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13/04/2018

L'AfD donnée à 13 %.

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Allemagne. Un sondage réalisé pour la chaîne de télévision publique ZDF donne :

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CDU : démocrates-chrétiens

CSU : sociaux-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

AfD : patriotes

FDP : libéraux

die Linke : post-communistes

Grüne : écologistes

Sonstige : autres

Italie : sondage à propos du futur gouvernement.

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Italie. Un sondage Index pose la question : « Quel gouvernement désirez-vous ? » :

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M5S + Ligue : 28,1 %

Nouvelles élections : 16,1 %

M5S + Ligue + Forza Italia : 13,5 %

M5S + Parti Démocrate [centre-gauche] : 11 %

Ligue + Forza Italia + Frères d’Italie + Parti Démocrate : 8,3 %

Ne sait pas / Pas de réponse : 23 %

(Réalisé autour du 12 avril 2018)

"Le karaoke de Silvio vole la vedette à son allié."

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Italie. Revue de presse.

Gouvernement-Consultations au Quirinal : – Unes : « Querelles et vétos, pression du Quirinal » (Corriere della Sera), « L’inquiétude du Quirinal : il faut un gouvernement » - ‘’Le coup de théâtre de Berlusconi contre le M5S fait énerver ses alliés’’ (La Repubblica), « Le show de Berlusconi énerve les 5 Etoiles, pas d’entente entre Ligue et FI » (La Stampa), « Mattarella aux leaders : ‘’le temps est révolu’’ » (Il Messaggero), « La carte de Giorgetti face aux vétos » - ‘’Pression du Quirinal : la charge d’ici mercredi’’ (Il Mattino)

ARTICLE, La Repubblica F. Merlo « Le karaoke de Silvio vole la vedette à son allié » : « Berlusconi joue lors de l’intronisation du dauphin qu’il n’a pas choisi. Il lui vole la vedette au moment où il la lui cède. Avant de partir, il prend les micros et recommande aux journalistes de préciser ‘’celui qui est réellement un démocrate et qui, en revanche, ne connaît pas l’ABC de la démocratie’’, puis il lance un ‘’soyez sages’’, qui pourrait peut-être devenir un leitmotiv historique ».

EDITORIAL, La Stampa, M. Panarari : « Contrat à l’italienne pour Di Maio » : « Un « contrat à l’allemande » mais quand même « à l’italienne ». C’est Luigi di Maio qui a lancé l’idée, ou relancé, parce elle avait été déjà citée par Matteo Renzi en 2014. Il s’agit d’un ‘’contrat de coalition ‘’ dans le but de donner un horizon politique commun, dans un système proportionnel, à des gouvernements qui ont une majorité minimale. Il s’agit donc de l’officialisation d’une relation politique parmi les partis  qui sont ‘’ obligés ‘’ de partager une responsabilité à partir de programme initialement totalement différents. Mais pendant que le contrat allemand prévoit un faible taux d’idéologie, une culture politique partagée ainsi qu’une acceptation totale des mécanismes de fonctionnement du système politique, celui du M5S, qui invoque le mandat impératif pour les parlementaires, considère ce contrat comme contraignant et prévoit que le programme à réaliser soit détaillé ‘’ point par point ‘’. Tout compte fait, l’idée du M5S représente donc surtout une manœuvre de communication, à vrai dire très efficace ».

ENTRETIEN d’Elisabetta Casellati, présidente du Sénat : « ‘’ Il faut sortir de l’impasse. Si Mattarella appelle, je suis prête‘’ » (La Stampa) : « Il faut un véritable climat de pacification et le prochain gouvernement devra être capable de surmonter les vieux schémas. Une synthèse sur les points de convergence entre la coalition gagnante de centre droit et tous ceux qui seront disponibles à assumer le poids du gouvernement sera absolument nécessaire. Berlusconi est toujours présent sur le terrain, il est le leader de Forza Italia ainsi que le repère historique du parti et le M5S doit le respecter. Nous devons sortir de l’impasse qui paralyse la formation du nouveau gouvernement ».

ARTICLE Sole 24 Ore L. Palmerini « Le Quirinal : le temps est révolu » : « Quoi que l’on dise, Sergio Mattarella ne peut pas accepter l’impasse constatée hier et tentera d’en sortir en faisant en sorte que les leaders ne persistent pas dans leurs oppositions respectives. L’inconnue d’une intervention en Syrie pourrait faire sauter les schémas existants et pousser le Quirinal a donné un mandat à une figure institutionnelle ou donner un mandat exploratoire à l’un des deux présidents des Chambres. Peut-être à R. Fico (M5S) car Mattarella a apprécié les déclarations atlantistes de Di Maio au terme des consultations ».

