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08/09/2010

Allemagne : exclusion de René Stadtkewitz du groupe parlementaire CDU au sein du Parlement du Land de Berlin.

Nous avons parlé sur ce site de René Stadtkewitz. Ancien membre de la CDU, le Parti conservateur (chrétien-démocrate) allemand, René Stadtkewitz a quitté ce parti il y a un an. Il continuait à siéger en tant que député au sein du Parlement du Land de Berlin dans le groupe parlementaire de la CDU. René Stadtkewitz vient d’être expulsé du groupe parlementaire CDU du Parlement du Land de Berlin par 27 voix de député CDU contre 5 et 2 abstentions.

 

René Stadtkewitz, qui entretient des contatcs avec le Président du PVV néerlandais Geert Wilders, devrait fonder bientôt un parti.

07/09/2010

Le président de Plateforme pour la Catalogne veut des contrôles à la frontière française afin de prévenir un afflux de Roms.

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Espagne. Catalogne. Le Président de Plateforme pour la Catalogne (PxC) Josep Anglada a déclaré ce 7 septembre 2010 être favorable à un rapatriement immédiat des clandestins. Il veut également que des contrôles soient mis en place à la frontière française afin d’éviter que les Roms séjournant en France n’affluent vers l’Espagne, suite aux mesures prises par le gouvernement français.

Discours du Député européen Nigel Farage, en réponse au Discours sur l’état de l’Union.

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En réponse au Discours sur l’état de l’Union tenu par Manuel Barroso, Nigel Farage, député européen du parti UKIP (Royaume-Uni), a déclaré au sein du Parlement européen ce mardi 7 septembre 2010 : « L’Union européenne n’a jamais eu autant de pouvoir et n’a jamais été aussi impopulaire. », « Plus il y a de politique européenne commune, moins les gens l’aime » et «  Cette forme de gouvernement de l’Union européenne ne fonctionne pas... Nous voyons cette ambition fanatique de créer des Etats-Unis d’Europe sans considération  pour les conséquences et qui n’a à aucun moment été ratifiée par le vote du public. C’est le vrai état de l’Union. »

Voir la vidéo en anglais : http://www.youtube.com/watch?v=7HB_L1cnCqs&feature=pl...

Fini accélère.

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« Fin de partie entre anciens alliés » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le pacte de législature paraît déjà mort. A sa place se prépare un affrontement institutionnel à chaud, devenu peut-être inévitable après la dure prise de distance de Fini par rapport à ses alliés. Berlusconi et Bossi ont demandé à rencontrer G. Napolitano en vue de la démission du président de la Chambre – la réunion nocturne PdL-Ligue a constaté que Fini ‘n’est pas au-dessus des partis’. S’ouvre pour tout le système une phase de forte tension, qui laisse toutes les options ouvertes, même celle d’élections anticipées à court terme. Le discours de Fini a accéléré un règlement de comptes au sein de la majorité qui finit par impliquer les institutions. Le phénomène touche le Quirinal, surprend les oppositions et prend un rythme qui apparaît dicté par la volonté de la Ligue de marquer la rupture sans perdre de temps. Berlusconi tente de résister, et le palais Chigi ne donne pas les élections anticipées pour certaines – il ne les juge inévitables que si la minorité finienne joue à harceler le gouvernement. Bossi admet qu’il sera difficile de voter d’ici décembre mais la probabilité s’accroît si on parle du printemps. Peut-être l’objectif du document PdL-Ligue est-il surtout de tuer dans l’œuf toute marge de manœuvre finienne au Parlement, de délégitimer plus encore le leader de Futur et Liberté et d’anéantir toute idée de gouvernement électoral sur les ruines de l’actuel, selon la ligne de l’UdC et du PD. Impliquer le Quirinal dramatise les choses et pose le problème du maintien de Fini à la Chambre à un moment où le gouvernement veut des garanties – que Fini ne serait plus en mesure d’offrir à ceux qui l’ont élu. Nul ne peut l’obliger à démissionner, mais sa position est devenue politiquement bancale. Berlusconi et Bossi le savent, comme ils savent que la distance qu’il a prise par rapport à ses ex-alliés peut faire réfléchir jusqu’au Quirinal. »

