant deux heures un répertoire d’attaques contre Berlusconi faisant penser à une précise stratégie, politique et communicative. Silvio lui avait reproché de s’être comporté comme un ‘voyou’ pour avoir décidé de se présenter, un choix ‘moralement déplorable’. Des contestations si fortes que tout homme ayant de l’amour propre (y compris le Professore) aurait réagi du même ton. Monti a répondu avec sa classe habituelle, sans tomber dans le piège de la grossièreté. Force est de constater, cependant, un ‘surplus’ d’animosité. Calculée. Etudiée au préalable. Bref, basée plus sur la substance que sur le désir d’offenser. Selon les proches du Professeur, ce dernier a voulu inaugurer un anti-berlusconisme inédit qu’il faudra tester. Basé sur le partage de plusieurs thématiques chères à l’électorat du centre-droit avec des ouvertures (parfois inattendues) : possible réduction des impôts, de la TVA, refus de la taxe sur la richesse, rejet du système d’évaluation du revenu (redditometro), ouvertures sur la modification de l’IMU et de la réforme des retraites de Fornero. Que du bonheur pour les modérés, tout ce qu’un électeur du PdL souhaiterait entendre. Le tout accompagné par un rejet du personnage de Berlusconi, traité de joueur de fifre. Cela s’explique aussi par les derniers sondages qui donnent une avancée de la coalition PdL-Ligue (entre 25-30%). Si cela ne préoccupe pas Bersani qui garderait une marge de 10 points, cela pourrait miner les objectifs de l’entrée dans l’arène de Monti : destruction du bipolarisme ou du moins d’une des deux coalitions. Au pire, cette bataille attirera surtout les fiers opposants de Berlusconi, provoquant un paradoxe étrange : l’inédit Monti combattif de Porta a Porta pourrait récupérer plus de voix chez l’électorat du centre-gauche que de celui du centre droit. Nous le saurons uniquement le 25 février, une fois les urnes ouvertes. ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
18:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Réception de la nouvelle année 2013 du Vlaams Belang à Anvers.
Belgique. Flandre. Anvers. Le Vlaams Belang d’Anvers a tenu ce samedi 12 janvier 2013 une réception de la nouvelle année. Filip Dewinter a déclaré lors de son discours que le Vlaams Belang a perdu un combat lors des élections municipales mais n’a pas perdu la guerre. La qualité d’une armée se reconnaît, selon-lui, à sa capacité à résister à la défaite et à rebondir. Filip Dewinter a cité Wiston Churchill : « Il y a une seule réponse à la défaite, et c’est la victoire. » Il a ensuite critiqué la gestion municipale mise en place par le nouveau bourgmestre [maire], le président de la N-VA Bart De Wever, et ses alliés sociaux-chrétiens et libéraux qui, selon lui, est du même ordre que celle de leurs prédécesseurs socialistes : peu de décentralisation du pouvoir vers les districts, le bourgmestre [maire] reste le président du Conseil communal [municipal] et l’opposition n’a une nouvelle fois pas accès aux conseils d’administration des intercommunales et sociétés d’habitations sociales. De plus, de nouveaux mandats supplémentaires sont créés afin de fournir des emplois aux amis politiques du bourgmestre et de ses alliés.
Filip Dewinter au micro
18:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : divers sondages.
Le Giornale fait sa Une sur un « sondage-choc » de l’institut Euromedia (NDR : institut qui travaille depuis des années pour Silvio Berlusconi et dont les analyses sont prises avec précautions par les analystes italiens) qui donne une remontée très nette du PdL [et de son allié la Ligue du Nord] pour la Chambre des députés (34,2% contre 38,7 au PD, avec la coalition Monti à 11%), mais d’autres quotidiens évoquent d’autres sondages aux résultats très différents (La Stampa cite un sondage EMG qui donne le PD à 37,4% et le PdL à 27,9% [et de son allié la Ligue du Nord], la coalition Monti étant à 14,8%, le Corriere della Sera un sondage IPSOS qui donnerait Monti presque 6 points au-dessus de celui d’Euromedia, soit autour de 17%).
