14/12/2020
Interview du député bulgare Julian Angelov par Lionel Baland.
Bulgarie. Interview du député du VMRO Julian Angelov, dont le parti prend part au gouvernement :
https://www.breizh-info.com/2020/12/14/155534/bulgarie-ju...
Julian Angelov
14:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/12/2020
Les Démocrates suédois modifient leur position par rapport à l'OTAN.
Suède. Les Démocrates suédois ont modifié leur position par rapport à l’OTAN. Désormais, ils adhèrent à l’« option OTAN », ce qui ne veut pas dire qu’ils désirent voir la Suède introduire une demande d’adhésion, mais seulement que si la Suède l’estimait nécessaire pour sa sécurité, elle pourrait le faire.
22:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/12/2020
"Vote le retour de ta liberté. Le 17 mars FVD."
Pays-Bas.
"Vote le retour de ta liberté. Le 17 mars FVD."
22:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang donné à 26,3 % et la N-VA à 19,9 %.
Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang est donné premier à 26,3 % et la N-VA deuxième à 19,9 % au sein du sondage Het Laatste Nieuws, VTM Nieuws, RTL et Le Soir.
VB : Vlaams Belang : nationalistes flamands
N-VA : nationalistes flamands
Sp.a : socialistes
CD&V : démocrates-chrétiens
Open Vld : libéraux
Groen : écologistes
PvdA : gauche radicale
19:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
La CDU/CSU doit-elle s'ouvrir à une collaboration avec l'AfD ?
Allemagne. La CDU/CSU doit-elle s'ouvrir à une collaboration avec l'AfD ?
Tous / Partisans de la CDU/CSU / Partisans de l'AfD
16:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les élections législatives sont prévues en mars 2021.
Pays-Bas. Les élections législatives sont prévues en mars 2021.
Geert Wilders
15:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parti du Peuple danois estime que l’existence des caricatures de Mahomet doit être enseignée.
Danemark. Le Parti du Peuple danois estime que l’existence des caricatures de Mahomet doit être enseignée dans les écoles et que celles-ci ne doivent pas être cachées parce qu’elles dérangent certains.
15:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le ministre hongrois des Affaires étrangères rencontre Norbert Hofer.
Autriche et Hongrie. Ce 11 décembre 2020, le ministre hongrois des Relations économiques extérieures et des Affaires étrangères Péter Szijjártó a rencontré le président du FPÖ (Autriche) Norbert Hofer à Vienne.
Norbert Hofer et Péter Szijjártó
13:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Ministre hongrois des Affaires étrangères rencontre des représentants du Parti du Peuple danois et du Parti des (vrais) Finlandais.
Hongrie, Danemark, Finlande. Le Ministre hongrois des Relations économiques extérieures et des Affaires étrangères Péter Szijjártó a rencontré, le 10 décembre 2020, des représentants du Parti du Peuple danois et du Parti des (vrais) Finlandais.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2020/12/10/gee...)
12:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Conte fait marche arrière."
Italie. Revue de presse.
L'assouplissement des mesures en vue des fêtes de fin d'année prévu dans un prochain décret, après la pression d'une partie de la majorité et de l'opposition, est largement commenté : « Conte fait marche arrière », « Recul [du gouvernement], les déplacements permis à Noël » (Il Giornale).