« Berlusconi : ‘le Quirinal va devoir capituler’ » (Francesco Bei, La Repubblica) : « S. Berlusconi en appelle au Quirinal. La colère du Cavaliere après le discours de Fini à Mirabello a fini par éclater ; sa réunion nocturne avec la Ligue l’a conduit à cette conclusion : ou Fini démissionne ou on retourne voter. D’autre part, Berlusconi ne cesse de courtiser les finiens pour faire émerger une zone de ‘responsabilité nationale’ avec ceux qui ne veulent pas revenir au sein du PdL sans être pour l’affrontement. C’est dans cette optique qu’il faut lire son ‘coup’ d’il y a deux jours : il a invité P. Viespoli et S. Moffa, deux finiens modérés, à sa résidence d’Arcore pour une réunion (autorisée par Fini). Selon l’un des participants, Berlusconi estime que Fini a fait à Mirabello un discours ‘crypté’ dont il a demandé le ‘décodage’. Il n’a pas bien saisi, par exemple, si Fini était vraiment prêt à le protéger de la ‘persécution judiciaire’ (‘de grâce, peut-on savoir ce qu’il suggère…’). Autre terrain sur lequel Berlusconi veut ‘comprendre si Fini bluffe’ : celui de la vérification au Parlement – il a donc changé de méthode. Fini voulant discuter du contenu des points de programme, l’idée est d’obtenir de Futuro e Libertà un accord écrit sur des projets de lois complets. »

« Fini accélère : en octobre le parti ‘léger’ » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) : « Ceux qui travaillent au projet décidé à Mirabello parlent d’un parti ‘léger’, un peu comme le Tea Party ou l’ex-AN. Même si Fini s’est bien gardé de prononcer le mot ‘parti’, c’est bien de cela qu’il s’agit, avec le logo présent à Mirabello. Un coordinateur national, deux chefs de groupe et 44 parlementaires formeront une sorte de bureau politique, avec pour base les cercles de Generazione Italia (GI). Futuro e Libertà est en route. Vu la possibilité d’élections imminentes, au printemps peut-être, le président de la Chambre doit accélérer : le premier rendez-vous est fixé au 16 octobre, où doivent se réunir 1 100 élus locaux ayant signé en juillet l’appel ‘je suis avec Fini’ et les adhérents de Generazione Italia. Les 6 et 7 novembre, aura lieu à Pérouse une réunion de GI, qui verrait la constitution effective du parti. Selon Adolfo Urso, vice-ministre finien, il y a ‘un chef, une équipe, une identité politique et une base qui [les] suit’, mais ce ne sera pas un parti ‘lourd’ classique. Urso, qui se trouve à la frontière entre le gouvernement Berlusconi et le parti des ‘traîtres’, est l’homme d’équilibre auquel Fini pense comme coordinateur national. La présence sur le territoire sera assurée via Generazione Italia, qui compte déjà 402 cercles et environ 11 000 adhérents, pour la plupart très jeunes (25-30 ans). On évoque un modèle ‘polyarchique’ avec un cercle par commune, bien différent du ‘PdL monarchique et anarchique’. Presque toutes les régions ont leurs coordinateurs régionaux et provinciaux, notamment au Sud (22 députés sur 34). A ce stade, le patrimoine de l’association AN reste au coffre, entre les mains du finien D. Lamorte, mais convoité par les ‘colonels’ berlusconiens – le dernier mot pourrait revenir au juge. »

 (Traduction : ambassade de France à Rome)

Geert Wilders veut reprendre les négociations en vue de la formation d’un gouvernement.

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Pays-Bas. Les concertations entre le CDA (Parti chrétien-démocrate), le VVD (Parti libéral de droite) et le PVV (Parti patriotique), en vue de former un gouvernement CDA-VVD soutenu de l’extérieur par le PVV,  pourraient reprendre.

Les négociations avaient été rompues par Geert Wilders suite à l’instabilité du CDA, 3 députés de ce parti ne voulant pas du rapprochement de leur formation politique avec le PVV. Un des 3 députés en question a décidé de quitter ses fonctions. Il reste cependant membre du CDA. Les deux autres députés dissidents restent en place.

