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28/02/2011

Les élus du FPÖ de Vienne manquent de place.

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Autriche. Vienne. Le FPÖ a tenu une conférence de presse afin de dénoncer le fait que le parti, qui lors des dernières élections est passé au sein du Conseil municipal de Vienne et au sein du Parlement du Land de Vienne de 13 à 27 élus, n’a pas obtenu plus de place au sein des bâtiments de la mairie.

Geert Wilders : fermer les portes pour les réfugiés de Libye.

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Pays-Bas. Les réfugiés de Libye ne sont pas, selon le Président du PVV Geert Wilders, les bienvenus aux Pays-Bas. Il trouve que les Pays-Bas doivent fermer les portes pour les réfugiés de Libye et des autres pays arabes en crise, même si une guerre civile éclate. Ces réfugiés doivent être, selon lui, accueillis dans la région d’où ils proviennent.

Irlande : progression des nationalistes de gauche.

Irlande. Lors des élections législatives, les nationalistes de gauche du Sinn Féin obtiennent plus de 10% des voix. Ils triplent le nombre de leurs députés.

Le Criminologue français Xavier Raufer tient une conférence à Bruxelles.

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang de Bruxelles a invité le criminologue français Xavier Raufer a tenir une conférence sur le criminalité au sein du Parlement flamand. Voici un extrait de la conférence qui s'est tenue en français (le début est en néerlandais).


Pro NRW manifeste contre la visite du Premier ministre turc à Düsseldorf.

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Allemagne. Une centaine de membres du mouvement pro NRW ont protesté ce dimanche 27 février 2011 contre le discours du Premier ministre turc Erdogan en visite à Düsseldorf. Markus Beisicht, Patrik Brinkmann, Andreas Molau, Markus Wiener, Regina Wilden ont pris la parole.

Le mensonge de Dublin.

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Voici un communiqué de Martin Baltisser, le secrétaire général de l'UDC Suisse :  

Un drame se déroule actuellement en politique d'asile suisse. Alors qu'il n'est plus possible depuis quelques semaines de renvoyer des requérants d'asile en Grèce, cette situation semble se renouveler avec l'Italie où la Suisse ne peut reconduire qu'un très petit nombre de requérants - et cela bien que les demandes de ces personnes doivent être traitées dans le premier pays d'accueil conformément à l'accord de Dublin. Des représentants des cantons viennent de confirmer pour la première fois ce fait. Depuis quelque temps déjà des rumeurs concernant les difficultés d'application des règles de Schengen se font de plus en plus insistantes à la Berne fédérale. De toute évidence, le Conseil fédéral a volontairement refusé d'informer la population sur ces problèmes. Rien d'étonnant dans ces conditions de voir la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga et ses fonctionnaires chercher des locaux en Suisse pour recevoir l'éventuel afflux de personnes en provenance d'Afrique du nord. Et par la même occasion, ces milieux se font très discrets concernant l'application de l'accord de Dublin et le prétendu renvoi des requérants dans le pays du premier accueil.  

On se rappelle que l'accord de Dublin, parallèlement à celui de Schengen, avait été glorifié comme un important acquis pour la Suisse. En vertu de ce traité, il incombe au pays, par lequel le requérant est entré en Europe, de traiter la demande d'asile de celui-ci. Ainsi, la Suisse pourrait sans grande procédure renvoyer une foule de requérants vers d'autres pays et ainsi se décharger. C'est du moins ce qui avait été promis à l'époque pour appâter le bon peuple. Il s'avère aujourd'hui que ces promesses n'étaient que de l'air. Le 26 janvier 2011, l'Office fédéral des réfugiés a dû annoncer qu'en raison de la "situation insatisfaisante" en Grèce il ne serait plus possible d'appliquer la procédure de Schengen avec cet important pays d'accueil de requérants d'asile. Le 13 janvier 2011, ce même office avait encore affirmé triomphalement dans sa statistique d'asile 2010 que "la collaboration avec les Etats participant à l'accord de Dublin fonctionne bien". 