ENTRETIEN, Il Messaggero, de Matteo Renzi, chef d’Italia Viva « ’’Des élections anticipées en cas de crise? Il y aura une large majorité au Parlement pour l’éviter’’. »
ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue et ancien vice-Président du Conseil « Dialogue avec le Président du Conseil sur la question des fonds, et je mènerai le combat de l’école » : « J’ai proposé à Giuseppe Conte de nous rencontrer prochainement pour discuter. Je veux un dialogue sur tous les sujets, y compris le Plan de Relance européen. Je plaiderai notamment pour plus de prudence lors de la réouverture des écoles et l’organisation des transports. En ce qui concerne l’alliance de centre-droit, je répète que nous devons rester unis, les décisions doivent être prises selon l’avis de la majorité, d’autant plus que la majorité de gouvernement, elle, vacille plus que jamais. Les vingt prochaines années vont être déterminées par ces quelques mois, et cette équipe-ci n’est pas en mesure de construire notre futur. Notre vote contre le MES résulte d’une ligne commune, non pas souverainiste ou eurosceptique, mais relevant de la volonté de protéger la liberté et l‘épargne des Italiens. Nous discutons également avec nos alliés du pont qui relierait la Sicile à la Péninsule, il faut être de mauvaise foi pour ne pas approuver ce projet. Pour ce qui est de la politique extérieure, j’ai rencontré l’ambassadeur des Etats-Unis afin de réaffirmer la solidité des rapports entre nos deux pays. Je me réjouis de voir que nous partageons la même inquiétude sur l’impérialisme chinois mais aussi turc. En Libye, il faut un temps où il y avait l’Italie et la France. Désormais il y a la France, la Turquie et la Russie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/12/2020
L’EKRE est donnée à 17 %.
Estonie. L’EKRE est donnée à 17 %.
20:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders rencontre le Ministre hongrois des Relations économiques extérieures et des Affaires étrangères.
Péter Szijjártó et Geert Wilders
14:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le feu vert du Parlement à la réforme du Mécanisme de Stabilité."
Italie. Revue de presse.
Le feu vert du Parlement à la réforme du Mécanisme de Stabilité ainsi que les tensions au sein du gouvernement suite aux menaces de Matteo Renzi (Italia Viva) de ne pas voter en faveur du Plan de Relance sans une modification des pouvoirs du comité d'experts chargé de la gestion des projets et une plus grande association des chambres, font les gros titres des médias italiens : « Oui au MES mais le gouvernement vacille » - Renzi attaque : nous ne voterons pas ce Plan de Relance (Corriere della Sera), « Renzi-Conte, le grand duel » - La crise plus proche (La Repubblica), « Conte : je continuerai uniquement si j'emporte la confiance » - Le Plan de Relance sera voté aux Chambres (La Stampa), « Le Plan de Relance enlisé » - Conte va à Bruxelles avec le feu vert [du parlement] sur le MES (Sole 24 Ore), « Rome et la farce du Plan de Relance» - Le grand projet pour la capitale disparaît (Il Messaggero), « Renzi critique Conte » (Il Fatto Quotidiano), « Conte au bord de la crise » (Il Giornale).
EDITORIAL, Il Foglio, de Claudio Cerasa « Après le vote sur le MES, l’Europe va de l’avant. Et le centre droit nous parle de l’assurance-vie dont bénéficie Conte » : « La journée parlementaire longue et passionnée d’hier s’est conclue par un vote positif, à la Chambre et au Sénat, sur la résolution liée à la réforme du MES présentée par Conte en vue du prochain Conseil Européen et cela a contribué à éclaircir certains éléments politiques importants. La première leçon, c’est que, malgré un Parlement majoritairement dominé par des partis opposés au projet européen, le principe de réalité a toujours tendance à s’imposer dans les moments les plus décisifs. Avec ce vote en faveur de la réforme, nous avons évité une sorte d’ « Italexit ». Le fait qu’un parti comme le M5S, né pour démanteler le MES, ait décidé de voter en faveur de la réforme ce mécanisme européen est plus que positif. Il a permis de ne pas alimenter le sentiment anti-communautaire qui couve toujours au sein du centre-droit. La position choisie par le centre-droit nous apprend aussi que la vraie arme dont dispose Giuseppe Conte, et en quelque sorte son assurance-vie : l’incapacité de l’opposition à soutenir des projets de solidarité européenne, même en cette période où la résilience de chaque pays est liée à la capacité de l’Europe de pouvoir renforcer ses projets de solidarité. ».