Syrie/tensions Washington-Kremlin : – Unes : « Macron dit avoir les preuves, Trump freine » (Corriere della Sera, Sole 24 Ore), « Intervention américaine en Syrie, le non de l’Italie et de l’Allemagne » (Il Mattino), « Frappes en Syrie, Rome et Berlin disent non » (Avvenire).

EDITORIAL Corriere della Sera F. Venturini « Le danger d’isoler l’Italie » : « Est-il possible que les deux partis (Ligue et M5S) souhaitant diriger l’Italie veuillent éloigner l’Italie de son système d’alliance traditionnel ? Nous ne pensons pas que ce danger puisse exister réellement. Notre président Mattarella saura veiller sur nos choix historiques et sur notre sécurité. Car la ligne confirmée hier par Gentiloni (pas d’opération militaire en Syrie, appui logistique aux alliés), n’est pas inédite. Par ailleurs, Salvini et Di Maio savent très bien que cela nous isolerait avec des conséquences douloureuses, même du point de vue économique. Poutine n’est certainement pas innocent, mais il semble assez improbable que Moscou fasse ou autorise une attaque chimique au moment où ses négociateurs obtiennent l’éloignement des sunnites radicaux de Jaysh al-Islam, ces derniers étant familiers de l’utilisation de ce genre d’armes et désireux que Trump n’abandonne pas la Syrie. Nous n’aurons jamais les preuves. Que la France de Macron montre à ce point sa présence est une erreur d’ambition excessive. Même si elle a toujours été ferme sur le thème des armes chimiques, outre la sensibilité spéciale de la France pour la Syrie, il semblerait y avoir surtout une ambition de la part de Macron de devenir l’interlocuteur européen privilégié des Américains. Alors que Merkel a une relation difficile avec la Maison Blanche. Cela ne va pas nécessairement profiter à l’Europe, que Macron veut réformer de manière courageuse  ».

EDITORIAL Il Messaggero N. Latorre « La dangereuse division sur les alliances du pays » : « Il n’existe pas d’alternative à une confrontation claire et directe entre Russie et Etats-Unis. Un élargissement du conflit supposerait aussi une action au Liban où la présence militaire italienne est forte et cruciale. La division qui ressort ces derniers jours entre les forces politiques italiennes est donc très inquiétante d’autant que la naissance d’un nouveau gouvernement est attendue ».

ARTICLE Corriere della Sera, M. Galluzzo « L’Italie choisit de rester à la fenêtre » : « Gentiloni : ‘’nous ne participerons pas aux frappes aériennes’’. Les bases italiennes intéressées seront surtout Sigonella et Aviano. Avec un gouvernement disposant de ses pleins pouvoirs, l’Italie aurait pu, peut-être, jouer un rôle différent. En toute évidence, toute action visant à forcer l’Italie à intervenir aurait risqué de mettre le Palais Chigi dans l’embarras »

RETROSCENA (Coulisses), La Stampa, P. Mastrolilli : « Soutien politique et non militaire. La requête américaine à l’Italie » : « Suite à une question de La Stampa concernant les consultations avec l’Italie sur la Syrie ainsi que l’appel du président Poutine à Rome de ne pas coopérer avec des actions militaires, une porte- parole du Département d’Etat américain a déclaré que Washington est en train de travailler avec ses alliés pour recueillir des informations et trouver les possibles réponses aux attaques chimiques d’Assad. L’intervention militaire des Etats-Unis serait une opération qui va au-delà de la punition à Assad pour l’utilisation des armes chimiques. En effet, les Américains sont en train de consulter les alliés, France, Grande Bretagne et d’autres, pour deux raisons : donner une couverture internationale à une éventuelle attaque et lui donner aussi une profondeur politique et stratégique. Du point de vue militaire, Washington est en train d’évaluer une campagne qui pourrait durer quelques jours. Turquie et Qatar seraient disponibles à soutenir cette intervention, l’Italie pourrait le faire en mettant à la disposition les bases militaires, qui sont déjà opérationnelles pour le travail de routine (missions de drones et avions espions). L’Italie a naturellement le droit de décider, mais en se retirant complètement elle donnerait l’indication d’avoir choisi l’autre champ ».