Et maintenant l'Italie 

Une débâcle semblable se déroule aujourd'hui en Italie, et cela juste à la veille d'importants afflux de réfugiés attendus d'Afrique du Nord. Ce weekend, des représentants ont dévoilé la vérité: aujourd'hui déjà, l'accord de Dublin "ne fonctionne pas correctement" avec l'Italie, a admis la présidente de la Conférence des directeurs cantonaux de justice et police. L'Italie ne reprend qu'un très petit nombre de personnes. Les vols spéciaux ne sont plus acceptés. Ainsi, l'accord de Dublin est pratiquement aboli pour le deuxième axe central emprunté par les requérants d'asile pour arriver en Suisse. Des rumeurs circulaient depuis plusieurs semaines déjà à la Berne fédérale concernant les problèmes rencontrés dans l'application du traité de Dublin. La vérité vient d'éclater au grand jour et il est évident que le Conseil fédéral en était informé depuis quelque temps déjà. Cependant, les principaux responsables ont sciemment retenu ces informations. Un authentique scandale. 

La conclusion à tirer de cette lamentable affaire est claire: la politique d'asile suisse de ces dernières années reposait sur des illusions. Des promesses excessives et intenables ont été faites au peuple suisse avant la votation sur les accords Schengen/Dublin. Le traité de Dublin n'a plus aucune valeur. Pour la Suisse, cela signifie tout simplement qu'elle doit mettre fin le plus rapidement possible à l'aventure Schengen et contrôler à nouveau elle-même ses frontières.

27/02/2011

Les démocrates suédois contre la poursuite des privatisations.

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Suède. Au Parlement, les Démocrates suédois soutiennent la proposition des sociaux-démocrates et des écologistes de stopper la politique de privatisation d’entreprises publiques.

Un conseiller municipal des Démocrates suédois exclu du syndicat des transports.

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Suède. Le Conseiller municipal de Vetlanda des Démocrates suédois Björn Fälth a été exclu du syndicat des transports. La raison invoquée par l’organisation est l’ncompatibilté entre le programme du parti et le syndicat. La direction du syndicat des transports a confirmé cette décision.

Le Parti des vrais finlandais présente son programme pour les prochaines élections législatives.

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Finlande. Le Parti des vrais finlandais a présenté son programme pour les prochaines élections législatives. Le parti prône l’augmentation des taxes pour les hauts revenus et sur l’alcool, s’oppose au fait que soit inscrit dans la Constitution finlandaise que la Finlande est membre de l’Union européenne car l’adhésion de la Finlande à l’Union européenne ne doit pas bénéficier d’une protection constitutionnelle. Le parti s’oppose également à l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne et demande des coupes dans les aides sociales pour les immigrants, ainsi qu’une coupe dans le budget de l’aide au développement, une réduction de la contribution finlandaise au budget de l’Union européenne, la fin des cours obligatoires de suédois au sein des écoles et la diminution de programmes télévisés en suédois sur les chaînes de télévision publiques (une partie de la population finlandaise est de langue suédoise). Le Parti des vrais finlandais est favorable à la poursuite du système de conscription et s’oppose à l’adhésion de la Finlande à l’OTAN. En matière d’immigration, le parti considère que les Finlandais doivent décider eux-mêmes sur quelles bases les étrangers peuvent être autorisés à visiter la Finlande et à y résider. Il s’oppose à toute immigration qui ignore les conditions de travail finlandaises ou qui aboutit au non-paiement de taxes. Les immigrés doivent accepter les lois et normes culturelles finlandaises. Ceux qui obtiennent un permis de séjour ne doivent pas recevoir d’aide sociale. Les quotas de réfugiés doivent être liés à la réalité économique : si des coupes doivent être faites dans les budgets et services publics, le quota de réfugiés doit être adapté.

Sondage : le Jobbik donné à 19%.

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Hongrie. Le Jobbik est donné à 19% dans un sondage.

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Fidesz = Parti conservateur

MSZP = Parti socialiste

Jobbik = Parti nationaliste

LMP = Parti écologiste et libéral

26/02/2011

Les Hongrois se souviennent des victimes du communisme.

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Hongrie. Le 25 février 1947, Béla Kovács, le Premier secrétaire du Parti des petits propriétaires était arrêté. Ce vendredi 25 février 2011, les Hongrois se sont souvenus des victimes du communisme. 500.000 hongrois en sont mort. 