ENTRETIEN, La Stampa, de Silvio Berlusconi, dirigeant de Forza Italia. «’’Non à ce nouveau MES, il favorise les banques allemandes. Nous sommes pro-européens et nous ne subissons pas l’influence de Salvini’’ » : « Sur ses critiques à l’encontre du MES, Forza Italia, qui appartient à la famille du PPE, est cohérente avec ses valeurs européennes. Il s’agit d’un choix cohérent et en ligne avec tout ce que nous avons dit sur la réforme du MES. Cette dernière prévoit des améliorations par rapport à celui de 2012 mais l’anticipation du backstop, qui est positive en soi-même, ne compense pas la pénalisation des banques italiennes par rapport à la concurrence, en l’absence d’un système européen de garantie de prêts comme celui proposé par M. Draghi en 2015. Donc, le MES est bien loin de représenter un instrument acceptable pour l’Europe et pour l’Italie. Sur le Plan de Relance national, si la gouvernance et les contenus du projet italien devaient être modifiés et partagés avec l’opposition, nous pourrions voter en sa faveur. Mais à ce stade, cette hypothèse est loin d'être réelle’’.»
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/12/2020
Le Parti du Peuple danois est donné à 7 %.
Danemark. Le Parti du Peuple danois est donné à 7 %.
16:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Une entente trouvée autour du MES."
Italie. Revue de presse.
Le débat politique autour du comité d'experts chargé du pilotage et de la mise en œuvre du Plan de Relance national fait toujours les gros titres des médias italiens. Selon les observateurs, si les partis de coalition semblent avoir enfin trouvé une synthèse sur le MES, c’est sur le Plan de Relance qu’ils pourraient se diviser au Parlement suite aux menaces d’Italia Viva de boycotter le comité d’experts pour redonner au Parlement la compétence sur les projets qui devront être présentés à Bruxelles : « Entente sur le MES mais Conte est assiégé » - Renzi ne cède pas sur le Plan de Relance et menace de retirer ses ministres (Corriere della Sera), « Renzi-Conte, c’est le bras-de-fer » - Le dirigeant d’IV menace de rompre (La Stampa), « Gouvernement : accord sur le MES mais le risque repose maintenant sur le Plan de Relance » (Il Messaggero, Il Mattino), « Renzi menace, le M5S croise les doigts » - Le « jour J » de Conte (Fatto Quotidiano), « Merkel prévient Conte » - L’énième report sur les aides communautaires irrite l’Allemagne. Mattarella appelle à la responsabilité (Il Giornale).
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, d’A. Trocino, « Une entente trouvée autour du MES, mais Conte reste la cible d’attaques » : « Le Mouvement 5 Etoiles est finalement arrivé à un accord interne pour un ‘oui’ à la réforme du MES, sur le texte qui doit être voté aujourd’hui au Parlement. Le majorité évite donc le pire et n’aura pas non plus besoin des votes « responsables » venus de l’opposition. Attention cependant à Italia Viva qui continue de réclamer la transparence et attend la présentation de Conte avant de se prononcer définitivement. Leur chef de groupe, Davide Faraone, en appelle à Forza Italia pour reconstruire une majorité plus large, comme celle qui avait permis l’élection de U. Von der Leyen. En revanche, Renzi ne cède pas sur le Plan de Relance et se dit prêt à demander y compris le départ de certains ministres. ».
COMMENTAIRE, La Repubblica S. Folli « La pente [sur laquelle se trouve le] Président du Conseil » : « Aujourd’hui, pendant que les Chambres voteront sur le fonds de stabilité, les observateurs d’Allemagne et de France, notamment les ambassadeurs à Rome, pourront se dire à moitié satisfaits. Il est clair que le Parlement dira oui à la réforme du MES. Les 5 Etoiles ont décidé que la priorité était de sauver l’exécutif dont ils sont les principaux acteurs, opérant ainsi une transformation culturelle de parti antisystème à partie prenante d’un « establishment » européen auquel ils appartiennent plus par intérêt que par conviction. Mais les deux diplomates ne pourront pas se dire complètement satisfaits. Car si Conte se rendra au Conseil Européen en proposant l’adhésion au MES, l’exécutif à Rome se trouve néanmoins dans une situation politique fragile. On pourra dire que Renzi est sans scrupule. Cela est sans doute vrai, mais il est toutefois habitué à faire de la politique, contrairement à Conte qui est rusé mais qui sous-estime ses adversaires ou ses alliés. Conte n’a plus l’avantage d’avoir derrière lui un M5S fort et uni comme il y a deux ans. La donne a changé. Conte n’a plus qu’une carte à jouer : celle d’incarner l’homme à même de maintenir un niveau acceptable de stabilité. C’est ce qui intéresse l’UE – à savoir Berlin et Paris – mais aussi le motif d’un sentiment croissant d’inquiétude de la part des capitales européennes ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/12/2020
L’AfD de Saxe est désormais classée "cas suspect" par l’Office de protection de la Constitution.