ENTRETIEN F. Frattini, ancien ministre des Affaires étrangères, Messaggero, « Les positions pro-russes de la Ligue et de Fratelli d’Italia représentent une valeur ajoutée. Non aux bases » : « Sur la Syrie : ‘’le risque (d’un conflit mondial) serait concret si Trump, Macron et May tombaient dans l’irresponsabilité la plus totale car il s’agirait d’une action tout à fait contraire au bon sens et aux règles internationales. Il faudrait une résolution du Conseil de sécurité de l’Onu qui autorise l’usage de la force. Les preuves (de l’utilisation des armes chimiques) doivent arriver des inspecteurs internationaux et non de l’un des pays-membres’’. Sur les positions pro-russes de la Ligue et FdI : ‘’Moscou doit être impliqué, c’est indispensable, Obama l’a fait’’. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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" Berlusconi toujours en travers d’une alliance M5S / Ligue " : 

http://www.liberation.fr/planete/2018/04/12/italie-berlus...

Vidéo de l’intervention avec le show de Silvio Berlusconi :

https://www.ilfattoquotidiano.it/2018/04/12/consultazioni...

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Giorgia Meloni, Matteo Salvini, Silvio Berlusconi

12/04/2018

Les demandeurs d’asile devront contribuer financièrement à leur logement en Autriche.

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Autriche. La semaine prochaine, des mesures en vue de restreindre les droits des migrants seront amenées par le ministre Herbert Kickl devant le Conseil des ministres. Parmi celles-ci figurent celles visant à ce que les demandeurs d’asile doivent contribuer financièrement à leur logement en Autriche.

Herbert Kickl favorable à des zones de transit hors de l'UE.

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Autriche. Le ministre de l’Intérieur Herbert Kickl, membre du parti patriotique FPÖ, poursuit, pas à pas et jour après jour, l’implantation d’une politique restrictive en matière d’immigration et d’accueil des réfugiés. Il désire que les demandes d’asile ne puissent plus être introduites sur le territoire européen, mais seulement en dehors, dans des endroits dénommés « zones de transit ».

Selon lui, seuls les réfugiés disposant d’une réponse positive pourraient alors obtenir l’autorisation de pénétrer sur le territoire de l’Union Européenne. Les autres, dont la demande a été rejetée, devraient retourner vers leur pays d’origine. Kickl estime que l’Europe a besoin d’une nouvelle politique d’asile.

Nigel Farage opposé à une intervention occidentale en Syrie.

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Royaume-Uni. Nigel Farage (UKIP) est opposé à une intervention occidentale en Syrie.

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"Non à la guerre en Syrie. Regardez l'Irak et la Libye : les changements de régime conduisent toujours au chaos et à l'Etat islamique."

"Di Maio ouvre à Forza Italia mais met son véto sur Berlusconi."

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Italie. Revue de presse.

Syrie/tensions Whashington-Kremlin : – Unes : « Syrie, Trump défie Poutine » (Corriere della Sera), « Trump-Poutine, vents de guerre » (La Repubblica), « USA-Russie, défi sur les bases italiennes » - ‘’La Ligue s’y oppose ; le M5S est favorable’’ (La Stampa), « Trump à Poutine : ‘’les missiles sont prêts’’ » (Il Messaggero), « Syrie, les vols depuis la base de Sigonella » (Il Mattino).

EDITORIAL, La Stampa M. Zatterin « Un test atlantique crucial » : « Poutine n’en croit pas ses yeux : l’Italie songe à une possible majorité gouvernementale qui serait prête à nier aux Etats-Unis l’utilisation des bases aériennes pour une éventuelle action militaire en Syrie. L’Italie ne devrait pas avoir de doutes et jusque-là elle n’en a pas eu. Les pactes signés sur les décombres de la Deuxième Guerre mondiale ont fait de l’Italie un pays voué à une Europe de plus en plus intégrée et un ami des Etats-Unis. Il est vrai aussi qu’aux sommets bruxellois, l’Italie est désormais considérée comme la ‘’meilleure amie de l’Ours’’. C’est une question de pragmatisme, liée tout d’abord à une dépendance énergétique à l’égard du gaz russe. A cela, Matteo Salvini et une partie de Forza Italia ont lié un aspect économique. Les sanctions ont un coût pour l’économie italienne. Pour l’Italie, il s’agit d’un test crucial, voire existentiel. Il y a clairement un danger d’incompatibilité entre une stratégie pro-Russe et l’univers des relations où nous avons vécu une longue période de paix. Cela pourrait avoir des conséquences mortelles ».

ARTICLE La Stampa F. Grignetti « L’Italie freine l’Amérique sur les bases : ‘’c’est au Parlement d’en décider’’ » : « Le Palais Chigi a choisi sa ligne : soutenir les alliés mais ce n’est pas un gouvernement gérant les affaires courantes qui pourra prendre une décision aussi importante comme celle de l’utilisation des bases militaires : seul le Parlement peut se prononcer. Ce n’est ni un oui, ni un non. Gentiloni souligne ‘’nous devons imaginer une solution stable de longue durée, nous devons miser sur la paix avec des négociations dans le cadre de l’ONU. Bref, mardi ou mercredi le Gouvernement réfèrera au Parlement et une motion pourra être votée. Entretemps, une guerre en Syrie ne pourra pas passer par l’Italie ».

