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17/06/2011

En attendant Pontida.

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« Bossi sibyllin, ses ultimatums trahissent ses difficultés » (Massimo Franco, Corriere) : « La Ligue entretient le suspense avant le rassemblement de Pontida et annonce que, pour la première fois, seul Bossi s’exprimera – pour faire taire les rumeurs sur un chef contesté dans une Ligue en proie à la tentation des courants. Objectif : suggérer que, même affaibli, le parti, a en main les clefs de l’exécutif et le sort de Berlusconi. Mais les déclarations de Bossi, rares et sibyllines, reflètent plutôt le mal qu’il éprouve à rompre avec le PdL, et plus la faiblesse et la frustration de la Ligue que son rôle stratégique. Au mieux peut-il espérer des concessions de Berlusconi à propos d’immigration ou de fin de la mission en Libye. Quand, hier, Bossi a baissé le pouce, geste interprété comme un indice possible de la fin de l’alliance, les ministres Ligue et Berlusconi ont démenti – mais si le second parle d’une attaque contre les médias, Maroni dit, mystérieux, ‘je vous renvoie à Pontida’, façon d’éveiller l’intérêt en élevant la tension. Hier, Bossi a arraché un durcissement des sanctions contre les clandestins et La Padania a titré ‘Stop à la guerre en Lybie’, mais c’est surtout pour prévenir la contestation à Pontida. A l’arrière-plan, l’enquête sur la ‘P4’ impliquant G. Letta ajoute une inconnue à celle ouverte par l’affrontement entre l’Etat et Lorenzo Bini Smaghi, membre du conseil exécutif de la BCE, à qui Berlusconi demande de se retirer (en faveur d’un Français) pour permettre la nomination de Mario Draghi à la présidence. Mais Bini Smaghi résiste et l’initiative, même si elle partait d’une bonne intention, risque d’ouvrir un contentieux aux effets imprévisibles. »

 

« Berlusconi : ‘J’aurais presque envie de quitter l’Italie’ » (A. La Mattina, La Stampa) : « Berlusconi sait que les ‘révélations’ de Bisignani feront du bruit, sent la nasse se resserrer autour de Gianni Letta et de lui-même et craint que certains ministres ne soient inquiétés. A Bossi, il dit que ce n’est pas le moment de poser des conditions intenables et l’autre l’aurait rassuré. Qu’on ne se méprenne pas sur son geste du pouce : la fin de l’exécutif n’est pas en vue à Pontida, même si Berlusconi répète qu’ils sont nombreux à vouloir sa tête – ‘mais ils ne l’auront pas’, ajoute-t-il, ‘car personne n’a d’alternative prête’. Objectif : passer l’été avec, au pire, des élections en avril 2012. L’idée est de survivre jusqu’à l’an prochain et de calmer la Ligue en lui jetant en pâture l’accord d’aujourd’hui entre Frattini et le CNT libyen pour la réadmission des migrants. Le plus gros cadeau fait à Bossi vient de Tremonti, qui a promis un assouplissement du pacte de stabilité pour les communes vertueuses – tout en expliquant que ce devrait être discuté à Bruxelles. Berlusconi devra aussi contenter Bossi par un nouveau mode de scrutin, mais c’est sur le front des missions militaires que le problème est le plus délicat – même si le Cavaliere assure, là encore, qu’une solution sera trouvée. Bref, il est sûr de sortir indemne du rassemblement léghiste du 19. Du reste, s’il n’avait reçu d’assurances de Bossi, la majorité n’aurait pas fixé un vote de confiance mercredi sur le texte développement. S’il tremble, c’est de l’enquête impliquant Letta, avec le risque qu’on publie des écoutes compromettantes. Il y voit une attaque à son encontre, comme à propos du rachat de Mondadori. ‘Si ce n’était pour mes enfants, j’aurais déjà tout vendu, Mondadori, Mediaset, et je serais parti !’, a-t-il confié ces jours-ci. On parle de Frattini pour le ministère de la justice. »

 

