Tomislav Nikolić en faveur de l’Union européenne et du développement des relations avec la Russie.

Serbie. Le dirigeant du SNS Tomislav Nikolić a déclaré au quotidien russe « Izvestiya » qu’il est en faveur de l’Union européenne et du développement des relations avec la Russie. Tomislav Nikolić désire une reconstruction de l’État selon les standards de l’Union européenne et un approfondissement des contacts avec la Russie. Il a déclaré que Vladimir Poutine est le premier responsable politique post-soviétique qui a compris les problèmes de la Serbie et qui a montré clairement que la Russie est un partenaire sûr.

Bal de l’AUFRettung.

Autriche. Fin janvier 2012, 240 invités ont participé au premier bal de l’AUFRettung (Communauté d’action des Indépendants et libéraux), une organisation annexe du FPÖ. Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache était présent.

Bürger in Wut favorable à Joachim Gauck.

Allemagne. La direction fédérale de Bürger in Wut (Citoyens en colère) salue la désignation de Joachim Gauck pour l’élection indirecte à la présidence de la République qui doit se tenir le 18 mars 2012.

Un député européen conservateur passe à l'UKIP.

Royaume-Uni. Le Député européen Roger Helmer quitte le Parti conservateur pour l’UKIP. Il estime que l’UKIP représente mieux les valeurs conservatrices de sa région que le Parti conservateur.

Une manifestation pour les soldats maudits a réuni 1.500 personnes à Varsovie.

Pologne. Une manifestation organisée ce 1 mars 2012 à Varsovie par des supporters de Legia Warszawa et par des nationalistes en souvenir des soldats maudits, qui ont combattu le communisme entre 1944 et 1963, a réuni 1.500 personnes.

Voir des photos : http://narodowcy.net/marsz-zolnierzy-wykletych-w-warszawi...

Conférence du FBI sur les relations entre la Turquie et l’Union européenne.

Autriche. Le vendredi 24 février 2012, le centre de formation du FPÖ (FBI – FPÖ-Bildungsinstitut) a donné une conférence sur le thème « La Turquie - loin de l’Europe ? » Des exposés ont  eu lieu sur les relations de la Turquie avec le Kurdistan, Chypre du Nord et l’Arménie. Ils en disent long sur la maturité politique de cet État candidat à l’Union européenne. Les orateurs ont critiqué la brutalité exercée par la Turquie contre les Kurdes, Grecs et autres peuples. 

Parmi les personnes qui ont pris la parole figurent le Président du FBI Hilmar Kabas et le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer. Ce dernier a mis en avant les relations ambivalentes entre la Turquie d’une part et la liberté des Autrichiens et Européens d’autre part. 

Les relations entre la Turquie et l’Europe atteindront un degré élevé de tension lorsque Chypre prendra, pour 6 mois,  le 1 juillet 2012 la présidence de l’Union européenne. Le Premier ministre turc Erdoğan a déjà annoncé qu’il ne voudra pas parler durant cette période avec l’Union européenne (avec naturellement une exception pour la Commission européenne d’où vient l’argent). 

Le Vice-président du parti de Turquie BDP Hasip Kaplan a ensuite pris la parole à propos des relations entre la Turquie et les Kurdes de Turquie. Il a déclaré que depuis 1980, les combats ont fait jusqu'à 40.000 morts, que 4.000 villages ont été détruits et que 4.500 meurtres restent non-élucidés. (BDP : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_pour_la_paix_et_la_d%C...) 

Le Directeur du Musée byzantin de Nicosie (Chypre) Charalampos Chotzakoglou a ensuite pris la parole pour dénoncer la destruction des églises et des biens culturels à Chypre-Nord. Des Turcs de Turquie y ont été massivement importés et une islamisation y est en cours.

La conclusion de la réunion a été tirée par le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache : la Turquie n’a pas sa place dans l’Union européenne.  D’autres conférences sur le sujet auront lieu, notamment avec la participation de Turcs.