ANALYSE, La Repubblica, C. Tito « Avec qui est l’Italie ? Ligue et M5S pro-Poutine préoccupent les Etats-Unis et l’UE » : « Nous assistons à une relation amicale de Salvini, ainsi que des leaders du Mouvement, avec le président russe V. Poutine. Le M5S a demandé plusieurs fois de lever les sanctions contre la Russie ainsi qu’une réflexion sur les conséquences de l’appartenance de l’Italie à l’OTAN. Giorgio Napolitano, ancien président de la République, répond en affirmant qu’il existe un rôle essentiel dans les relations transatlantiques et que les Etats Unis demeurent notre allié le plus important. Même l’ancien ministre des Affaires Etrangères des gouvernements Berlusconi, Franco Frattini, prend position sur cette question et souligne que l’Italie ne peut absolument pas sortir de l’OTAN, qu’il faut au contraire défendre l’alliance, rapellant que c’était l’Italie qui avait permis la poignée de main entre les deux présidents Bush et Poutine à Pratica di Mare ».

Gouvernement-Consultations au Quirinal : – Unes : « Salvini-Di Maio, retour de l’axe » - ‘’Appel téléphonique entre les deux leaders’’ (Corriere della Sera), « Le M5S et la Ligue essaient à nouveau » - ‘’Di Maio ouvre à Forza Italia mais met son véto sur Berlusconi’’ (La Repubblica), « Retour de l’axe Salvini-Di Maio, sans entente le Quirinal interviendra » (Il Messaggero), « Pression du Quirinal : gouvernement d’ici mai » (Il Mattino).

ANALYSE Sole 24 Ore L. Palmerini « La Syrie s’invite aux consultations du Quirinal, Di Maio accélère la confrontation avec PD et Ligue » : « Il est vraisemblable que la politique étrangère redevienne un point crucial dans les rencontres entre les leaders. Et les positions de Salvini et Di Maio ne semblaient pas voisines, même si on parle désormais d’un accord très proche. L’élection du ‘’léguiste’’ Molteni à la Commission spéciale de la Chambre laisse la voie libre à Giancarlo Giorgetti (Ligue) pour une charge de gouvernement».

ARTICLE, Sole 24 Ore C. Marroni « Moyent-Orient, Libye et UE : un gouvernement est urgent » : « L’Afrique du Nord, l’urgence de migrants, l’union bancaire et le budget européen : plusieurs défis demandent des réponses rapides et cela ne pourra qu’être partie intégrante du nouveau programme gouvernemental. Quant aux migrants, l’incident récent avec la France à Bardonecchia nous rappelle comment, toujours dans l’UE, il faudra mettre la main à la Convention de Dublin sur le droit d’asile. Paris repousse les migrants ‘’économiques’’ et, en accord avec l’Allemagne et l’Espagne, n’ouvre pas ses ports. C’est une thématique sensible pour un possible gouvernement Ligue-M5S ». 

COMMENTAIRE, La Repubblica, M. Serra « Le PD dans son labyrinthe » : « Les électeurs du PD, qui est quand même le deuxième parti italien, se demandent quel sera le destin de leurs voix. Une alliance de gouvernement avec la droite est physiologiquement impossible tandis qu’une éventuelle négociation avec le M5S est plus discutée. Ce ‘’devoir d’opposition’’ demeure une idée étrange pour deux raisons : le PD a toujours insisté sur la vocation gouvernementale du parti et pour gouverner il faut faire des accords et des compromis. La deuxième qu’avec un système proportionnel qui n’a pas donné une majorité absolue, les électeurs n’ont jamais demandé au PD d’aller à l’opposition. Et puis, on se demande, s’il existe une différence entre ‘’ digérer ’’ Verdini et ‘’ être digéré ‘’ par Di Maio ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Brandebourg : la CDU pourrait entrer dans une coalition avec die Linke.

Allemagne. Brandebourg. Le chef de file des élus de la CDU [démocrates-chrétiens] au sein du Parlement de Brandebourg Ingo Senftleben est ouvert à une coalition entre son parti et les post-communistes de die Linke à l’issue des élections pour le Parlement de Brandebourg de 2019. Il ne désire pas, par contre, de coalition, ni avec les sociaux-démocrates du SPD, ni avec les patriotes de l’AfD.