« Libye : assemblée des chefs de tribu à Rome » (Vincenzo Nigro, La Repubblica) : « Ni la guerre ni les bombardements n’arrivent à convaincre Kadhafi de quitter le pouvoir. De son côté, la diplomatie tente de dessiner l’après-Kadhafi. Frattini, chef de la diplomatie italienne, signera ce vendredi à Naples un accord sur l’immigration clandestine avec Jalil, président du CNT libyen. C’est le premier signe d’une disponibilité des rebelles à gérer avec les Italiens un phénomène de plus en plus accablant pour le gouvernement. L’accord, dont La Repubblica a eu connaissance, n’est pas un texte concrètement exécutoire, mais il paraît avoir une double signification politique : il confirme avant tout l’engagement de la Libye de l’après-Kadhafi contre le trafic d’êtres humains et il marque le succès de la Farnesina à impliquer les rebelles, en un sens, dans le débat politique intérieur italien. L’accord sera de nature à rassurer la Ligue et à permettre à l’exécutif de maintenir son implication dans les opérations militaires en Libye. Un texte, donc, immédiatement exploitable par la direction de la Ligue, qui pourra s’en prévaloir auprès de sa base à Pontida. ‘Les 25, 26 et 27 juin nous faciliterons l’organisation à Rome d’une Conférence du dialogue libyen à laquelle participeront environ 300 représentants de toutes les régions et de toutes les sensibilités politiques de Libye’, affirme Frattini. ‘Nous pensons que la feuille de route pour la construction d’un processus démocratique de nature à doter la Libye d’une constitution bien à elle et d’un processus de mise en place d’institutions démocratiques ne doit pas attendre la fin des opérations militaires’. L’idée de cette grande assemblée a été décidée le 12 juin, lors d’une réunion à Rome dont les principaux instigateurs sont l’ancien ambassadeur de Kadhafi à l’ONU et l’ambassadeur libyen à Rome. En attendant, Kadhafi est toujours là et les opérations militaires en Libye commencent à poser de sérieux problèmes aux gouvernements des Etats membres l’OTAN. »

 

(traduction : ambassade de France à Rome).

16/06/2011

Article du Courrier des Balkans sur la rencontre Strache-Nikolic.

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Autriche et Serbie. Article du Courrier des Balkans (le vocabulaire utilisé et la conclusion sont ceux de la presse du régime) sur la rencontre Strache-Nikolic  :

http://balkans.courriers.info/article17741.html

Des organisations nationalistes ont manifesté devant le Q.G. des services secrets hongrois.

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Hongrie. 300 personnes, membres du HVIM, de la Garde nationale hongroise, du Jobbik ont manifesté devant le siège des services secrets hongrois afin de dénoncer les attaques menées par cet organisme contre les organisations nationalistes. 

Le Député du Jobbik Tamás Sneider a déclaré que rien n’a changé en matière d’écoute depuis l’époque du communisme. Le Député du Jobbik Gyula Zagyva a demandé pourquoi les services secrets persécutent les patriotes qui défendent leur pays plutôt que des organisations qui trahissent leur pays. Le Président du HVIM et élu régional du Jobbik László Toroczkai a également pris la parole.

Italie. Sondages : le centre gauche passe en tête.

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« Sondages : le centre gauche passe en tête » (Mauro Favale, La Repubblica) : « Le vent tourne, à en croire les résultats des récents scrutins et les données des sondages. Selon IPSOS, le centre gauche devance le centre droit et le PD est devenu le premier parti (29,8%) aux dépens du PdL (27,1%), alors que la Ligue chute à 10% (-1,5). Ces chiffres, publiés lors de l’émission Ballarò, font dire à Bersani ‘le PD est le premier parti et il mérite le respect. Cette évolution n’est pas une surprise pour le PD, qui a compris cette tendance profonde. Nous sommes le seul vrai parti national, nous sommes présents dans les stands, dans la rue, sur la Toile, nous sommes ancrés dans la réalité’. Une stratégie que les électeurs semblent apprécier. IPSOS prend en compte, à gauche, la coalition PD, IdV, SeL, Federazione della Sinistra et, à droite, l’axe PdL-Ligue, sans La Destra. Le score : 47,2% contre 37,3%, le 3e pôle arrivant à 9,5%. Pour IPR Marketing (qui relève un effondrement de la popularité de Berlusconi, à 29%, loin derrière Alfano), la gauche (sans FdS) est à 42,5% et la droite à 39. Pour Piepoli, c’est 44-41,5, pour Swg 41-39. Bref, quelque chose a changé, mais il faudra attendre pour voir s’il s’agit d’un vrai séisme. D’après Piepoli, il n’y a pas de vraie rupture, mais l’exemple de la DC, qui perdait chaque mois 1 point de popularité mais a fini par imploser, doit faire réfléchir. Swg met l’accent sur le fait qu’en dépit du référendum, la droite a encore de bons résultats au Centre et au Sud, que le PD progresse dans les villes, et que le PdL tient dans ses bastions. Mais la droite doit réagir, changer quelque chose, ou elle aura du mal à inverser la tendance ».

