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24/02/2025

Éric Zemmour invité par le MCC en Hongrie.

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Hongrie et France. Éric Zemmour de Reconquête est invité en Hongrie par le MCC, une structure proche du Fidesz, le parti du Premier ministre Viktor Orbán, afin d'y prendre part à une conférence.

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"L’Europe à l’ère de Trump. Soumission ou reconquête ? Après le tsunami Trump, l’Europe est-elle devenue obsolète ?"

"Temps pour la responsabilité."

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Allemagne.

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"Temps pour la responsabilité ! Temps pour l'Allemagne."

L'institut de sondage Forsa estime que ses sondages ne sont pas sûrs.

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Allemagne. Mis en cause par le parti de gauche anti-immigration BSW pour un sondage plaçant ce dernier, deux jours avant les élections, à 3 %, l'institut Forsa indique que ses sondages ne sont pas sûrs et réfute l'accusation d'avoir conduit une action ciblée contre le BSW.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/02/24/les...)

Les scores de l'AfD dans les États de l'Ouest et de l'Est de l'Allemagne.

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Allemagne. Les résultats lors des élections législatives de ce 23 février 2025 dans les États de l'Ouest et dans ceux l'Est de l'Allemagne :

Ouest :

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Sarre, Rhénanie-Palatinat, Bade-Wurtemberg, Bavière, Basse-Saxe, Hesse, Rhénanie du Nord-Westphalie, Schleswig-Holstein, Berlin, Brême, Hambourg

Est :

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Thuringe, Saxe, Saxe-Anhalt, Mecklembourg-Poméranie occidentale, Brandebourg

Les patriotes de l'AfD doublent leur score lors des élections législatives en obtenant plus de 20 %.

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Allemagne. Lors des élections législatives du 23 février 2025, le parti patriotique AfD double son score et atteint 20,8 % et le parti de gauche anti-immigration BSW rate de peu le seuil électoral des 5 % en obtenant 4,972 %. Les sociaux-chrétiens bavarois /conservateurs de la CSU obtiennent 6 % au niveau fédéral, alors qu'ils ne se sont présentés qu'en Bavière. Les nationaux-conservateurs du Bündnis Deutschland décrochent 0,2 % et ceux de la WerteUnion 0,0 %.

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(https://www.bundeswahlleiterin.de/bundestagswahlen/2025/e...)

Lionel Baland commente les élections législatives allemandes dans Ligne droite sur Radio Courtoisie.

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Allemagne. 


"Allemagne, Merz gagne, l'AfD s'envole."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour sont consacrées aux élections en Allemagne « Merz gagne, l'ultra droite double ses votes » (Corriere della Sera), « La CDU gagne, l'ultra droite s'envole » (Repubblica), « Allemagne, Merz gagne, l'AfD s'envole » (Stampa, Messaggero), à l'état de santé du Pape « L'état de santé du Pape reste grave: maintenant il a une légère insuffisance rénale » (Corriere della Sera), « Son état reste critique, insuffisance rénale » (Repubblica), « Le Pape: « je dois me reposer », mais maintenant ses reins sont atteints » (Messaggero) et à l'Ukraine « Agneau sacrificiel » (Stampa), « Zelensky: « je démissionnerai si l'Ukraine entre dans l'OTAN » » (Messaggero).

