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14/12/2011

Manifestations anti-communistes en Pologne.

Pologne. Au cours des derniers jours, des manifestations anti-communistes ont eu lieu. Un rassemblement s’est, par exemple, déroulé à Varsovie devant la maison du Général Jaruzelski, le dictateur communiste responsable de l’instauration de la loi martiale le 13 décembre 1981. Les démonstrations ont été organisées par MW (Jeunesses de Toutes les Polognes), par l’ONR (Camp national-radical), par des nationalistes autonomes et par des supporters d’équipes de football. 

Varsovie : 1.000 à 1.500 personnes

Wrocław : 1.000 personnes (organisé par Renaissance nationale de la Pologne, un parti national radical implanté essentiellement dans le Sud du pays).

Lublin : 600 personnes

Lódź : 400 à 500 personnes

Szczecin : 300 personnes

Cracovie : 300 personnes

Poznań : 150 à 200 personnes

Bydgoszcz : 200 personnes

 

Le PiS (Loi et Justice, Parti conservateur anti-communiste) a organisé une « Marche pour l’indépendance et la solidarité » qui a rassemblé 3.000 personnes, essentiellement des individus âgés. Les nationalistes considèrent qu’en signant le traité d’adhésion à l’Union européenne, le défunt Président Lech Kaczyński (PiS) a trahi la nation et que cette manifestation du PiS est une tentative de récupération.

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Lodz.


Lodz. 

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Wroclaw

Lublin.

Suisse : le Parlement a définitivement rompu avec la concordance qui a fait ses preuves.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix :

Le Parlement a une fois de plus rejeté lors de ces élections générales au Conseil fédéral le droit établi de l'UDC à un deuxième siège au gouvernement suisse. Le Parlement a ainsi rompu avec le système de concordance, qui a fait ses preuves, pour installer définitivement une coalition de centre-gauche au gouvernement. Il a raté une occasion de créer une stabilité politique durable. L'UDC, qui est de loin le premier parti de Suisse par le nombre de ses électeurs, et avec elle plus d'un quart de l'électorat suisse continuent donc d'être sous-représentés au gouvernement du pays. Reprenant immédiatement son travail politique, l'UDC continuera de se concentrer sur les problèmes et défis qui attendent la Suisse: la sauvegarde des emplois, la défense de l'indépendance du pays, la consolidation des institutions sociales, la reprise du contrôle de l'immigration et la solution des problèmes massifs qui affectent le secteur de l'asile.  

L'UDC regrette cette rupture définitive du Parlement avec le système de la concordance, car elle est sérieusement inquiète pour l'avenir de notre pays. Les pays voisins de la Suisse s'enfoncent dans une crise financière et d'endettement profonde, le chômage augmente, les tensions sociales s'accentuent, la sécurité intérieure est menacée par le chaos qui règne dans le secteur de l'asile. Dans cette situation, il eût été d'une importance capitale de donner à la Suisse un gouvernement stable dans lequel les quatre principaux partis portent ensemble la responsabilité gouvernementale à la mesure de leur force électorale. Avec un seul conseiller fédéral, l'UDC ne peut pas assumer la part de responsabilité gouvernementale qui lui revient et elle misera donc davantage sur la participation directe des citoyennes et des citoyens moyennant des référendums et des initiatives populaires.

 

L'UDC félicite le conseiller fédéral Ueli Maurer de sa brillante réélection et lui souhaite force et succès pour la législature à venir. Comme unique représentant de l'UDC, il n'aura pas une tâche facile. L'UDC remercie en outre le conseiller national Jean-François Rime et le président du Conseil national, Hansjörg Walter, d'avoir accepté de s'engager personnellement pour rétablir la concordance. L'UDC est fière de pouvoir compter dans ses rangs des personnalités aussi profilées et engagées.

84 % des Suédois sont contre l’euro.

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Suède. Pour la première fois depuis 2007, moins de la moitié de la population suédoise, soit 47 %, est en faveur du fait que la Suède est membre de l’Union européenne. 25 % sont contre. Chez les partisans des Démocrates suédois, 20 % sont pour le fait que la Suède est membre de l’Union européenne.

 

84 % des Suédois sont contre l’euro et 11 % pour (la Suède est membre de l'Union européenne, mais pas de la zone euro).