Le Jobbik appelle Krisztina Morvai à rendre son mandat de député européen.

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Hongrie. La direction nationale du Jobbik appelle Krisztina Morvai à rendre son mandat de député européen. [Elle avait été élue sur la liste du Jobbik tout en étant pas membre du parti.] Le Jobbik estime qu’elle a conduit au cours des derniers mois une campagne de diffamation et de mensonges contre le Jobbik,.

11/04/2018

Panos Kammenos a ordonné le déploiement de 7.000 militaires supplémentaires.

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Grèce et Turquie. Suite à la montée des tensions entre les deux pays, le ministre grec de la défense Panos Kammenos (Grecs indépendants) a ordonné, la semaine dernière, le déploiement de 7.000 militaires supplémentaires sur les îles de la mer Égée ainsi que sur la frontière terrestre entre les deux pays.

Italie : Chambre des députés : la "prime pour le premier" rejetée.

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Italie. La dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni estime que la XVIIIème législature de la Chambre des députés a perdu l’occasion aujourd’hui de lancer un signal de responsabilité lorsque la Conférence des chefs de groupe de la Chambre des députés a rejeté la demande introduite par Frères d’Italie de placer parmi les sujets urgents pour la Commission spéciale le fait de réformer le système électoral en vue d’y introduire une « prime pour le premier » afin de permettre, en cas de nouvelles élections, de donner une majorité claire. Elle s’attendait à ce genre de réaction de la part du Parti Démocrate, mais moins de la part du M5S.

"Le Président met Di Maio et Salvini au pied du mur."

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Italie. Revue de presse.

Gouvernement-Consultations au Quirinal : – Unes : « Consultation, hypothèse d’un explorateur » (Corriere della Sera), « Gouvernement, pression de Mattarella » - ‘’Le Président met Di Maio et Salvini au pied du mur’’ (La Stampa), « Nouvelle consultation, issue incertaine. Déchirement au sein du PD sur le M5S » (Il Messaggero).

EDITORIAL Corriere della Sera A. Polito « Le devoir de faire un gouvernement » : « Ne nous leurrons pas, il n’est pas possible de rester tranquille, au chaud, sans avoir un exécutif pendant six mois. Il suffirait d’une tension majeure sur les droits de douane entre l’Amérique et la Chine ou le début d’un conflit par procuration en Syrie entre les grandes puissances pour nous faire regretter de ne pas avoir un gouvernement pouvant prendre des décisions cruciales. Il s’agit donc d’établir si le fait de faire naître un gouvernement représente ou pas un intérêt général supérieur par rapport à la cohérence des positions d’idéaux et de programmes [des partis vainqueurs] ».

ARTICLE Sole 24 Ore L. Palmerini « Le Quirinal, la carte du pré-mandat avec un regard rivé sur la Syrie et l’UE » : « Un cadre international délicat, avec les Etats-Unis prêts à une intervention en Syrie, voilà ce qui explique le coup d’accélérateur qui a été donné pour permettre d’avoir au plus vite un gouvernement opérationnel. Bien sûr le Conseil européen de juin prochain est également ne échéance importante. Le chef de l’Etat expliquera ainsi aux partis qu’il patientera encore un peu mais qu’en l’absence de nouveautés, il prendra la main sur la crise ».

ARTICLE, La Repubblica, S. Buzzanca : « PD, maintenant la crise est ouverte. Franceschini attaque : ‘’ Il ne faut pas être spectateur ‘’ » : « Pour le PD, la crise est ouverte et les divisions sur un éventuel soutien à un gouvernement du M5S déchirent le parti. Le ministre de la Culture Dario Franceschini déclare que le PD ne peut pas se limiter à regarder et permettre la naissance d’un gouvernement Ligue-M5S. Au contraire, il doit travailler pour donner un cadre politique. La réaction de Matteo Orfini, fidèle de Renzi, est très dure : ‘’ Le M5S n’est pas une partie de la gauche et le seul endroit pour le PD est dans l’opposition ‘’ ».