Allemagne. Saxe. L’AfD de Saxe est désormais classée « cas suspect » par l’Office de protection de la Constitution.
21:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Fidesz donné à 47 %.
Hongrie. Un sondage IDEA donne le Fidesz du Premier ministre Viktor Orban à 47 %, le Jobbik à 9 % et Mi Hazánk à 2 %.
21:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Giorgia Meloni.
Italie. La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni :
20:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Kremlin parle d’une "visite importante" d’une "force significative".
Russie et Allemagne. Le Kremlin parle d’une « visite importante » d’une « force significative » à propos du fait que le ministre russe des Affaires étrangères a reçu à Moscou deux représentants de l’AfD.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2020/12/08/deu...)
20:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Deux représentants de l'AfD reçus à Moscou.
Allemagne et Russie. Le co-président de l’AfD Tino Chrupalla et le porte-parole pour les Affaires étrangères du groupe des élus AfD à la Chambre des députés Armin-Paulus Hampel ont rencontré à Moscou le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov durant trois heures.
Sergueï Lavrov et Tino Chrupalla
20:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Interview du député AfD Steffen Kotré, à propos du congrès de l’AfD à Kalkar, par Lionel Baland.
Allemagne. Interview de Steffen Kotré à propos du congrès de l’AfD à Kalkar :
https://www.breizh-info.com/2020/12/08/155183/allemagne-s...
Steffen Kotré
14:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2020
40.000 euros pour une statue de Ungern-Sternberg.
Estonie. Plus de 40.000 euros ont été alloués par les partis du gouvernent à une ONG qui désire faire ériger une statue à la mémoire du baron Roman von Ungern-Sternberg. Cette ONG a été fondée par l’aile jeunesse de l’EKRE. [L’EKRE prend part au gouvernement. Jean Mabire a écrit un ouvrage sur le baron.]
18:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
"En finir avec la haine de Merkel contre la Pologne."
Allemagne.
"En finir avec la haine de Merkel contre la Pologne. Politique Est-européenne : apprendre de Willy Brandt [ex-chancelier social-démocrate]."
17:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Honte aux souverainistes qui ferment les yeux sur les horreurs de la Hongrie et de la Pologne."
Italie. Revue de presse.
Le débat politique autour du comité d'experts chargé du pilotage et de la mise en œuvre du Plan de Relance national, et notamment les frictions au sein de la majorité sur le fonctionnement et le choix des dirigeants de ce comité, fait les gros titres des médias italiens : « Fonds européens, bras-de-fer au sein du gouvernement » - Aujourd'hui le Conseil des ministres devra choisir les dirigeants du comité. Pression du PD tandis qu'Italia Viva décide d'attaquer (Corriere della Sera), « Plan de Relance, l'attaque de Renzi » - Italia Viva, en désaccord, quitte la réunion organisée [hier] à Palais Chigi (La Repubblica), « Plan de Relance, les doutes de Bruxelles sur l'Italie» (La Stampa), « Renzi et les frondeurs 5 Etoiles contre Conte » (Il Fatto Quotidiano), « Coup d'envoi des remboursements pour les paiements électroniques » (Sole 24 Ore), « Les écoles ouvertes jusqu'en juillet » - Proposition de la ministre Azzolina avec l'accord des directeurs d'école (Il Messaggero).