13/12/2011

Stockholm : des nationalistes attaqués.

Suède. Un fort affrontement, mais de courte durée, a eu lieu à Stockholm entre des manifestants nationalistes et des représentants de la gauche radicale. Les organisateurs de la marche en souvenir de Daniël Wretstrom (la Fondation Salem du nom de la ville où les faits ont eu lieu), un Suédois de 16 ans assassiné en étant battu à mort en 2000 par une bande ethnique, organisée chaque année aux environs du 9 décembre n’ont pas désiré planifier une marche cette année. Quelques nationalistes n’ont pas baissé les bras et se sont rassemblés, mais à Stockholm, ce qui a amené des gauchistes à les attaquer.

Emma West est sortie de prison.

Royaume-Uni. Emma West, qui avait été arrêtée pour les propos tenus dans un tram, est sortie de prison.

 

(http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/emma-wes...)

Krisztina Morvai lance un programme d’application de la loi.

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Hongrie. Le Député européen élu sur les listes du Jobbik Madame Krisztina Morvai a lancé un programme d’application de la loi afin d’aider à la coexistence entre les Hongrois et les Tsiganes et de combattre la pauvreté et le crime parmi la population tsigane.

Le Parti du Peuple danois donné à 12 %.

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Danemark. Dans les derniers sondages, le Parti du Peuple danois (Dansk Folkeparti -  DF) est donné à entre 11 et 13 %. Lors des élections législatives du 15 septembre 2011, le parti avait obtenu 12,3 %. Les sociaux-démocrates qui avaient obtenu 24,8 % lors de ce scrutin sont donnés à 19, 9 % dans le dernier sondage.

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Jobpunt fait trop peu une priorité de la diversité.

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Belgique. Flandre. Jobpunt, le bureau de recrutement des autorités locales de la partie néerlandophone de Belgique et régionales flamandes a été placé au pilori parce que le bureau fait trop peu d’efforts afin de recruter des allochtones. Jobpunt fait trop peu une priorité de la diversité et doit modifier sa stratégie afin de toucher les allochtones.

 

Filip Dewinter du Vlaams Belang dénonce cette chasse aux sorcières. Selon lui, la moindre proportion d’allochtones au sein de l’administration est due à un manque de connaissances linguistiques, à moins de diplômes et de discipline de leur part.

La demande de référendum du MCG validée à Carouge.

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Suisse. Carouge. La demande de référendum du MCG validée :

 http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/Indemnites-pour-anciens-maires-devant-le-peuple-15346481

Bossi : "Berlusconi est avec les communistes."

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« Bossi : ‘Berlusconi est avec les communistes’ » (Alessandro Sala, Corriere) : « L’idylle est finie, au moins pour l’instant. Bossi, pourtant considéré jusqu’à récemment comme l’allié le plus fidèle de Berlusconi, s’est montré très critique sur l’avenir de l’alliance Ligue-PdL : ‘Ça dépendra de nous. À présent, il n’y a pas d’axe avec Berlusconi, c’est chacun pour soi. Berlusconi est avec les communistes dans cet exécutif, ce n’est pas le moment de faire des alliances.’ La Ligue s’est toujours opposée à l’opération Monti et Bossi en fait une question de principe et d’amour propre : ‘L’exécutif va couler et c’est très bien. C’est le Président de la République qui l’a formé, en prenant la responsabilité de dissoudre un exécutif légitimement élu. Ce commissaire d’origine européenne et bancaire a fait un gouvernement des banquiers’. Le plan de rigueur ? Il ‘n’apportera que de la pagaille’ ; ‘ceux qui l’ont fait sont mauvais car il touche les retraites, les vieux’. Pour Bossi, l’euro est ‘kaputt’ et ‘l’Italie a perdu la guerre, et la Padanie l’a gagnée ; tout le reste, c’est du bidon’. L’Europe ‘existe parce qu’ils disent vouloir faire un Fonds pour soutenir les États, sauf que personne ne veut y mettre d’argent, donc rien ne se fera.’ ‘Il n’y a pas de fonds qui puisse sauver les États ; les Allemands ont raison de ne pas vouloir payer les dettes des Italiens et des Grecs.’ Si l’euro s’effondre, pas de retour à la lire : ‘la Padanie créera sa monnaie, elle ne peut pas continuer à entretenir tous ces vauriens’. Quant à Tremonti, depuis toujours considéré comme le plus léghiste au PdL : ‘c’est quelqu’un de bien et il nous rejoindra’. Réponse d’A. Martino, berlusconien de toujours : ‘La seule chose positive dans l’actuelle absence de démocratie, c’est qu’on n’a qu’un Monti ; on s’est libéré de Tremonti – bon débarras. Bien-sûr, il pourrait revenir. Comme ambassadeur de Bossi en Allemagne, peut-être, pour représenter la Padanie fantomatique et inexistante.’ »