Au centre : le Vice-président du groupe des élus du BDP Hasip Kaplan et le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache.

Xavier Moreau parle des élections présidentielles russes.

Xavier Moreau, Saint-Cyrien et officier parachutiste, titulaire d’un DEA de relations internationales à Paris IV Sorbonne, spécialisé  dans les relations soviéto-yougoslaves pendant la guerre froide. Fondateur d’une société de conseil en sûreté des affaires, installé en Russie depuis 12 ans, travaillant également sur l’Ukraine, le Kazakhstan et la Serbie.

La Russie avant les élections : point de situation par realpolitiktv (22/02/2012)

Les entreprises agricoles hongroises se tournent de plus en plus vers l’Est.

Hongrie. Avant la chute du communisme, de nombreux produits hongrois ont été vendus en Union soviétique. Après la chute du communisme, la Hongrie a perdu son accès aux marchés de l’Est.

Le Ministre hongrois du développement rural Sándor Fazekas (Fidesz – Parti conservateur) a déclaré que les marchés de l’Est sont prometteurs, mais pas seulement pour la Hongrie. Le monde entier désire exporter vers la Russie et le Kazakhstan. Si la Hongrie ignore des relations étatiques de haut niveau avec ces pays, elle perdra ces marchés. Sándor Fazekas ajoute que les sociétés de ces pays sont construites de telle manière que l’État joue un rôle majeur dans les activités économiques. L’État a le pouvoir de décider qui peut entrer sur le marché économique  du pays. Lors des derniers mois, la Hongrie a éliminé de nombreux obstacles dans ces relations avec la Russie. Grâce à cela, le nombre d’entreprises hongroises  qui peuvent exporter vers la Russie est passé de 30 à 130.

La Serbie obtient le statut de candidat à l’Union européenne.

Serbie. La Serbie a obtenu, plus de deux ans après avoir frappé à la porte de l'Union européenne, le statut convoité de candidat à l'adhésion à l’Union européenne. Le dirigeant du SNS Tomislav Nikolić a déclaré qu’il est heureux, en tant que citoyen serbe, que la Serbie ait reçu le statut de candidat à l’Union européenne. Cependant, il pense que ce statut ne signifie rien tant que la Serbie n’est pas prête, suite à des réformes à entreprendre, à avancer vers l’adhésion.

Vladimir Poutine donné vainqueur veut assurer la totale transparence du scrutin.

Le Cavaliere revient sur la scène.

« Le Cavaliere revient sur la scène et sème la pagaille au sein du PD » (Marcello Sorgi, La Stampa) :  « À peine Monti a-t-il déclaré que si l’exécutif parvient à atteindre ses objectifs, il ne lui sera pas demandé de rester au-delà de 2013 – façon élégante de suggérer que les partis l’aident jusqu’à un certain point à réaliser le programme pour lequel il a été appelé – voilà que Berlusconi revient sur scène et objecte que la coalition PdL-PD-3e pôle pourrait se renforcer et durer après 2013, avec l’entrée au gouvernement de ministres politiques des trois partis dans le but de réaliser (ou de compléter) les réformes les plus urgentes. Déclaration tout à fait imprévue, Berlusconi ayant dit qu’il allait rester à l’écart de la campagne des élections locales pour ne pas être mêlé à une défaite. Mais déclaration logique, qui fait abstraction du scrutin de mai pour se projeter directement vers celui de 2013, que tous les partis abordent dans l’intention de refermer ensemble la parenthèse de l’exécutif technique et la longue ère berlusconienne. Le Cavaliere, au contraire, confirme qu’il n’a pas l’intention de se retirer et veut mettre le PD dans l’embarras. Bersani n’a rien pu faire d’autre que de répondre : pour le PD, un exécutif fondé sur une alliance vraiment politique avec des ministres issus des partis de la majorité, ça n’existe pas. Réplique sèche, visant à ne pas affaiblir Monti au stade le plus délicat des pourparlers sur le marché du travail. La sortie inattendue du Cavaliere peut avoir eu deux mobiles : le premier, probable, est qu’il l’ait fait pour mettre en difficulté le PD ; le second, à ne pas écarter, est qu’il a compris que le PD ne peut vivre sans l’antiberlusconisme et qu’il tente de l’asticoter. Il a en tout cas réussi à réveiller une campagne jusqu’ici endormie par la ‘cure Monti’ et par la rupture des deux camps qui se retrouvent symétriquement pour moitié au gouvernement et pour moitié dans l’opposition. Avec quels effets, on le saura vite. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Journée nationale du soldat maudit.