Suite à cette évolution, Geert Wilders et son parti, le PVV, veulent reprendre les négociations avec le CDA et le VVD en vue de former un gouvernement.

06/09/2010

Les sociaux-démocrates tentent de discréditer l'affiche du FPÖ "Sang viennois".

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Nous avons déjà abordé cette affiche de Heinz-Christian Strache, président du FPÖ  et tête de liste de son parti pour l'élection du Parlement du Land de Vienne.

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"Plus de courage pour notre "Sang viennois". Trop d' "étranger" (dans le sens de choses étrangères) n'est bon pour personne. C'est pourquoi "Oui" à Strache". (Wiener Blut, Sang viennois, est une célèbre valse viennoise de Johann Strauss fils écrite en 1873).

Le Parti social-démocrate (SPÖ) tente de discréditer l’affiche du FPÖ en essayant de lui donner un tournant « raciste ». Les sociaux-démocrates ont lancé une contre-campagne intitulée « Sang viennois - La diversité est bonne !» et organisé une scéance de don de sang à laquelle ont participé des candidats sociaux-démocrates, aux élections pour le Parlement de Vienne, issus de l’immigration.

Le SPÖ est tombé dans le piège tendu par les stratèges du FPÖ. 

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Des candidats du Parti social-démocrate issus de l'immigration : « Sang viennois - La diversité est bonne ! »

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Une candidate du SPÖ et son équipe : « Sang viennois - La diversité est bonne ! »

Campagne du BNP contre la guerre en Afghanistan.

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La campagne de recrutement du British National Party’s « Supportez nos troupes – Ramenez nos garçons à la maison » sera lancée le 18 septembre 2010 et se poursuivra jusque la Noël. Le département « communication » du BNP a préparé du matériel de propagande à cet effet.

Gianfranco Fini, maître du jeu politique italien.

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Silvio Berlusconi déclare : « les élections en mars sont presque inévitables ».

« Berlusconi perd patience et parle de retirer le procès court » (Liana Milella, La Repubblica) : « S’il faut négocier avec Fini, à son avantage, le texte sur le procès court, alors autant laisser tomber ce projet de loi et aller tout de suite au vote. ‘Je ne m’accroche pas au procès court, di Berlusconi ; c’est une bonne loi, mais qu’il soit clair qu’elle n’a pas été écrite pour moi, je n’en ai pas besoin : je suis innocent ; si je dois aller à la négociation avec Fini, alors je dis tout de suite que le procès court ne m’intéresse plus ; mettez le sur une voie de garage ; avec celui-là, je ne négocie plus rien, et personne n’est autorisé à négocier avec lui pour mon compte, pas même la Ligue’.

Ce dimanche, lors d’une réunion à Mirabello, le discours de Gianfranco Fini était très attendu. Fonde-t-il un nouveau parti ou non ?

Gianfranco Fini est l’ancien leader du Mouvement Social Italien (MSI) devenu Alliance Nationale (AN), parti politique qui s’est dissout au sein du Peuple de la Liberté (PdL). Il a été expulsé de fait du PDL par Silvio Berlusconi.

Voir l'article du "Figaro" sur le discours de Mirabello :

http://www.lefigaro.fr/international/2010/09/05/01003-201...

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« Le choix de sortir de l’enceinte » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Soyons réalistes : il est difficile de croire, après le discours de Fini, que le ‘pacte de législature’ proposé hier à Berlusconi par le président de la Chambre, parlant désormais comme leader du nouveau parti ‘Futur et Liberté’, peut vraiment se réaliser. Même si, dans les prochains jours, les finiens voteront la confiance au président du Conseil à la Chambre, l’alliance vieille de 16 ans aura du mal à renaître après le discours de Fini à Mirabello : au-delà d’accusations frisant parfois l’insulte (du ‘stalinisme’ à la ‘lapidation islamiste’ dont il aurait été victime), il a ajouté la réforme électorale aux cinq points voulus par Berlusconi pour vérifier que la majorité existe toujours. Une façon de laisser le soin d’entériner la rupture à Berlusconi, pour qui c’est politiquement inacceptable. En dehors de cela, Fini s’est exprimé avec brio, en chef, tout en opérant un déplacement de son parti de la droite à la gauche du centre droit. Ce faisant, Fini est sorti de l’‘enceinte du PdL’, qu’il avait pourtant contribué à fonder. »