 

« L’affaire libyenne aussi s’invite dans l’affrontement interne à la droite » (Massimo Franco, Corriere) : « Que la mission en Lybie se retrouve mêlée aux dissensions à droite est mauvais signe. L’affrontement entre Maroni, ministre de l’Intérieur, et Frattini, ministre des Affaires étrangères, dépeint une Italie assujettissant sa politique étrangère à des jeux internes, au sein même de la majorité. Frattini voit ‘un peu trop de gens favorables à laisser aux mains de Kadhafi ce qui reste de la Lybie’, allusion évidente à la demande de Maroni de ‘ne plus dépenser d’argent à bombarder’, suivi de Formigoni – ‘la guerre en Lybie est une honte’. La défaite municipale puis référendaire a ouvert un conflit non seulement entre PdL et Ligue mais aussi au sein des deux partis. Le trajet Milan-Rome en avion, hier, de Berlusconi et Bossi ensemble, sert à accréditer la thèse d’un exécutif uni. A tort ou à raison, la Cavaliere est convaincu que le ministre de l’Economie est prêt à tenir compte de ses demandes et de celles de Bossi. Mais, alors qu’au palais Chigi on pense tenir jusqu’en 2013, Maroni paraît plus sceptique. La direction de la Ligue semble divisée. Tout le monde dément et jure qu’à Pontida le chef ‘dictera la ligne’. Mais la Ligue, traumatisée par les défaites, paraît loin d’avoir trouvé une stratégie de revanche. Faute de pouvoir ou de vouloir admettre qu’un cycle s’achève, les chefs de la coalition de droite optent pour la résistance à outrance. En vérité, il faudrait du temps à l’exécutif pour mener à bien son projet de réformes et il paraît lui en rester peu. D’autre part, Berlusconi confie sa crainte de devoir payer plus d’ 1,2 Md€ s’il était condamné pour la façon dont il a racheté Mondadori dans les années 90. Résultat de tout cela : un climat de bagarre continuelle sans issue, car l’absence d’alternative est bien réelle : la gauche n’a pas à disposition une alliance au niveau national. La crise se prolonge et s’enlise, alors que les égoïsmes partisans sont voués à croître, chacun craignant que la législature n’expire bientôt. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

15/06/2011

Les Republikaner désirent prendre part au scrutin pour le Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale.

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Allemagne. Les Republikaner désirent prendre part au scrutin pour le Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale (Mecklenburg-Vorpommern) qui doit se dérouler le 4 septembre 2011. Ce Land, situé sur la mer Baltique et dans l’Est de l’Allemagne, est un bastion du parti ultranationaliste NPD qui détient 6 des 71 sièges du Parlement du Land. Le NPD avait obtenu 7,3% en 2006 et les postcommunistes de die Linke / PDS 16,8%.

L'Allemagne critique une nouvelle fois les contrôles douaniers danois.

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Danemark-Allemagne. Berlin critique une nouvelle fois les contrôles douaniers danois :

 http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/controles-douan...

PRO fonde une association municipale.

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Allemagne. Rhénanie-du-Nord - Westphalie. Leverkusen. Lors d’une réunion à laquelle ont participé de nombreux mandataires de PRO, le KPV PRO (Kommunalpolitische Vereinigung der PRO-Bewegung - Association politique municipale du mouvement PRO) a été fondé ce 14 juin 2011.