 

« Les Italiens, Monti et le plan de rigueur : après un mois, la confiance demeure » (Angelo Melone, La Repubblica) : « Un sondage Ipr Marketing tire le bilan du premier mois de Monti. Les Italiens, inquiets, gardent une certaine confiance dans l’action du président du Conseil. Le plan de rigueur est lourd, certes, mais l’annonce des sacrifices demandés paraît peu nuire à la popularité de Monti : 58%, soit un très bon score, proche de celui de Berlusconi à son zénith, ces 62% qu’avait aussi atteints Monti le 1er décembre, juste avant la présentation du plan. Le plus frappant est la faible variation du jugement des Italiens. Durant ce premier mois, très rude, au pouvoir, la popularité de Monti a crû, passant de 50% à sa nomination à 55% 3 jours plus tard, à la formation du gouvernement, et à 62% début décembre. Puis vinrent l’annonce des mesures pour ‘sauver l’Italie’ : premières polémiques, constat des sacrifices nécessaires, critiques sur les réformes proposées. Or la majorité des sondés (37%) fait porter la responsabilité de ces mesures à l’action du gouvernement précédent, 30% l’imputant à la situation internationale et 26% seulement à Monti lui-même. Les scores des ministres sont moins significatifs, vu leur faible notoriété. Mais notons le score intéressant d’Elsa Fornero, ministre du Travail (58%), alors que les retraites sont indubitablement un des aspects les plus délicats du plan de rigueur pour l’opinion. Un mois plus tard, la confiance persiste, et ce le jour même de la grève générale. Demain s’ouvre le difficile examen du plan au Parlement. »

 

« La tempête financière qui voit le spread osciller à des niveaux inquiétants ne s’apaise pas. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Geert Wilders défend les propriétaires.

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Pays-Bas. Le Président du PVV Geert Wilders veut protéger l’existence de la déduction fiscale pour les personnes qui payent les intérêts d’une hypothèque lors de l’achat de leur propre habitation. Selon lui, les propriétaires néerlandais doivent continuer à bénéficier de cet avantage.

 

Geert Wilders veut, lors des négociations prévues en février 2012 avec le gouvernement CDA-VVD (Parti démocrate-chrétien - Parti libéral de droite), couper dans l’aide au développement, le financement de l’Europe, les subsides, la radiotélévision publique, la protection du milieu et « autres hobbys de gauche ».

Histoire politique : Eva Péron.

Franck Abed reçoit Jean-Claude Rolinat au sujet d'Eva Perón (Argentine).

 

12/12/2011

Des pro-Vladimir Poutine se mobilisent.

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Russie. Vladimir Poutine est populaire au sein de larges couches de la société.


 

Article de l'Express : "Poutine reste populaire dans de larges couches de la société." :

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/russie-pout...

Le vice-président du SNS réclame, de nouveau, la démission du gouvernement.

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Serbie. Le SNS appelle une nouvelle fois à des élections anticipées. Ce dimanche 11 décembre 2011, le Vice-président du SNS Aleksandar Vučić a déclaré que la seule solution pour la Serbie est la démission du gouvernement : « Le gouvernement serbe a montré un manque complet de sérieux et une terrifiante irresponsabilité de par la politique qu’il conduit. » Il considère que le fait que la Serbie n’a pas reçu le statut de candidat à l’Union européenne n’est pas la seule raison qui doit conduire à la démission du gouvernement, mais également la corruption grandissante et la situation économique désastreuse.

Anders Breivik reçoit de nombreuses demandes en mariage.