ARTICLE, F. Capurso, Stampa, « Flirt avec Moscou et Pékin, la diplomatie de Salvini alarme les Etats-Unis – Tour des ambassades. Froid avec Paris et Berlin» : « La Ligue resserre ses liens avec la Russie mais s’éacitive aussi pour ouvrir un canal de communication inédit avec la Chine et les Etats-Unis. Le moteur s’est mis en route après la rencontre de Salvini au siège de la presse étrangère le 14 mars. Les contacts de Salvini avec l’ambassadeur russe à Rome demeurent ‘’constants’’ et une rencontre officielle n’est donc pas considérée par Moscou comme étant urgente. Le fil léghiste, politique et économique, donne de plus en plus de poids à l’axe historique entre Moscou et Pékin. D’autant que les rapports avec Bruxelles sont difficiles et que ceux avec Paris et Berlin sont ‘’froids’’. Les relations se nouent, plus intenses, avec les chancelleries considérées ‘’amies’’, comme Vienne, Amsterdam et Budapest, avec à l’horizon les élections européennes dans un an. Et la tentative déclarée de Salvini de faire contrepoids à l’axe franco-allemand pourrait passer ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

La Lijst Smolders Tilburg ne prendra pas part à l'exécutif de Tilbourg.

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Pays-Bas. Province de Brabant du Nord. Tilb(o)urg. La liste conduite par l’ancien chauffeur de Pim Fortuyn Hans Smolders, qui a obtenu 10 sièges lors des élections municipales de 2018, ne participera pas à l’exécutif de la ville. L’informateur a déclaré que les différentes conservations entre partis en vue de former une coalition n’ont pas abouti à la formation d’une coalition avec la Lijst Smolders Tilburg (LST).

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2018/03/26/la-...)

L'AfD donnée à 15,5 %.

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Allemagne. Un sondage INSA donne l'AfD à 15,5 %.

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CDU : démocrates-chrétiens

CSU : sociaux-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

AfD : patriotes

FDP : libéraux

die Linke : post-communistes

Grüne : écologistes

Sonstige : autres

10/04/2018

Joe Thein interviewé par un organe de presse luxembourgeois.

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Luxembourg. Interview par l'organe de presse luxembourgeois Le Quotidien du président du parti déi Konservativ Joe Thein :

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"Querelle Di Maio-Salvini, le Quirinal prévoit des temps longs."

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Italie. Revue de presse.

Gouvernement-Consultations au Quirinal : – Unes : « Di Maio-Salvini : l’heure des accusations » (Corriere della Sera), « Gouvernement, altercation Salvini-Di Maio » (La Repubblica), « Renzi tenté par un gouvernement du Président » - (La Stampa), « Querelle Di Maio-Salvini, le Quirinal prévoit des temps longs » (Il Messaggero), « Di Maio : ‘’inutile de voir maintenant Salvini, j’attends tout le PD’’ » (Fatto Quotidiano).

ARTICLE Sole 24 Ore L. Palmerini « Le second tour de consultation au Quirinal et les requêtes ‘’irrecevables’’ » : « Une chose est sûre, le Quirinal ne donnera pas son feu vert à un gouvernement minoritaire de la droite ou du M5S. Cela signifierait cristalliser la rupture entre des réalités économiques et sociales très différentes, en en faisant prévaloir l’une sur l’autre. Il aura donc deux instruments pour surmonter l’impasse : confier un pré-mandat à un candidat qui pourrait ‘’se brûler’’ ou confier un mandat explorateur aux présidents des Chambres ».

RETROSCENA (Coulisses), La Repubblica, G. De Marchis : « Un ‘’ troisième nom ‘’ en plus. La carte du Quirinal contre l’impasse » : « Une hypothèse est à l’étude pour surmonter les difficultés pour former un nouveau gouvernement ainsi que les vetos croisés entre le M5S et la droite. Cette hypothèse pourrait naître spontanément des forces politiques qui pourraient s’entendre sur d’autres noms pour la présidence du Conseil, tels que Mario Draghi, président de la BCE, qui pourrait être le garant de nos comptes sur les marchés dans une éventuelle situation de spéculation, Antonio Tajani (Forza Italia), président du Parlement européen, déjà indiqué par Berlusconi lors de la campagne électorale et encore Giancarlo Giorgetti, de la Ligue et Raffaele Cantone, président de l’Autorité anti-corruption. Il s’agit seulement d’hypothèses, mais un gouvernement est destiné à naître, même si les délais s’allongent ».

ENTRETIEN de Luigi Di Maio, candidat du M5S à la Présidence du Conseil « ‘’Rencontrer maintenant Salvini serait inutile. J’attends une réponse de toutes les âmes du PD’’ » (Fatto Quotidiano): « ‘’Si nous devons nous voir avec Salvini pour discuter de Berlusconi, cela ne sert à rien. Il ne s’agit par d’un acharnement contre ce dernier. Mais Berlusconi représente le passé. Il a eu sa chance, qu’il laisse la place aux jeunes et à ceux qui veulent changer les choses. Salvini devrait comprendre que le centre droit veut l’envoyer au Parlement pour le ‘’brûler’’. Je ne veux pas faire sauter les négociations avec la Ligue et le PD. Quant au PD, nous suivons les canaux officiels : les secrétaires de parti (donc Martina, ndr) et les chefs de groupe au Parlement. Je m’adresse à tout le PD, comme à toute la Ligue. Celui qui contresignera le contrat de gouvernement devra assurer le soutien de tout son parti’’ ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

09/04/2018

Gábor Vona ne sera pas député.