 

Gereon Breuer est le président du Conseil de KPV PRO, Jörg Uckermann est le président de KPV PRO, Kevin Hauer est le vice-président de KPV PRO, Bernd M. Schöppe en est le comptable.

 

KPV PRO est une plateforme indépendante, également ouverte aux politiciens municipaux qui ne sont pas membres de PRO. L’objectif de KPV PRO est la formation des futurs cadres politiques municipaux.

Ataka n'obtient pas la présidence de la Commission anti-corruption.

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Bulgarie. Le Parlement a rejeté une deuxième tentative du leader d’Ataka, Volen Siderov, de prendre la direction de la Commission contre la corruption, les conflits d’intérêts et pour l’éthique parlementaire. Volen Siderov a accusé le Parti GERB (droite) de bafouer les règles parlementaires, chaque parti ayant droit à un représentant au sein de cette commission. L’ancien représentant d’Ataka au sein de cet organe a perdu sa place lorsqu’il a quitté le parti. La présidence de la commission est exercée sur la base d’une rotation annuelle et Ataka doit la recevoir pour un an.

Elections présidentielles bulgares le 23 octobre 2011.

Bulgarie. Les élections présidentielles auront lieu le 23 octobre 2011.

Le LAOS donné à 8%.

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Grèce. Selon un sondage publié par l’organe de presse Kathimerini, le LAOS est donné à 8% des intentions de vote.

71% des Néerlandais opposés à un nouveau prêt à la Grèce.

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Pays-Bas. Selon une enquête menée par Eenvandaag auprès de 22.000 personnes, du 10 au 14 juin 2011, 71% des Néerlandais sont opposés à un nouveau prêt d’argent des Pays-Bas à la Grèce. 20% acceptent un prêt des Pays-Bas à la Grèce.

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"Nouveau soutien à la Grèce : 71% des "Oui". 20% de "Non".

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Selon les partis pour lesquels les électeurs votent (rouge :% de contre et vert : % de pour). PVV = patriotes. SP = gauche de la gauche. VVD = Parti libéral de droite. CDA = Parti démocrate-chrétien.

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idem. PvdA = travaillistes. GroenLinks = écologistes de gauche et de la gauche de la gauche. D66 = libéraux du centre.

La Ligue vit la plus grave crise de son histoire.

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« Trois scénarii au-delà de Pontida (et des doutes de la Ligue) » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « 4 jours avant le rassemblement de Pontida, la Ligue vit la plus grave crise de son histoire, un vrai psychodrame : un parti localiste qui a tenté de jouer un rôle national et y est arrivé (grâce aux succès électoraux de l’axe avec Berlusconi) est ramené à ses origines – retour rassurant mais, à terme, incompatible avec des responsabilités gouvernementales et les compromis que cela implique. La tentation de retrouver l’identité perdue en rentrant chez soi, au Nord, pourrait être irrésistible pour Bossi et ses amis, confrontés à une base inquiète et irritée, comme l’illustrent les référendums – d’où une incertitude pesante du côté de la Ligue. En attendant, trois hypothèses sur ce qui va se passer dans les jours ou les semaines à venir. 1er scénario (le meilleur pour Berlusconi) : il ne se passe rien ou presque ; à Pontida, Bossi lance un ‘ultimatum’ au gouvernement, demande ‘plus de courage’ mais prend acte que Tremonti commence à parler de réforme fiscale – quitte à taire cette précision : à coût nul. La base pourrait s’en contenter, au moins d’ici l’automne. Second scénario : une déception du monde léghiste trop forte pour être dominée, une direction qui se divise, un Bossi qui n’arrive pas à faire la synthèse et les instincts de la base qui prennent le dessus ; la Ligue finit par retirer son appui à l’exécutif, avec des élections anticipées (à l’automne ?) – dont toutefois presque nul ne veut, ni dans la majorité, ni dans l’opposition. 3e scénario : coup de théâtre, la Ligue pousse Berlusconi à se retirer, en vue d’un exécutif de transition, de ‘responsabilité nationale’, ouvert à l’opposition et conduit par une personnalité apte à faire face à l’urgence économique avec l’appui d’un Parlement uni, pour deux ans. Tremonti serait un candidat, mais non le seul. Au programme, il y aurait d’abord la réforme du mode de scrutin dans un sens proportionnel. A ce stade, c’est la perspective la plus improbable. ».