Norvège. Anders Breivik qui a conduit des attentats à Oslo en juillet 2011 est maintenant autorisé à lire le journal et son courrier. Selon certains organes de presse norvégiens, parmi les lettres qu’il reçoit figurent, à côté de courriers de menace et de factures, de nombreuses demandes en mariage.

 

(Source :

http://www.focus.de/politik/ausland/terror-in-norwegen/fanpost-fuer-den-massenmoerder-anders-breivik-erhaelt-mehrere-heiratsantraege_aid_693343.html)

Les dirigeants russes considèrent que les fraudes ne portent que sur une quantité minime de bulletins.

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Russie. Les dirigeants considèrent que les fraudes dénoncées par l'opposition aux législatives ne portent que sur une quantité minime de bulletins et ne peuvent pas remettre en cause les résultats. Le Président russe Dmitri Medvedev a ordonné dimanche l'ouverture d'une enquête sur les fraudes.

Italie : maintenant la pression se déplace à l’intérieur des partis.

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« Maintenant la pression se déplace à l’intérieur des partis » (Lina Palmerini, Il Sole 24 Ore) : « Et d’un. Le premier effet du gouvernement technique est déjà là : il a suffi du plan de rigueur, désormais à l’examen des Commissions Budget et Finances des Chambres, pour faire souffrir les coalitions du temps de Berlusconi. Le centre droit tel qu’il était semble un lointain souvenir, alors qu’il y a quelques semaines à peine on présentait Bossi comme l’allié de fer de Berlusconi. Après la confiance accordée à Monti, la Ligue tire à boulets rouges contre le PdL et en rajoute à propos de fiscalité et de retraites. Premier effet donc : cette alliance est morte. Récemment, Maroni (appelé à présider le groupe Ligue à la Chambre) disait : ‘ce n’est pas un gouvernement technique car il a dès le départ une mission politique : démonter les coalitions actuelles’. Peut-être n’est-il pas né dans ce but précis mais, certes, il a un effet collatéral politique. A droite comme à gauche. Car une autre photo a jauni : celle du ‘pacte de Vasto’ qui montrait les n°1 du PD, d’IdV et de SeL engagés dans une alliance électorale définitive et sans alternative. Là aussi, la coalition se défait : la chronique des derniers jours évoque un Bersani à couteaux tirés avec Di Pietro, et un Vendola qui suit de plus près le malaise et la protestation populaire qu’un PD qui, responsable, dit ‘le pays d’abord’. Le plan Monti a donc déjà mis à mal la structure des deux camps. Or ce n’est qu’un début : l’action économique du gouvernement porte en elle un potentiel de fragmentation non seulement des alliances mais aussi des partis eux-mêmes. Il suffit de comparer la réaction du responsable économie du PD Stefano Fassina avec celle d’Enrico Letta : leurs lignes sont quasi diamétralement opposées. Idem au sein du PdL : des courants antagonistes se sont formés sur les mesures à adopter. Au bout du compte, un vote de confiance devra refaire la cohésion des forces principales, PdL et PD, tandis que le 3e pôle est plus à l’aise. Si vraiment Monti présente en janvier la première vraie réforme, celle du Statut du travail, on verra le second effet collatéral. Les partis, après les coalitions, seront à leur tour sous pression. Si le plan de rigueur fait aujourd’hui plus de mal au PD, la révision du marché du travail met au pied du mur de ses contradictions ce parti où coexistent Pietro Ichino et Stefano Fassina, Enrico Letta et Cesare Damiano. Des cultures politiques très différentes qui cohabitent en un amalgame à ce stade encore peu réussi. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

L’Autriche modifie son hymne national.

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Autriche. Le Parlement a voté deux modifications de l’hymne national. L’hymne rend désormais hommage aux fils et filles de la patrie (et plus seulement aux fils de la patrie) et le mot « chœurs fraternels» devient « chœurs joyeux. »

 

Le FPÖ, FPK et BZÖ ont voté contre. Les sociaux-démocrates, les écologistes et les conservateurs ont voté pour. Stefan Petzner du BZÖ a déclaré que ces changements ne sont pas nécessaires et a annoncé : « Nous chantons ce que nous voulons. »

11/12/2011

Le RFJ contre la modification de l'hymne national.