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Hongrie. Le président démissionnaire du Jobbik Gábor Vona ne sera pas candidat à sa succession à ce poste. Le parti tiendra dans le futur proche un congrès afin de désigner un nouveau président. Gábor Vona ne prendra pas le mandat de député qu’il a obtenu sur la liste du parti [scrutin proportionnel].

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Gábor Vona

HC Strache : "C'est l'équité !"

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Autriche. Le vice-chancelier et président du FPÖ Heinz-Christian Strache :

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"Nous augmentons la pension minimale et coupons dans l'argent consacré à l'aide sociale pour les demandeurs d'asile. C'est l''équité !"

Matteo Salvini en campagne au Frioul-Vénétie Julienne.

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Italie. Le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini est en campagne au sein de la région autonome du Frioul-Vénétie Julienne afin de soutenir Massimiliano Fedriga de la Ligue, candidat du centre-droit au poste de gouverneur de la région.

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Matteo Salvini et Massimiliano Fedriga

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Le programme de ce lundi 9 avril 2018

"Le centre droit se présente uni mais Salvini ouvre au M5S."

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Italie. Revue de presse.

Gouvernement-Consultations au Quirinal : – Unes : « Le centre droit demande la présidence du Conseil, le M5S attaque » - ‘’Di Maio : ‘’Salvini a tort’’ (Corriere della Sera), « Le centre droit ne trouve pas d’entente, Di Maio relance »  (La Stampa), « Retour au Quirinal bloqués par les vétos » - ‘’Le centre droit se présente uni mais Salvini ouvre au M5S’’ (Il Messaggero), « Duel à la réunion d’Arcore » ‘’Centre droit uni au Quirinal mais divisé sur les alliances’’ (Il Mattino).

ARTICLE La Repubblica C. Tito « Le Quirinal : pas d’élections anticipées et un nouveau gouvernement d’ici juin » : « Pour le Président S. Mattarella, une autre campagne électorale serait un véritable choc pour l’Italie. Et au Conseil européen du 28 juin, il faut un exécutif en fonction. C’est d’ailleurs la feuille de route que le Quirinal suivra, puisqu’il n’existe pas de véritable date butoir dans les consultations. Par ailleurs, le message donné par les électeurs a été clair, rien n’assure que de nouvelles élections pourront modifier la situation actuelle. Le second tour de consultation doit encore être convoqué par Mattarella. Parmi les dates possibles : jeudi 12 ou vendredi 13 avril ».

ARTICLE, La Repubblica de samedi T. Ciriaco « le tournant de Renzi : ‘’Négocions avec le M5S si Di Maio renonce au leadership’’ » : « l’ancien secrétaire démocrate prépare sa stratégie pour répondre aux pressions venant du chef politique du Mouvement 5 Etoiles sur les sommets du PD ».

ENTRETIEN de Luigi Di Maio, candidat du M5S au Palais Chigi « ‘’Je dis au PD : faisons la paix et offrons un gouvernement à l’Italie » (La Repubblica de samedi): « Le M5S travaillera avec celui avec lequel nous trouverons le plus de convergences. La Ligue et le PD ne doivent pas se sentir sur le même plan, il s’agit de deux partis profondément différents. Chacun porte ses idées. Le contrat s’écrira ensemble. Voilà pourquoi nous voulons dialoguer, pour raisonner ensemble et trouver une synthèse pouvant donner des réponses et éviter une opposition stérile. Je ne nie pas les critiques faites au PD, mais l’heure est à la responsabilité et nous devons tous nous apaiser. Je n’ai jamais mis de véto sur le PD, ni ai jamais parlé de PD ‘’sans Renzi’’. Si Salvini choisit Berlusconi, il choisit la restauration. Je n’ai pas peur des élections anticipées mais il n’y en aura pas’’ »

ENTRETIEN de Roberto Maroni, ancien président de la Région Lombardie et membre de la Ligue « Il n’y aura pas d’accords. Nous irons voter avec des règles revues par le M5S et la Ligue » (La Repubblica) : « Le centre droit a resserré ses bancs et cela est une bonne nouvelle. Salvini a fait le bon choix. Il n’y a qu’une date sûre : le 26 mai 2019, celle des élections européennes. D’ici là, Salvini et Di Maio ont intérêt à adopter le revenu de citoyenneté et l’abolition de la loi sur les retraites ‘’Fornero’’. Autrement, ils perdront de leur crédibilité. Ils ont intérêt à aller aux élections avant. Avec une loi électorale majoritaire ».