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Strache reçoit Nikolic à Vienne.

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Autriche. Vienne. Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache reçoit le Président du SNS (Serbie) Tomislav Nikolic ce mercredi 15 juin 2011 à Vienne. Pour Heinz-Christian Strache, l’Europe a besoin d’un développement fédéral et pas d’une Union européenne centralisée.

14/06/2011

Nicolas Dupont-Aignan rencontrera un dirigeant du LAOS en Grèce.

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Nicolas Dupont-Aignan rencontrera un dirigeant du LAOS en Grèce : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/14/97001-201106...

Pro-NRW contre les transferts d'argent à la Grèce.

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Allemagne. Suite aux nouvelles demandes d’argent pour la Grèce, Judith Wolter a répété la volonté de pro NRW de faire cesser tout transfert d’argent allemand vers les pays en faillite de la zone euro.

Rue de la république de Flandre.

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Belgique. Il y a un an, le 13 juin 2010, des élections anticipées se déroulaient en Belgique. Depuis lors, le pays n’a pas de gouvernement. Les députés du Vlaams Belang, favorables à l’indépendance de la Flandre, ont conduit, ce 14 juin 2011, une action rue de la Loi, où se trouve le bâtiment qui abrite le Premier ministre. Des pancartes ont été apposées sur les panneaux de nom de rue. Le nom « rue de la Loi » a été remplacé par le panneau « rue de la république de Flandre » et « rue de l’indépendance flamande ». La police a arrêté plusieurs responsables du parti qui ont ensuite été relâchés. 

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Filip Dewinter.

Berlusconi doute de la Ligue : "Bossi ne contrôle plus son parti".

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« Entre silences et signaux d’alarme, la droite tente de sauver l’exécutif » (Massimo Franco, Corriere) : « Le silence de Napolitano fait plus de bruit que l’enthousiasme des opposants. Son ‘no comment’ marque sa volonté de laisser Berlusconi et Bossi analyser la défaite et décider de la suite. Avec ce quorum à 57% après 16 ans d’échec des référendums, PdL et Ligue savent qu’ils sont en train de perdre le pays. Berlusconi a reconnu que le signal de l’électorat ne pouvait être ignoré. Bossi, à ce jour, n’a pas la force de rompre avec le palais Chigi. Annoncer que le 19 juin, à Pontida, il demandera la fin de la mission en Libye, le retrait du Liban et des ‘délais sûrs’ pour quitter l’Afghanistan est démagogique, hypothèque le rôle de l’Italie dans le monde et expose nos soldats. Et soutenir que les économies réalisées pourraient suffire à la réforme fiscale a pour seul effet de souligner l’inflexibilité de Tremonti, qui va être sous pression dans les semaines à venir. Ce résultat ouvre une longue campagne, dans une législature qui aura du mal à durer au-delà de début 2012....

 