Elections en Allemagne/Réactions en Italie. Corriere della Sera: « En Italie, les premiers à réagir aux élections allemandes ont été les « amis des vainqueurs : populistes et souverainistes ». Dans la majorité, Matteo Salvini (Lega) salue la progression de l’AfD – pourtant exclu du groupe des Patriotes – et défend un virage anti-immigration et anti-écologiste. Une posture très distincte de celle de l’autre vice-président, Antonio Tajani (Forza Italia), qui considère en revanche la victoire de Friedrich Merz comme un rempart contre le populisme et un pas vers une Europe plus intégrée « politiquement, économiquement et militairement ». Fratelli d’Italia (Carlo Fidanza) se limite à critiquer une possible alliance de la CDU/CSU avec le SPD, dont « l'échec a causé un préjudice considérable aux politiques européennes ». Depuis l’opposition, l’ancien Président italien Matteo Renzi (Italia Viva) tacle Meloni : « Le futur chancelier ira d’abord à Paris et à Varsovie, pas à Rome », et appelle à soutenir Merz « plutôt que la droite de Musk et de Salvini, qui obtient un score extraordinaire mais ne gouverne pas ». Azione (Ruffino) y voit une stratégie contre souverainistes et populistes. M5S et AVS sont plus prudents : Baldino (M5S) met en garde contre l’exploitation des peurs par les conservateurs, Fratoianni (AVS) alerte sur la montée de l’extrême droite mais salue le score « extraordinaire » de la gauche de Die Linke, notamment chez les jeunes. » – Corriere della Sera : « Nicola Procaccini (Frères d’Italie) co-président des Conservateurs européens : « l’alliance CDU-AfD serait paradoxalement la plus compatible, mais elle est compliquée. Je suis personnellement contre toute sorte de « cordon sanitaire ». Frères d’Italie a plusieurs points de divergence avec AfD sauf sur deux thématiques sensibles : la révision des politiques green et l’immigration, outre la sécurité après les récentes attaques terroristes. Félicitations donc à la CDU qui est maintenant sur des positions plus à droite. Une possible alliance avec la SPD m’inquièterait car cela n’assurerait pas de stabilité pour l’Allemagne »

L’Ukraine et le G7. La Repubblica : « Giorgia Meloni participera finalement au G7 sur le conflit [russo-ukrainien], les négociations sont en cours sur la déclaration finale’’. ‘’Hier encore il n’y avait pas de feu vert définitif’’. ‘’On sait que le passage sur la responsabilité du conflit et de l’ ‘’agression russe’’ pose problème, Washington voulant le supprimer alors que Giorgia Meloni veut le maintenir, utilisant elle-même cette expression lors de la CPAC samedi’’. ‘’L’autre expression envisagée, d’après des sources italiennes, serait celle d’un conflit déclenché sur ‘initiative russe’, expression que Rome pourrait accepter si les Etats-Unis ne cédaient pas, l’important étant de souligner l’origine de la guerre et l’engagement à ‘trouver une solution diplomatique’. A l’ONU, l’Italie votera aussi bien en faveur de la résolution de Kiev qui pointe la responsabilité russe, que de celle de Washington, appréciée de la Russie, insistant uniquement sur la fin des hostilités’’. ‘’Ursula von der Leyen a rappelé le ‘soutien indéfectible’ à l’Ukraine après avoir échangé avec Keir Starmer et Emmanuel Macron. Giorgia Meloni, qui a échangé hier soir avec la Présidence de la République et le ministre des Affaires étrangères A. Tajani rappellera tout de même l’exigence d’une ‘paix juste’ et sa solidarité vis-à-vis de ‘l’héroïque résistance ukrainienne’. Il est aussi probable qu’elle intervienne en faveur de Trump auprès de ses partenaires, comme lors de la CPAC. Des sources proches du gouvernement n’excluent pas un entretien téléphonique de la Présidente du Conseil avec V. Zelensly. En revanche, l’Italie ne soutiendra pas publiquement les dernières déclarations du président ukrainien sur une possible démission pour permettre l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Des alternatives sont à l’étude concernant l’adhésion de Kiev à l’UE. »