ENTRETIEN d’Andrea Orlando, ministre de justice sortant et chef de courant au sein du PD « Le PD ne doit pas craindre la rencontre avec le M5S mais Di Maio doit cesser le dialogue avec la Ligue » (La Repubblica): « La ligne indiquée par la direction (aller dans l’opposition) est juste mais pour défendre nos réformes, nous devons dialoguer avec ceux qui sont les moins partant pour les effacer. Di Maio devrait avant jeter ses cartes s’il veut transformer le résultat électoral en une proposition ayant un minimum de crédibilité ».

ENTRETIEN de Giorgia Meloni, secrétaire de Fratelli d’Italia « Que Salvini rencontre Di Maio et qu’il lui explique que nous ne nous diviserons pas » (La Stampa): « ‘’A la réunion à Arcore [résidence milanaise de Berlusconi, ndt] nous avons décidé de nous présenter unis et que c’est à la coalition de centre droit de former un gouvernement’’ ».

ENTRETIEN de Renato Brunetta, député de Forza Italia : « ‘’ Moi, je serai toujours contre un gouvernement Ligue-M5S, même si j’étais le seul dans FI ’’ » (Corriere della Sera) : « ‘‘ La Ligue tente toujours de nous vider, ce n’est pas le moment pour un parti unique. Moi, je serai toujours contre un gouvernement Ligue - ‘’grillini’’ même si j’étais le seul à le penser dans FI, parce qu’il pourrait mettre notre pays dans une grande difficulté, surtout en Europe.  Je pourrais m’allier même avec le diable, mais avec les populistes‘’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Hongrie : large victoire du Fidesz et progression du Jobbik lors des législatives.

Hongrie. Le Fidesz du Premier ministre Viktor Orbán conserve sa majorité des 2/3 lors des élections législatives de ce 8 avril 2018. Le Jobbik gagne 3 sièges.

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Fidesz-KDNP : démocrates-chrétiens développant un programme patriotique

Jobbik : ex-nationalistes

MSZP : centre-gauche

DK : centre-gauche

LMP : écologistes

(http://www.valasztas.hu/dyn/pv18/szavossz/hu/l50.html)

[Une partie du courant national (Tamás Gaudi-Nagy, Krisztina Morvai, les Budahàzy, …), opposée à l’évolution du Jobbik, a soutenu le vote en faveur du Fidesz de Viktor Orbán.]

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Hongrie. Analyse du scrutin par le Visepgradpost :

https://visegradpost.com/fr/2018/04/09/victoire-ecrasante...

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Viktor Orbán

La CSU tente de couper l'herbe sous les pieds de l'AfD.

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Allemagne. La CSU, qui doit tenter de conserver sa majorité en sièges en sein du Parlement de Bavière lors des élections pour le Parlement de Bavière du 14 octobre 2018, conduit diverses actions, tant en Bavière qu’au niveau national, afin de lutter contre la concurrence du parti patriotique AfD.

Le ministre fédéral CSU de l’Intérieur, de l’Urbanisme et de la Patrie Horst Seehofer désire limiter le regroupement familial des réfugiés afin de limiter les coûts de sécurité sociale.

Le ministre fédéral CSU du Développement Gerd Müller désire développer le programme de retour pour les migrants. Il estime que cela coûte moins cher que de les maintenir en Allemagne.

Le ministre-président CSU de Bavière Markus Söder demande que des classes pour apprendre l’allemand soit instaurées pour les enfants réfugiés. Ils devront seulement par après être versés dans des classes normales.

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Gábor Vona a annoncé qu'il présente sa démission de la présidence du parti.

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Hongrie. Le président du Jobbik Gábor Vona a annoncé qu'il présente sa démission de la présidence du parti.

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08/04/2018

Matteo Salvini fait le plein lors de meetings.

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Italie. Le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini fait le plein lors de meetings. Ici, à Vicence en Vénétie :

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Matteo Salvini tweete à l’occasion de la journée internationale des Roms.

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Italie. Le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini a écrit sur Twitter à l’occasion de la journée internationale des Roms : « Aujourd'hui, c'est la journée internationale des Roms, Sinté et Caminanti [nomades originaires de Sicile]. Si beaucoup d'entre eux travaillaient plus et volaient moins, si beaucoup d'entre eux envoyaient leurs enfants à l'école au lieu de leur apprendre à voler, ce serait vraiment une fête. »