« Berlusconi doute de la Ligue ‘Bossi ne contrôle plus son parti’ » (Francesco Bei, La Repubblica) : « Berlusconi minimise l’issue du référendum en le rattachant au mouvement des ‘indignados’ : ‘Un vote de protestation parcourt toute l’Europe, il était inévitable que, tôt ou tard, il arrive chez nous. Mais ça ne change rien pour l’exécutif’. En réalité, une question l’obsède : le soutien de la Ligue ; l’‘anarchie’ qui paraît régner en son sein fait trembler Berlusconi. ‘Si quelqu’un qui a perdu le référendum, c’est bien Bossi’, explique-t-on au sein du PdL ; ‘lui a donné consigne de ne pas aller voter, alors que Berlusconi a laissé à chacun la liberté de choix’. La ‘guerre des colonels’ et le vote de confiance le 21 juin au Sénat (et à la Chambre le 22) inquiètent. Hier, la majorité s’est vue contrainte de repousser à ce matin le vote du ‘décret développement’. ‘La surenchère de la Ligue nous contraint à proposer un vote de confiance’ souligne un membre gouvernement. Maroni, Calderoli, Zaia, Cota : les têtes de file de Ligue se positionnent en vue d’un changement de ligne, à l’automne dit-on. Selon un berlusconien, ‘Bossi ne tient plus ses hommes, tout peut arriver. Ils ne se gênent plus pour le contredire publiquement’. Le fait que Maroni ait exclu un soutien léghiste à un exécutif technique ou d’union nationale ne suffit pas à rassurer. Même les ‘Responsables’ seraient prêts à soutenir un exécutif technique. En vue du 22 juin, Berlusconi promet ‘de nouveaux soutiens pour la majorité’ et cherche à accélérer la réforme fiscale pour qu’elle soit prête. Hier s’est aussi ouvert un front judiciaire : le rejet de l’‘empêchement légitime’ à 57% vaut échec des lois ad personam et feu vert pour les juges. La décision dans le procès Mills est attendue pour octobre. Un motif de plus pour la Ligue militante de retirer son appui à Berlusconi ? »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

En 1 an, 1% des Slovaques immigrent vers le Royaume-Uni.

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Royaume-Uni. En 2010, 49.000 Slovaques ont immigré vers le Royaume-Uni. La Slovaquie compte 5 millions d’habitants. Au cours d’une année, 1% de la population slovaque a immigré au Royaume-Uni pour y vivre.

La Gay Pride de Split interrompue par des ultranationalistes.

Croatie. Ce samedi 11 juin 2011, des ultranationalistes ont perturbé la Gay Pride qui se déroulait à Split. La parade a été interrompue. Plusieurs personnes sont blessées. La police a arrêté 81 personnes. 500 policiers étaient présents.

Italie : résultats des 4 référendums.

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Italie. Résultats des 4 référendums des 12 et 13 juin 2011 :

 

 

2 référendums contre la privatisation des services de l'eau.

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Contre la relance du programme nucléaire et contre l'empêchement légitime.

Mario Borghezio brutalisé à la Conférence Bilderberg.

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Italie. Le Député européen de la Ligue du Nord Mario Borghezio, brutalisé par le service d'ordre de la Conférence Bilderberg, a été arrêté par la police suisse : http://fr.novopress.info/86279/la-ligue-du-nord-reclame-u...

13/06/2011

Défaite de Berlusconi lors des référendums.

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Italie. Silvio Berlsuconi essuie une défaite lors des référendums :

http://www.20minutes.fr/article/740249/berlusconi-essuie-...

12/06/2011

Italie : 4 référendums.

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Italie. 4 référendums ont lieu ce dimanche 12 juin 2011 et lundi 13 juin 2011 :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/06/12/le-camp-b...

11/06/2011

Geert Wilders n’est pas le bienvenu à l’ambassade de Grèce.

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Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders s’est rendu, en compagnie du Député du PVV Tony van Dijck, ce vendredi 10 juin 2011, à 15h30, à l’ambassade de Grèce aux Pays-Bas afin de remettre un billet de 1.000 drachmes de 1,5 mètre de long. Le PVV est opposé au soutien financier accordé par l’Union européenne à la Grèce, considérée par le PVV comme corrompue. 

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L’ambassade de Grèce à La Haye ayant refusé de recevoir Geert Wilders,  celui-ci a déposé une lettre dans la boîte-aux-lettres de l’ambassade. Geert Wilders remettra le billet de 1,5 mètre mardi au ministre néerlandais des finances, qui pourra ainsi le remettre, au sein des instances européennes à Bruxelles, à son collègue grec.

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Strache et Gudenus se félicitent du départ de l’ambassadeur de Turquie.

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Autriche. Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache et le chef de file des élus du FPÖ au sein du Parlement du Land de Berlin Johann Gudenus se sont félicités du départ de l’Ambassadeur de Turquie à Vienne Kadri Tezcan. (Kadri Tezcan  avait critiqué, lors d'une interview, la politique autrichienne à l'égard des immigrés). Heinz-Christian Strache espère que le nouvel ambassadeur se distanciera des propos émis par son prédécesseur.