« Séparés sous le même toit » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « On a du mal à comprendre si Gianfranco Fini a offert à Silvio Berlusconi un pacte de législature ou s’il a ouvert la campagne ; peut-être a-t-il fait les deux. Le choix de rester au centre droit est clair, de même que le soutien à Berlusconi sur le thème de l’immunité ; mais il dicte ses conditions de ‘troisième allié’ aux côtés des partis de Berlusconi et de Bossi. L’incertitude reste donc entière quant à l’avenir du gouvernement et de la législature. Futur et Liberté n’existe pas officiellement, mais Fini considère que le PdL ‘n’existe plus’. Reste à voir si la majorité parviendra à supporter une métamorphose aussi brutale, ou si elle volera en éclats au premier rendez-vous parlementaire. S’il ne quitte pas le centre droit, c’est pour le mettre sous pression, modifier sa stratégie et, au bout du compte, remplacer son leader. Comme il se doit, il reconnaît la primauté de Berlusconi, mais il adresse des signaux à Tremonti et à une Ligue citée sur un ton aigre-doux, et le PdL est traité comme une réalité dont le président de la Chambre veut s’émanciper au plus vite – sans doute car il lui rappelle trop l’erreur commise quand il a livré AN à Berlusconi et les frustrations accumulées ces deux dernières années. Sans doute Fini se rend-il compte qu’en déclarant la fin de la force politique qu’il a contribué à fonder et en se posant en chef de parti, il nuit à sa propre position de président de la Chambre. Cela étant, dans les convulsions que la majorité traverse, les anomalies tendent à devenir la norme. Voilà pourquoi l’hypothèse que le gouvernement poursuive sa route reste envisageable : pour autant, l’offre de pacte de législature, vu les conditions de sa présentation, risque de se révéler non pas l’occasion d’une véritable réconciliation, mais le dernier coup tactique porté à une coalition qui ne parvient pas à retrouver son centre de gravité. »

 « Pour l’heure, Berlusconi va de l’avant ; mais, sur le mode de scrutin, c’est niet » (Marco Galluzzo, Corriere della Sera) : « Après le discours de Fini, le président du Conseil a choisi de ne pas répondre officiellement. Dès aujourd’hui, il rencontrera la Ligue, qui parlait ouvertement, hier, d’élections anticipées, puis il réunira le bureau de présidence du parti pour dire que Fini ‘n’est plus là’ et pour prendre une décision formelle et publique. Le passage sur la réforme du mode de scrutin l’a fait bondir ; s’il souhaite réfléchir calmement à une réponse, il reste peu de temps pour prendre des décisions qui, en tout état de cause, auront un impact sur la législature. Mercredi prochain, aura lieu à la Chambre une importante réunion des chefs de groupe et ce sera aussi la première sortie publique de Berlusconi : on verra rapidement, en somme, si le pacte proposé par Fini, déjà qualifié par O. Napoli (n°2 du groupe PdL à la Chambre) de ‘couteau pointé sur la gorge de Berlusconi’, est accepté ou rejeté. »

« Berlusconi bloque le procès court : il ne figurera pas dans les cinq points » (Lorenzo Fuccaro, Corriere della Sera de dimanche) :  « C’est un vrai coup de théâtre, étant donné le bras de fer (évident) avec les finiens et celui (souterrain) avec le Quirinal, qui se produit à la veille du discours du président de la Chambre à Mirabello et deux jours après l’ironie du chef de l’Etat évoquant la loi sur les écoutes. Dans un message audio envoyé aux Promoteurs de la Liberté, S. Berlusconi fait une déclaration inattendue : ‘attention’, a-t-il dit, ‘dans le texte sur la justice, pour ce qui me concerne, le procès court ne devrait pas figurer. Il faudrait des procès d’une durée raisonnable pour tout le monde : 6 ans ½ maximum’. En fin de message, il appelle les finiens à revenir au PdL, assurant qu’ils pourraient ‘compter sur notre amitié, notre solidarité et notre loyauté, y compris au moment de la mise au point des listes.’ »