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Autriche. En novembre 2011, le RFJ (Ring Freiheitlicher Jugend - Cercle des Jeunes libéraux) a conduit de nombreuses actions en Basse-Autriche en vue d'exiger la préservation de l’hymne national, que certaines personnalités politiques veulent féminiser.

30ème anniversaire de l'instauration de la loi martiale en Pologne.

Pologne. Il y a 30 ans, l’hiver en Pologne était dur. Pas seulement parce que la température était aux environs de 20 degrés en dessous de zéro et parce que la population devait affronter un des hivers les plus rigoureux. En effet, le 13 décembre 1981, le dictateur communiste, le Général Wojciech Jaruzelski, décidait d’utiliser la force contre l’opposition anti-communiste et le mouvement Solidarność (Solidarité) en établissant la loi martiale en pologne.

 

Les communistes ont essayé de broyer le sentiment anti-communiste existant au sein de la société polonaise. Des milliers de personnes ont été arrêtées et internées et la vie normale a été fortement restreinte. Plus de 100 personnes ont été tuées. La diffusion des programmes de la télévision et de la radio ont été bloqués et la population interdite de sortir en rue après 10 heures du soir. Les Polonais de l’époque ont connu une expérience difficile.

 

Après 1989, les partisans du Général Jaruzelski (et également les milieux démocrates-libéraux qui étaient au sein de Solidarność, mais ont trahi la nation polonaise en 1989, lorsqu’ils ont décidé de partager leur influence au sein du gouvernement avec les communistes) défendent cette décision et disent qu’il était nécessaire de protéger la Pologne contre l’invasion soviétique. Selon cette opinion, la Pologne a évité le destin de la Hongrie en 1956 et de la Tchécoslovaquie en 1968. C’est complètement faux. À cette époque, l’Union soviétique était impliquée dans une guerre en Afghanistan. De plus, des historiens ont découvert que l’Union soviétique n’était pas intéressée par une invasion de la Pologne.

 

En cette année 2011, du 10 au 13 décembre, de nombreuses manifestations contre le communisme ont lieu à travers la Pologne : à Varsovie, Gdańsk, Poznań, Wrocław, Łódź, Cracovie, Lublin et Szczecin. Ces différents rassemblements sont organisés par le milieu nationaliste ou par la mouvence conservatrice anticommuniste. Des lectures historiques, des projections de films et des concerts ont également lieu.

 

Affiches de différentes manifestations qui se tiennent entre le 10 et le 13 décembre 2011 en Pologne :  

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"Plutôt mort que rouge."

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Elisabeth Kaufmann-Bruckberger devient député du BZÖ.

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Autriche. Suite au départ pour le Parlement européen d’Ewald Stadler, Elisabeth Kaufmann-Bruckberger (41 ans) devient député du BZÖ au Parlement national de Vienne.

 

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Le Président du BZÖ Josef Bucher, Elisabeth Kaufmann-Bruckberger, Ewald Stadler.

10/12/2011

Un représentant de l'UDC Suisse au Club libéral en Autriche.

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Autriche. En novembre 2011, le représentant de l’UDC Suisse Ulrich Schlüer a présenté lors d’une soirée du « Club libéral » les avantages du modèle suisse en présence du Ministre FPÖ du Land de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner. 

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Deuxième position à partir de la gauche : Manfred Haimbuchner, troisième : Ulrich Schlüer

René Stadtkewitz confimé à la tête de die Freiheit.

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Allemagne. Lors du congrès du parti die Freiheit qui se tient à Francfort-sur-le-Main, ce samedi 10 décembre 2011, René Stadtkewitz a été confirmé à la tête du parti.

Le FPÖ favorable au modèle suisse.

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En novembre 2011, la direction nationale du FPÖ s’est réunie en conclave en Haute-Autriche. Lors d’une conférence commune, le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache et le Ministre FPÖ de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner ont présenté les résultats de la réunion : le FPÖ veut introduire en Autriche le système de la démocratie directe sur le modèle suisse, ce qui implique pour le gouvernement une obligation de consulter le peuple et d’appliquer les résultats des consultations.

Manifestation à Moscou contre Vladimir Poutine.

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Russie. L'opposition manifeste contre Vladimir Poutine et conteste le résultat des élections législatives.