Alors que le héros de la révolution de 1956 Levente Murányi est député du Jobbik, les héritiers des criminels communistes siègent au Parlement sous l’étiquette socialiste. 

Affiches Kadhafi : le MCG compte sur le sagesse du Conseil fédéral.

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Suisse. Le président du Mouvement des Citoyens Genevois (MCG) compte sur la sagesse du Conseil fédéral (le gouvernement) dans l'affaire des affiches : http://www.tdg.ch/actu/suisse/eric-stauffer-compte-sagess... 

Pro Deutschland honore la Prusse.

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Allemagne. Le mouvement pro Deutschland a, ce vendredi 25 février 2011, jour anniversaire de la dissolution officielle de l’État de Prusse, revendiqué le retour aux valeurs prussiennes. La réunion a eu lieu au cœur de l’Est de Berlin, sur Unter den Linden, une des avenues les plus célèbres de la ville, à côté du monument équestre de Frédéric le Grand. Les discours tenus par les orateurs ont été entendus par les membres et les partisans de pro Deutschland ainsi que par de nombreux passants. 

Patrik Brinkmann a déclaré : « En tant que résultat de la seconde guerre mondiale, la Prusse a été abolie par les Alliés. Déjà auparavant, le Prusse a été abolie par la politique des nationaux-socialistes. La Prusse est tolérance, discipline, mais aussi droiture de chaque individu. Tout cela a été immédiatement aboli. Et après la guerre, l’État de Prusse a été enterré. Mais, cher amis, je vous dis aujourd’hui : la Prusse vit. Nous ressentons tous cela ainsi. Et je sais que beaucoup de Berlinois et Berlinoises ressentent cela ainsi. La Prusse est plus qu’un État, la Prusse est une idée. » 

Et Patrik Brinkmann montre où un manque de vertu prussienne chez les responsables politiques conduit : « Nous avons un maire, dont le style de vie personnel décadent est le programme. Notre ville apparaît de la même manière : dégradée culturellement, sans but et sans idéal, endettée et régie par la violence. Qui s’étonne qu’avec un tel maire, la ville ait cette apparence ? » 

Lars Seidensticker a dénoncé l’expulsion des Allemands des zones orientales en 1944-45 et a décrit cette action en tant que crime contre l’humanité. Manfred Rouhs a déclaré que l’Allemagne n’est pas imaginable sans la Prusse. La réunion s’est terminée par le chant « Preußens Gloria ». Pour pro Deutschland, les valeurs prussiennes doivent être redécouvertes et adaptées au XXIème siècle. Pour citer Ernst Jünger : « Les anciennes valeurs ne sont plus valables, et les nouvelles ne sont pas encore là. »

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Devant la statue équestre de Frédéric le Grand.

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Patrik Brinkmann.

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Manfred Rouhs.

25/02/2011

Patriotes bulgares recalés à la frontière serbe.

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Bulgarie. Le dirigeant d’Ataka, Volen Siderov, a annoncé que des Bulgares voulant se rendre en Serbie afin de déposer des fleurs et rendre hommage au héros national bulgare Vassil Levski ont été recalés au poste frontière. Les autorités bulgares vont informer les instances européennes.

138ème anniversaire de la mort du héros national bulgare Vasil Levski.

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Bulgarie. Alors que des milliers de citoyens et de nombreuses personnalités de l’État assistaient à la commémoration officielle du 138ème anniversaire de la mort du héros national bulgare Vasil Levski, des membres d’Ataka ont chanté, juste après la fin de la cérémonie officielle, des slogans et le dirigeant du parti, Volen Siderov, a tenu un discours.

Le dirigeant de Svoboda dénonce l'incapacité du président ukrainien.

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Ukraine. Le dirigeant du parti Svoboda Oleh Tiahnybok estime que le Président ukrainien Viktor Yanukovych a démontré durant sa première année de service qu’il est incapable qu'il n’a pas été en mesure de réaliser ses promesses. Il représente une menace pour les intérêts nationaux de l’Ukraine tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.

Jan Slota rencontre des parlementaires roumains.