Pologne. Le 1 mars est la journée nationale du soldat maudit (polonais, national, anticommuniste). L’activité militaire clandestinne s’est déroulée entre 1944 et 1963 et s’est terminée par la mort du dernier soldat, Józef Franczak, en 1963.

Insultes et verre d’eau au Grand Conseil de Genève (suite).

 
Suisse. Canton de Genève. Le Bureau du Grand Conseil genevois a dû discuter à nouveau jeudi de la sanction qu’il avait infligée mardi au Député du Grand Conseil de Genève et Président du Mouvement des Citoyens Genevois (MCG) Eric Stauffer : 

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/bf29f088-63e3-11e1-a32e-2...

Référendum irlandais sur le nouveau pacte budgétaire européen.

Irlande. Le référendum sur le nouveau pacte budgétaire européen, annoncé le 28 février 2012 par le Premier ministre irlandais Enda Kenny, a créé la surprise. Enda Kenny  a déclaré : « Les Irlandais voteront oui pour assurer la stabilité économique du pays. » Aucune date n’a été communiquée.

Les (Vrais) Finlandais votent contre le plan d'aide à la Grèce.

Finlande. Le Parlement a voté ce mercredi 29 février 2012 en faveur du plan d’aide à la Grèce. Le Parti des (Vrais) Finlandais a voté contre.

Andreas Mölzer et d'autres députés européens reçus au Parlement du Land de Vienne.

Autriche. Au début du mois de février 2012, des députés européens de différents partis autrichiens ont été invités pour la première fois au Parlement du Land de Vienne. Ils ont tenu un discours. Le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer a critiqué les eurocrates qui imposent le centralisme et portent atteinte à la souveraineté des États-membres. Il a dénoncé les transferts de payements, tout particulièrement l’argent pour la Grèce qui, selon lui, est jeté dans un puits sans fond. Andreas Mölzer a ajouté que ces moyens étaient bien plus indispensables à Vienne, qui est endettée. 

Le porte-parole du FPÖ pour l’Europe et Député du Parlement du Land de Vienne Wolfgang Jung, le Député européen Andreas Mölzer et le chef de file des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne Johann Gudenus.

Le Jobbik donné deuxième parti politique de Hongrie à 24 %.

Hongrie. Selon un sondage Medián de février 2012, le Parti conservateur Fidesz reste le premier du pays, mais est en recul. Le deuxième parti parmi l’ensemble de la population et parmi les électeurs décidés est le Jobbik.

Le Président du Jobbik Gábor Vona voit sa popularité augmenter et est le dixième politicien le plus populaire du pays, légèrement derrière le maire de Budapest et le président hongrois.

Selon ce sondage, 24 % des électeurs décidés auraient voté pour le Jobbik si les élections législatives s’étaient tenues en février 2012. C’est 2 % en plus que ceux qui auraient voté pour le Parti socialiste. 

Électeurs décidés : 

Fidesz (conservateurs) : 40 % 

Jobbik : 24 %

Parti socialiste : 22 % 

LMP (verts-libéraux) : 8 % 

DK (scission du Parti socialiste) : 4 %

Le SNS et l’Association des petites et moyennes entreprises signent un accord.

Serbie. Le SNS et l’Association des petites et moyennes entreprises ont signé un accord afin de participer ensemble aux élections. L’Association des petites et moyennes entreprises soutiendra financièrement la campagne. Elle est attirée par le programme économique présenté par le SNS.