Le débat sur les candidats « présentables » et les « imprésentables » continue : l’ensemble des journaux évoque « le véto vacillant du PdL » sur des candidats « louches » tels que Cosentino, Dell’Utri, Papa ou Milanese. De son côté, le Fatto quotidiano, avec un éditorial de Flores d’Arcais, en appelle à une « réaction » des « présentables du PD » (entre autres les journalistes Mineo et Mucchetti, le philosophe Marzano) qui devraient selon lui poser un ultimatum à Bersani : « ou eux ou nous », afin de présenter des listes réellement « propres » à l’opinion publique.
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’Union européenne va envoyer 5 milliards d’euros à l’Égypte.
L’Union européenne va envoyer 5 milliards d’euros à l’Égypte, alors que le pays est gouverné par les fondamentalistes des Frères musulmans. Le président de la Commission européenne Herman Van Rompuy a placé un message sur Twitter à l’attention du président égyptien : « Vous pouvez être certain que l’Union européenne sera à vos côtés sur le chemin de l’ancrage de la démocratie en tant qu’ami, voisin et partenaire. »
12:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/01/2013
Svoboda refuse de reconnaître la désignation du directeur de la Banque nationale.
Ukraine. Les élus de Svoboda au sein du Parlement refusent de reconnaître la nomination du Gouverneur de la Banque nationale Ihor Sorkin car ils estiment qu’il y a eu des fraudes lors du vote des députés à ce propos.
23:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Silvio Berlusconi confirme vouloir devenir ministre des finances.
Italie. Silvio Berlusconi a confirmé qu’en cas de victoire il n’occupera pas le poste de Premier ministre, mais celui de super ministre des finances.
23:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manifestation du Jobbik à Szigethalom.
Hongrie. Comitat de Pest. Szigethalom. En réponse au lynchage de deux athlètes hongrois réalisé par une quarantaine de Tsiganes (seul un des assaillants a été arrêté par la police) qui s’est produit à Szigethalom lors de la nouvelle année, le Jobbik a organisé une manifestation dans cette ville.
23:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Helle Thorning-Schmidt poursuit sa chute dans les sondages.
Danemark. Le Premier ministre social-démocrate Madame Helle Thorning-Schmidt continue à couler au sein des sondages. Selon une enquête réalisée par l’institut d’analyse Green, 66,5 % des Danois sont mécontents du travail de Madame Thorning-Schmidt.
23:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Procès du Rubygate : pas de report.
Italie. Lors du procès contre Silvio Berlusconi dans le cadre du Rubygate, la défense a demandé ce lundi 14 janvier 2013 au cours de l’audience au sein de laquelle Ruby s’est présentée, un report du procès en raison des prochaines élections générales de février 2013. La demande a été rejetée par les juges.
22:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Droites extrêmes met en avant la présence de Nick Griffin au sein de la manifestation contre le mariage pour tous.
France et Royaume-Uni. Le site Droites extrêmes met en avant la présence de Nick Griffin du BNP au sein de la manifestation contre le mariage pour tous afin de tenter de créer des problèmes à l'aile la plus modérée du Front national. C'est la tactique habituelle de l'assimilation : X connaît Y, donc ils ont les mêmes idées. Tempête dans un verre d'eau :
http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2013/01/14/manif-...
22:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Denderleeuw : vers une solution contre le Vlaams Belang ?
Belgique. Flandre. Province de Flandre orientale. Denderleeuw. Après la rupture du cordon sanitaire, afin de trouver une solution excluant le soutien extérieur du Vlaams Belang à une coalition regroupant le parti national-centriste N-VA et le Parti social-chrétien CD&V, des négociations sont en cours afin d’ajouter le Parti libéral VLD à la gestion de la commune. Le gouverneur de Flandre orientale a donné aux partis concernés jusqu'au 22 janvier 2013 pour trouver une solution.
22:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un ancien député européen conservateur condamné à 4 ans de prison ferme pour corruption.
Autriche. Vienne. L’ancien Député européen conservateur (ÖVP) Ernst Strasser a été condamné à 4 ans de prison ferme pour corruption. Il a la possibilité de faire appel :
http://www.tdg.ch/monde/europe/Un-exeurodepute-condamne-a...
21:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ruby témoigne à Milan.
Italie. Ruby témoigne à Milan.
17:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Delphine Perrella rejoint le MCG.
Suisse. Canton de Genève. Versoix. La Conseillère municipale de Versoix Delphine Perrella, ex-PDC (Parti démocrate-chrétien), rejoint le MCG :
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/expdc-delphine-pe...
17:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
La trahison des techniciens.
« La trahison des techniciens » (Luigi Zingales, L’Espresso) : « Aux Etats-Unis toute interview à Mario Monti commencerait par ‘Président, quand vous avez été nommé, vous vous êtes engagé publiquement à ne pas vous présenter aux élections et à faire des pressions pour que vos ministres fassent de même. Vous avez cependant créé un parti qui présente vos ministres. Comment pouvez-vous convaincre les électeurs à avoir confiance en vous alors que vous avez manqué à votre première promesse d’homme public ?’ En Italie les journalistes sont moins agressifs et une réponse probable serait ‘j’ai été contraint à le faire pour sauver les efforts faits et pour continuer mon programme’. Une intention louable mais erronée. Avec sa ‘montée en politique’, Monti mine la crédibilité de tout éventuel gouvernement technique tout comme son programme. Si au moment le plus grave de la crise Napolitano a fait appel à Monti, cela a été possible car le précédent gouvernement technique (Ciampi) était resté tel et les hommes politiques n’avaient pas peur de venir privés de leur autorité. Après la volte-face de Monti, quel homme politique ira-t-il soutenir encore un gouvernement technique connaissant le danger de réchauffer un serpent dans son sein ? Les crises demandent des réformes structurelles douloureuses qui, par définition, donnent leurs bénéfices à long terme alors que les coûts sont perçus dans le court terme : un binôme insoutenable pour tout homme politique. Le gouvernement des ‘techniciens’ ne devrait pas avoir comme objectif la réélection, mais l’Histoire. C’est cette différente perspective qui donne à un gouvernement technique une crédibilité majeure. L’entrée dans l’arène de Monti change la donne et trouble la transparence des choix de son gouvernement. La réforme de l’article 18 du Statut des travailleurs a-t-elle été réalisée pour améliorer le marché du travail ou pour complaisance envers Confindustria ? La décision de ne pas demander à l’Eglise de payer l’impôt immobilier arriéré a-t-elle été prise pour s’assurer l’appui du cardinal Bagnasco ? L’agenda Monti, jadis vision d’un illuminé, devient le programme de n’importe quel homme politique voulant remporter les prochaines élections. De cette erreur Monti devra en répondre à l’Histoire. Et à sa conscience. »
(Ambassade de France à Rome)
17:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Jobbik contre la construction d'un centre tsigane à Miskolc.
Hongrie. Comitat Borsod-Abaúj-Zemplén. Miskolc. Le Jobbik rejette le plan du gouvernement visant à construire un Centre international tsigane. Le parti estime que les citoyens doivent pouvoir donner leur avis sur le sujet. Le parti va lancer une campagne de porte-à-porte afin de récolter 35.000 signatures en 30 jours en vue d’obtenir la consultation du peuple sur le sujet. Depuis 2010, selon le Jobbik, 3.500 habitants ont quitté la ville.
17:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lombardie : un sondage donne le centre-droit gagnant.
Italie. Lombardie. Un sondage paru ce dimanche 13 janvier 2013 dans le Corriere della Sera donne le centre droit, avec Roberto Maroni (Ligue du Nord), devant le centre gauche en Lombardie, tout en précisant que « l’écart est récupérable ».
15:52 | Lien permanent | Commentaires (0)