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Slovaquie. Jan Slota, le dirigeant du SNS (Slovaquie), a rencontré une délégation de parlementaires roumains ce 24 février 2011. Le dirigeant de la délégation roumaine et le dirigeant du SNS sont opposés au fait que la Hongrie accorde la citoyenneté hongroise aux Hongrois vivants dans les pays voisins.

Le président du FPK poursuivi.

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Autriche. Carinthie. Le Président du FPK et Ministre de Carinthie Uwe Scheuch est poursuivi par la justice autrichienne. Il est accusé d’avoir promis d’obtenir la nationalité autrichienne pour un investisseur russe, si ce dernier réalisait des investissements en Carinthie. 

Gianfranco Fini : "Berlusconi n’est pas l’Oint du Seigneur".

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« Fini : ‘Berlusconi n’est pas l’Oint du Seigneur’ » (Andrea Garibaldi, Corriere) : « Confronté à la crise de son nouveau parti, Fini accorde des entretiens à des médias centre gauche. Dans L’Espresso, il dit ‘se battre pour une autre idée du centre droit’, dans l’émission de Santoro, il confirme que ‘FLI est une force alternative à la gauche’ mais ajoute : ‘dès lors qu’apparaît la nécessité de réformer le pays, sur les règles, il faut un large consensus’. Fini veut les élections mais constate que ‘Berlusconi n’a aucune intention de rendre la parole au peuple souverain’. Deux interviews où il est très dur envers le président du Conseil. Rappelant l’accord entre lui et Berlusconi : ‘si on gagne les élections, tu vas au palais Chigi et moi à la Chambre’, il explique : ‘je démissionnerai donc le jour où lui démissionnera’. Très dur envers l’exécutif, Fini a tenté hier de remettre de l’ordre au sein de FLI. Il n’y a pas eu de nouvel exode de parlementaires mais on note l’éloignement officiel d’A. Campo, intellectuel qui l’a accompagné dès le début de sa prise de distance par rapport au PdL. Fini a rencontré Ronchi, son ancien porte parole et ami, qui reste à ses côtés à ce stade, et Urso, pressenti comme ‘coordinateur unique’ du 3e pôle FLI-UdC-ApI-MpA. Hier, Casini, Fini et Rutelli se sont vus pour décider de lancer des organismes de liaison, coordination et porte-parole, à la Chambre et au Sénat. ‘Aux prochaines élections locales, nous agirons au cas par cas’ dit Rutelli. Quant au groupe unique au Sénat, Casini préfère attendre que tout soit clarifié du côté de FLI. Une idée serait que deux groupes coexistent, l’un UdC, l’autre FLI-ApI, pour avoir plus de sièges à la conférence des présidents et dans les commissions. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Geert Wilders a déclaré que la démocratie en Égypte, Tunisie et Libye est incompatible avec l'islam.

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Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders a déclaré que la démocratie naissante en Égypte, Tunisie et Libye est seulement possible sans l’islam. Si les habitants de ces pays restent musulmans, selon Geert Wilders, la démocratie est impossible.

Suisse : les autorités capitulent-elles déjà devant un possible afflux de personnes d'Afrique du Nord?

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

Le "Comité d'experts Procédure d'asile et hébergement" de la Confédération et des cantons s'est réuni aujourd'hui pour discuter de l'hébergement de personnes en provenance d'Afrique du Nord. On a parlé dans ce contexte d'une "possible augmentation du nombre de demandes d'asile". L'UDC ne peut que s'étonner de la manière dont les autorités fixent les priorités. Ce possible afflux de personnes d'Afrique du Nord est essentiellement composé de jeunes hommes qui cherchent de meilleures conditions de vie en Europe. Ces personne ne peuvent avancer aucun motif valable pour obtenir l'asile et doivent donc retourner le plus vite possible dans leur pays qui a besoin d'eux. Si les accords Schengen/Dublin fonctionnaient, ces personnes seraient de toute manière arrêtées aux frontières extérieures de l'espace Schengen. Pour empêcher néanmoins des passages clandestins par ses frontières, la Suisse doit préparer un arrêté fédéral urgent afin que l'armée puisse en cas de besoin soutenir le Corps des gardes-frontière. La Suisse doit en plus réintroduire les contrôles aux frontières puisqu'il s'agit d'une situation extraordinaire. 