« Le PdL sous les 30 %, le PD ne dépasse pas 27%. Le troisième pôle est décisif mais l’abstention augmente » (Renato Mannheimer, Corriere della Sera de dimanche) : « Après les disputes d’août, un sondage fait état de changements dans le paysage politique italien. Depuis le début de l’été, le PdL perd 2 points (30%, contre 35% aux européennes et 37% aux législatives de 2008), mais garde le titre de 1er parti national. A qui cette baisse profite-t-elle ? A la Ligue (11-12%) mais aussi à la probable nouvelle force de Fini : créditée fin juillet de 8-9 %, elle est désormais donnée à un peu plus de 6%, avec une présence plus marquée au Sud et, en partie, au Nord-Est. Les sympathisants de FLI, il faut le souligner, ne viennent pas seulement du centre droit, mais aussi de segments de l’électorat du centre, voire du centre gauche. Le PD resterait à 27%, assez faible donc (bien loin des 33% de 2008), à cause surtout d’une présence territoriale forte seulement dans le centre et fragile au Nord et au Sud du pays. L’Italia dei Valori s’établit entre 6 et 7 %, non loin des 8% des européennes, comme d’ailleurs l’UdC de Casini (6-7%). En cas d’élections immédiates, le PdL et la Ligue l’emporteraient, mais pas au Sénat, étant donné l’actuel système électoral et les mauvais scores dans le Sud. Mais tout pourrait changer si les 35% d’électeurs indécis devaient se faire une opinion plus précise, si Fini formait pour de bon un nouveau parti et s’alliait à Casini ou Rutelli (certains observateurs parlent alors de 15-20%) et si le PD de Bersani parvenait à créer, comme annoncé, un front anti-berlusconien assez large, attirant ainsi à lui une partie des électeurs déçus et stimulant l’électorat de centre gauche. Une situation très évolutive, donc, et dans un sens qui pourrait compliquer la tâche au gouvernement et à la majorité actuelle. »

(Traduction :ambassade de France à Rome.)

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Elisabetta Tulliani et Gianfranco Fini

HC Strache poursuit sa campagne à Vienne : fête au Parc du Congrès.

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Heinz-Christian Strache, le chef de file du FPÖ, poursuit sa campagne électorale en vue des élections pour le Parlement de Vienne. Le voici lors d'une fête organisée par le FPÖ au Parc du Congrès à Vienne.

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Distribution de signatures.

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HC Strache tient un discours.

Suisse : le MCG a un petit frère.

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Suisse. Le MCG (Mouvement des Citoyens Genevois) a donné naissance à son petit frère, le MCVD (Mouvement des Citoyens Vaudois).

Voir l'article du "Matin" à propos de la création du MVCD :

http://www.lematin.ch/actu/suisse/vaud-mouvement-citoyens...

Voir le site du MCVD : http://www.mcvd.net/mcvd/

Lire la revue du MVCD : http://www.mcvd.net/le-citoyen/LeCitoyen-n1.pdf

05/09/2010

Manifestation le 13 septembre 2010 à Budapest en faveur de György Budaházy.

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Hongrie. Le 13 septembre 2010 à 18h, une manifestation est organisée à Budapest, dans le quartier où se trouve le Parlement, en vue de réclamer la libération du prisonnier politique György Budaházy.

La manifestation devait avoir lieu plus tôt, mais a été postposée au 13 septembre 2010, suite au décès de deux militants du HVIM, dont un était candidat sur la liste du Jobbik pour les futures élections municipales,  au cours d’un accident de voiture. (Plus d’infos : http://hvim-france.hautetfort.com/archive/2010/08/23/le-hvim-en-deuil.html)

Parmi les personnalités attendues figurent : le Député européen Krisztina Morvai, les Députés Tamás Gaudi-Nagy et Gyula Zagyva ainsi que le Président du HVIM László Toroczkai et le directeur de la radio Szentkorona.