ENTRETIEN, La Repubblica, de Luigi Di Maio, ancien chef du M5S et ministre des Affaires Étrangères « C’est l’avenir du pays qui est en jeu. Les alliés ne doivent pas faire de provocations » : «’’Les divisions que j’observe au sein de la majorité ne concernent pas la politique communautaire mais économique. Dans cette phase, l’Europe a donné une réponse digne de ce nom. C’est un moment historique et l’Italie est au centre de l’Europe, grâce notamment à l’important soutien de la BCE. Je ne vois pas en quoi le MES devrait nous être utile. Le M5S est le premier parti politique, non seulement sa voix a un certain poids, mais il est déterminant dans l’architecture institutionnelle. Les provocations sont inutiles. Je ne parle pas seulement des provocations internes au M5s, mais aussi des provocations internes à la coalition gouvernementale. Le 9 décembre, Conte se présentera devant le Parlement : la majorité devra voter de manière unie et responsable. Je crois que personne ne souhaite un incident parlementaire et je pense, je l’espère, que cela ne se produira pas. Certains ne comprennent pas la responsabilité particulière à laquelle nous faisons face, ceux qui cherchent à tout mélanger, ceux qui prennent tout comme s’il s’agissait d’une course à la visibilité. C’est l’avenir même de l’Italie qui est en jeu. Nous devons éviter que les 209 milliards d’euros alloués à l’Italie ne tombent entre de mauvaises mains. Le ‘’non’’ au Mes est un fait mathématique, démocratique. Pourquoi s’indigner alors ? Pourquoi compliquer les choses ? Pourquoi personne ne comprend-t-il que les intérêts ici sont beaucoup plus grands que ceux des seuls partis ? C’est notre pays et notre avenir qui sont en jeu. Je constate des pressions injustifiées : je respecte les opinions de tous, mais il faut éviter d’enflammer le débat politique’’ ».
ARTICLE, Il Foglio, de C. Cerasa « Honte aux souverainistes qui ferment les yeux sur les horreurs de la Hongrie et de la Pologne » : « Les deux partis plus importants du centre droit (la Ligue de Matteo Salvini et Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni) considèrent les gouvernements hongrois et polonais comme des modèles européens de bon gouvernement. Il est possible qu’en dernier ressort le veto de la Hongrie et de la Pologne soit évité. Par contre, on ne pourra pas faire semblant de ne pas avoir vu le spectacle effrayant offert par l’extrême droite européenne de gouvernement, désireuse de combattre l’Europe de la solidarité au point d’avoir défendu deux pays qui ont fait de la violation systématique de l’État de droit européen un motif de fierté. La passe d’armes entre l’Union européenne et le duo de Visegrád n’est pas seulement un affrontement sur le Plan de Relance, mais c’est avant tout un affrontement sur le futur de l’UE et sur les valeurs non-négociables d’une démocratie libérale. Et si l’on devait choisir aujourd’hui entre avoir une Europe avec plus de droits ou une Europe avec plus de pays - comme l’a expliqué par ailleurs la députée Sophie Int’eld du groupe Renew Europe - la décision, n’en déplaise à Matteo Salvini et Giorgia Meloni, pourrait être moins difficile à prendre qu’il n’y paraît. »
ARTICLE, L’Economia - Corriere della Sera, R. Gallo, « Sauver Mediaset n’est peut-être pas nécessaire » : « ’’La pandémie a fini par changer le visage des télécommunications. L’histoire italienne est faites d’entrées au capital de la part de l’Etat et de l’accroissement de ses participations sur la base de motivations difficilement vérifiables, telles que la notion de ‘’secteur stratégique’’ (cuivre, sidérurgie, alimentaire, chimique, aéronautique), ‘’synergie public-privé’’ (chimie, transport aérien), ‘’non-recevabilité‘’ de l’offre du privé (électroménagers, sidérurgie). Pourtant, Mediaset se trouve dans une excellente situation patrimoniale et financière. Sans entrer dans les détails de la validité de l’amendement législatif (qui permet au gouvernement d’opposer son véto face à une OPA venant d’un investisseur étranger), l’intervention publique a le défaut d'être défensive contre Vivendi et la France. Il aurait mieux valu que la présence de Mediaset fut élargie à des investisseurs d’autres pays européens pour construire des positions de force en vue de négociations européennes à venir ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/12/2020
L'ADR donnée à 9,6 %.
Luxembourg. L’ADR est donnée à 9,6 % au sein d’un sondage.
23:21 | Lien permanent | Commentaires (0)