Il est important que les personnes arrivant éventuellement d'Afrique du Nord soient arrêtées déjà aux frontières suisses. Ainsi, elles peuvent, conformément à l'accord de Dublin, être renvoyées dans le pays où elles ont pour la première fois foulé le sol européen. La Suisse ne serait alors pas contrainte de se charger de longues procédures d'asile sans aucune chance de succès pendant lesquelles les personnes qui n'ont aucun motif d'asile s'installent dans le pays. 

Il faut par tous les moyens empêcher des passages clandestins aux frontières. A cet effet, la Suisse doit mettre en place un réseau de contrôle serré. Il s'agit donc de préparer un arrêté fédéral urgent pour permettre à l'armée de soutenir le Corps des gardes-frontière pendant une durée limitée. La Suisse doit de plus utiliser la possibilité prévue dans l'accord de Schengen de réintroduire les contrôles frontaliers dans une situation extraordinaire. 

L'UDC déposera durant la session de printemps à venir des interventions parlementaires sur tous ces points et elle exigera aussi un débat urgent au Parlement. 

24/02/2011

Le FPÖ de Vienne veut rendre l’allemand obligatoire au sein des habitations sociales.

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Autriche. Le FPÖ de Vienne veut rendre l’allemand obligatoire au sein des habitations sociales de la ville. Seules les personnes qui parlent suffisamment cette langue recevront ce type de logement. Une proposition en ce sens sera faite ce vendredi 25 février 2011 au sein du Conseil municipal de Vienne. Selon le Chef de groupe du FPÖ au sein du Conseil municipal de Vienne Johann Gudenus, la raison principale de nombreux conflits au sein des habitations sociales est le manque de connaissance de la langue allemande de la part d’une partie des résidents.

Nigel Farage demande que Hermann Van Rompuy présente ses excuses pour avoir rencontré le Colonel Kadhafi.

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Royaume-Uni. Le Député européen de l’UKIP Nigel Farage a demandé que le Président du Conseil de l’Europe Hermann Van Rompuy présente ses excuses pour avoir rencontré le Colonel Kadhafi et lui avoir serré la main.

Le PVV s'oppose au plan du ministre CDA à propos des demandeurs d'asile.

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Pays-Bas. Le Président du PVV Geert Wilders s’oppose au plan du Ministre CDA (chrétien-démocrate) de l’immigration et de l’asile Gerd Leers ayant pour objet de laisser dans certains cas les maires décider si un demandeur d’asile est autorisé à rester. Il a déclaré que c’est une très mauvaise idée car les maires vont aller dans le sens des demandeurs d’asile. Le Député du PVV Sietse Fritsma ajoute que les maires n’ont pas une vue d’ensemble des dossiers et qu’ils vont se retrouver sous la pression des écoles, mosquées et églises afin d’autoriser des demandeurs d’asile à rester. 

Italie. La majorité "aidée" par la situation en Libye : Bossi dit ce que les autres pensent.

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« La majorité ‘aidée’ par la situation en Libye : Bossi dit ce que les autres pensent » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Umberto Bossi dit tout haut ce que les autres pensent tout bas : ‘le risque immigration aide Berlusconi et nous aide’, a-t-il affirmé au moment où la ligne officielle du gouvernement consiste à mettre en exergue le danger, réel du reste, de l’arrivée de clandestins en provenance de Libye. Bossi sait à quel point le thème inquiète l’électorat léghiste, il n’a pas perdu de temps pour exploiter le filon, ni Berlusconi. Le président du Conseil a exprimé clairement une crainte commune à bien des pays occidentaux – qui ne le disent pas de façon aussi explicite – en évoquant le risque intégriste pour l’après-Kadhafi. Beaucoup préfèrent se taire, en effet, pour éviter de paraître offrir un quelconque soutien à un régime qui est en train de mener une répression féroce. Sur un autre point, bien des gens doutent que l’Italie, pendant toutes ces années, ait su bâtir une relation avec des figures libyennes en dehors de la famille Kadhafi. Au sein de la communauté internationale, on tentera sans doute d’imputer à l’Italie sa longue proximité avec Kadhafi : ce sera un test capital pour la politique étrangère italienne et comme tel, il faudrait pour y faire face un élan de cohésion nationale. Cela vaut pour le moyen terme. A court terme, il y a le malaise croissant au sein de la Ligue qui a du mal à se positionner, entre sa loyauté envers Berlusconi et la nervosité de sa base. Voilà pourquoi Bossi voit dans le drame libyen une diversion utile. Presque un ‘reconstituant’ politique. Et le vieux chef de la Ligue l’admet, sans l’hypocrisie qui est de mise en pareil cas. »