Rappelons que j’ai réalisé, cet été, l’interview de la mère et de la femme de György Budaházy :http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/interview-de-la-mere-et-de-la-femme-de-gyorgy-budaházy-le-pr.html

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"Liberté pour les prisonniers politiques en Hongrie! Liberté pour Budahàzy."

Le PVV de Geert Wilders poursuit sa progression dans les sondages.

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Pays-Bas. Un sondage Maurice de Hond paru cette semaine donne le PVV de Geert Wilders en progression de 3 sièges par rapport à la semaine dernière, alors que le Parti libéral (de droite) VVD en perd 3.

 

Voilà les prévisions du sondage en cas d’élections ayant lieu maintenant.

 

PVV : 34 sièges

VVD : 25 sièges (Parti libéral de droite)

PvdA : 25 sièges (Parti travailliste)

CDA : 15 sièges (Parti démocrate-chrétien)

 

Par rapport aux élections du 9 juin 2010, le PVV est en progression de 10 sièges, alors que les autres partis sont en recul : VVD (-6), PvdA (-5), CDA (-6)

 

Ce sondage a été réalisé vendredi, après la dispute au sein du groupe parlementaire du CDA, et samedi, via Internet, parmi plus de 2.500 personnes faisant partie d’un échantillon de 40.000 personnes.

Geert Wilders engage le mari d'un(e) député du Vlaams Belang.

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Geert Wilders, le chef de file du PVV néerlandais, a engagé en tant que collaborateur personnel le journaliste et écrivain Paul Belien, le mari du député du Vlaams Belang Alexandra Colen.

Paul Belien joue un rôle important dans le rapprochement entre le PVV (Pays-Bas) et le Vlaams Belang (Flandre – Belgique).

Un imam australien appelle à la décapitation de Geert Wilders.

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Feiz Muhammad, un prédicateur musulman d’Australie, a appelé à décapiter Geert Wilders, le chef de file du PVV néerlandais.

04/09/2010

Vienne : meeting de HC Strache le 9 septembre 2010.

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Le 9 septembre 2010, un meeting de Heinz-Christian Strache, le chef du FPÖ, aura lieu à Vienne.

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"HC Strache vient à vous. Invitation à un meeting. Dis "Oui" à HC Strache."

Pays-Bas : les négociations en vue de former un gouvernement sont dans l’impasse.

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Geert Wilders, le président du PVV, n’a plus confiance dans le CDA, le Parti démocrate-chrétien. Celui-ci négocie avec le VVD (Parti libéral de droite) la formation d’un gouvernement CDA-VVD soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders 

Hors, ces négociations ont provoqué des tensions au sein du CDA, certains de ses membres ne voulant pas que le CDA soit allié au PVV de Geert Wilders. En réaction à l’instabilité du CDA, Geert Wilders a demandé que 3 députés du CDA opposés à une telle coalition déclarent par écrit s’engager à suivre la décision du congrès du CDA devant avaliser une telle coalition, cela afin de s’assurer la stabilité du futur gouvernement. Le chef de file du CDA a refusé cette condition.

Voir la vidéo de la conférence de presse de  Geert Wilders en néerlandais : http://nos.nl/video/182599-wilders-wij-hebben-dit-niet-ve...

Réunion électorale de Plate-forme pour la Catalogne à Sant Feliu de Llobregat.

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Ce vendredi 3 septembre 2010, Josep Anglada, qui dirige Plate-forme pour la Catalogne ( PXC ), se trouvait à Sant Feliu de Llobregat. Une réunion électorale avait lieu en vue des élections régionales.

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"Stop à la corruption. Contrôlons l'immigration."

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Josep Anglada parle.

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Josep Anglada dédicace son livre.

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Lors de la réunion, une forte présence féminine a pu être constatée.

Budapest : le Jobbik a les signatures !

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Hongrie. Le candidat du Jobbik au poste de maire de Budapest, Gábor Staudt, a apporté dans une valise les formulaires sur lesquels sont apposées les signatures de citoyens. Il dispose de 33.000 signatures, soit 5.000 de plus que le nombre requis par la loi afin de pouvoir se présenter.

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Lors d’une conférence de presse, il a déclaré que la valise est un message symbolique pour les politiciens criminels, indiquant que leur temps est terminé. Ils peuvent emballer leurs affaires et quitter la mairie ou le pays.