 « Le printemps de guerre du président du Conseil sur la justice » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Un printemps de feu se prépare sur le thème de la justice. Non seulement Berlusconi va se trouver, en cinq semaines, au centre de 5 procès, mais en outre, dans cette même période, les affrontements vont reprendre entre gouvernement et opposition, entre juges et gouvernement, et sans doute, entre Palais Chigi et Quirinal – dans la mesure où le Président de la République est aussi le chef de la magistrature, selon la Constitution. Après deux semaines d’intense agitation et de débats très vifs, à la suite du renvoi en jugement du Cavaliere dans l’affaire Ruby, la montagne berlusconienne a accouché de la souris du procès court : le projet de loi, adopté au Sénat, a ensuite été abandonné à la Chambre pour éviter trop de polémiques, le Cavaliere se contentant alors de l’empêchement légitime pour se protéger de ses problèmes judiciaires. Maintenant, au contraire, étant donnés l’atteinte portée par la Cour constitutionnelle à cette protection et la pression procédurale accrue venant des juges, Berlusconi a décidé d’aller à la guerre comme à la guerre ! La réforme mise à l’ordre du jour pour le 28 mars devrait lui assurer la prescription de tous les procès en cours, sauf celui du 6 avril sur le Rubygate (mais, même là, il ne serait pas étonnant que Berlusconi décide de revenir à la charge sur les écoutes, pilier de l’enquête). Ce coup d’accélérateur de Berlusconi, sûr d’avoir une majorité suffisante pour aller au combat, anéantit tout espoir résiduel d’accord avec tel ou tel secteur de l’opposition à propos de justice. Toute tentative d’élargir les marges politiques de dialogue et de négociation a été balayée par la décision de Berlusconi de repartir à l’attaque. » 

« Berlusconi : un président du Conseil sans pouvoir, impossible de gouverner ainsi » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) : « Berlusconi le redit : ‘je continue, les élections n’ont pas d’utilité, rien ne changerait’. Ce mercredi, il déclare : ‘notre système institutionnel ne donne au gouvernement que l’image du pouvoir : Le gouvernement ne peut pas adopter de décrets sans la signature du chef de l’Etat. Tout décret sortant du conseil des ministres comme un pur-sang se change ensuite en hippopotame.’ C’est encore pire pour les lois, où il faut ‘l’aval du président, puis celui des deux chambres, avec des délais très longs et plein d’amendements. Comme chef d’entreprise j’avais un vrai pouvoir ! Si on ne réforme pas les institutions, il n’y a aucun espoir’ – fédéralisme en tête. Bossi, lui, souligne que les élections sont peu probables, le risque ‘immigration’ tendant à ‘aider Berlusconi et la Ligue’. Après le coup d’arrêt donné par le Quirinal au texte du décret milleproroghe (visant à faire passer les décrets 2010 en retard) à cause de ses graves irrégularités, le conseil des ministres a décidé de demander la confiance à la Chambre et au Sénat sur le texte dûment modifié. Hier, Tremonti a expliqué les changements à Napolitano, puis aux chefs des groupes majoritaires à la Chambre. Cependant, la trêve entre Tremonti et Berlusconi serait déjà finie : Berlusconi désigne à nouveau le super-ministre comme le ‘vrai responsable du cafouillage’ sur ce texte. En effet, les corrections sont assorties de nouvelles coupes, lourdes, qui mécontentent divers parlementaires de la majorité et inspirent des soupçons à Berlusconi : ‘Giulio rame à contre-courant’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).