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Il a également amené un corbeau symbolisant le besoin de responsabilité parmi les criminels qui ont gouverné Budapest durant les vingt dernières années.

03/09/2010

Heinz-Christian Strache lance la campagne du FPÖ à Vienne.

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Ce jeudi 2 septembre 2010, le FPÖ lançait sa campagne pour les élections du Parlement de Vienne. La tribune mise en place par le FPÖ, à l’intérieur d’un centre commercial, était constituée d’un ring. Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ et tête de liste du FPÖ à Vienne, s’est posé en tant que seule alternative au maire social-démocrate (SPÖ).

Il a réclamé l’instauration d’un loyer social d'un montant de 250 à 350 euros, une pré-école obligatoire pour les enfants ayant des déficiences en allemand et un meilleur comportement des fonctionnaires envers la population.

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Sur la photo : le maire social-démocrate et HC Strache. "Ring libre."

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HC Strache entouré de gardes du corps. "Nous nous occupons de nous les Viennois."

Le jeu anti-minarets du FPÖ de Styrie interdit par la justice autrichienne.

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Ce 3 septembre 2010, la justice autrichienne a interdit le jeu mis en ligne

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/09/01/jeu-du-fpo-de-styrie-tirez-sur-les-minarets-et-les-mosquees.html)

Le parquet de Graz avait indiqué, hier ,vouloir faire désactiver le jeu. Gerhard Kurzmann qui dirige le FPÖ de Styrie et est tête de liste du parti pour les prochaines élections du Parlement de Styrie a déclaré que le FPÖ ferait tout ce qu’il peut pour faire lever cette décision de la justice.

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« Chers visiteurs,

En raison de l’influence politique de nos adversaires, ce jeu est interdit pas la justice autrichienne!

Maintenant, décidez le 26 septembre... (jour des élections).»

Manifestation du Parti de l'Économie Humaine le 11 septembre 2010 à Berlin.

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Allemagne. Le Parti de l'Économie Humaine organise une manifestation à Berlin, le samedi 11 septembre 2010 à 13h sur la Potsdamer Platz, sur le thème "Liberté plutôt que peur. Stop à l'ilusion de la surveillance!"

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L'EDL (Ligue de Défense Anglaise) organise une manifestation à Amsterdam le 30 octobre 2010.

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Selon la presse néerlandaise, l’English Defence League (EDL – Ligue de Défense Anglaise) organisera le 30 octobre 2010 une manifestation de soutient à Geert Wilders à Amsterdam, sur la Place du Musée.

La municipalité a confirmé la manifestation. Á Amsterdam, une autorisation n’est pas nécessaire afin d’organiser une démonstration. Celle-ci a lieu dans le cadre du procès dont est victime le chef de file du PVV Geert Wilders, en vue de défendre la liberté d’expression. Entre 2000 et 5000 manifestants sont attendus.

Congrès national du Parti des vrais Finlandais.

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Le 14 août 2010, le dirigeant et député européen du Parti des vrais Finlandais, Timo Soini, a tenu un discours lors du congrès national de son parti à Pori. Il a déclaré : « Par son appartenance à l’Union européenne, la Finlande a donné une partie se son pouvoir de décision à un gouvernement multinational, bien que le Parlement finlandais n’ait pas le droit de donner ce pouvoir en dehors des frontières. »

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Timo Soini

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Autriche : fusion de la Liste Burgenland et de la Freier Bürgerliste.

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Autriche. Burgenland. Fin du mois de juillet 2010, la liste Burgenland (LBL) et la Freier Bürgerliste (FBL) ont fusionné.

Le groupe parlementaire de l'UDC Suisse soutiendra la candidature de Jean-François Rime au poste de ministre.

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Le chef du groupe parlementaire et le groupe parlementaire de l’UDC se sont penchés sur les prochaines élections au Conseil fédéral. Ils ont unanimement suivi la proposition de la direction du parti et nommé le vice-président du groupe parlementaire, Jean-François Rime, en tant que candidat UDC pour les élections au Conseil fédéral (gouvernement) du 22 septembre 2010.