La guerre en Ukraine et les ItaliensFatto Quotidiano : « Sondage Difebarometro (Archivio Disarmo & Demetra) : À l'occasion du troisième anniversaire de la guerre en Ukraine, le sondage révèle que la paix « reste une priorité pour les Italiens ». Une majorité (54% contre 39%) s’oppose à l’envoi de matériel militaire à Kiev, tandis que 83% soutiennent un cessez-le-feu total « sans conditions particulières ». 70% estiment cependant que la souveraineté ukrainienne doit être préservée dans tout accord. Les avis sont partagés sur les termes de la paix : 39% souhaitent la restitution de la Crimée et du Donbass, 33% plaident pour un accord impliquant l’abandon de ces territoires, et 21% privilégient la récupération du Donbass uniquement. L’adhésion de l’Ukraine à l’UE et à l’OTAN divise également : 50% prônent la neutralité avec des « garanties de sécurité internationale », 29% soutiennent une double adhésion, 19% à l’UE seule. Enfin, les Italiens paraissent compacts – 66% contre 22% – dans le rejet de l’augmentation des dépenses militaires à 2% du PIB ». – Repubblica : « Sondage Demos & Pi : En vingt ans, le soutien au renforcement des pouvoirs de l’UE a reculé : 44% favorables à un rôle accru en justice (contre 61% en 2004), 43% pour la défense et la politique étrangère (contre 54%) et 46% pour l’immigration (contre 53%). En parallèle, les opinions favorables à une réduction ou un maintien des prérogatives européennes actuelles ont gagné respectivement 10 et 3-4 points. L’adhésion à une Europe plus puissante reste plus marquée chez les moins de 30 ans, les plus de 55 ans et les personnes ayant un niveau d’éducation moyen-élevé. Sur le plan politique, les sympathisants du centre-gauche soutiennent majoritairement un renforcement de l’UE, tandis que ceux du M5S sont plus réservés, notamment sur la défense et la politique étrangère (43% favorables), compliquant le projet d’un « campo largo ». Le centre-droit est plus sceptique vis-à -vis du projet “pro-européen”, bien qu’il soutienne une Europe de la défense plus forte, avec les sympathisants de la Lega parmi les plus opposés.  Une tendance confirmée par le Rapport annuel « Les Italiens et l'État» de LaPolis, Demos et Avviso Pubblico, selon lequel la confiance des Italiens dans l’UE aurait chuté à 32%, un niveau inférieur à celui des institutions nationales et locales. »

La visite du Président E. Macron à Washington. Il Messaggero : « Macron et Starmer, en mission chez Trump, sont prêts à déployer 30000 soldats de l’UE. » 

Accord commercial avec l’Union des Emirates Arabes. Il Messaggero : « Pacte entre l’Italie et les Émirats. Investissements pour 40 milliards d’euros, de l’énergie à la défense dans le cadre du Corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe (IMEC). »

Corriere della Sera, Manfred Weber, président du PPE « La majorité des Allemands a voté pour une Union Européenne forte et les partis soutenant l’UE sont prépondérants. F. Merz a reçu un mandat très clair, c’est lui le vainqueur, il portera au sein de la Chancellerie la coopération et l’esprit européen. Nous avons une grande tâche : freiner l’immigration clandestine. Il faut créer un gouvernement rapidement, le reste du monde, et notamment Trump, n’attendront pas des négociations de coalition interminables. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Tino Chrupalla obtient 48,9 % dans sa circonscription située dans la partie la plus orientale de l'Allemagne.

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Allemagne. Le coprésident du parti patriotique AfD Tino Chrupalla obtient 48,9 % dans sa circonscription située dans la partie la plus orientale de l'Allemagne et est élu en tant que candidat direct à la Chambre des députés. Dans sa municipalité, il décroche 63,8 %.

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(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/bundestags...)

23/02/2025

22 % des hommes et 17 % des femmes ont voté pour les patriotes de l'AfD.

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Allemagne. 

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hommes

femmes

Les patriotes de l'AfD obtiennent 37 % chez les ouvriers.

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Allemagne. Les patriotes de l'AfD obtiennent 37 % chez les ouvriers, 33 % chez les chômeurs et seulement 12 % chez les retraités [contre 20 % parmi le total de l'électorat].

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Tous

 

ouvriers

employés

indépendants

retraités

chômeurs

Allemagne : les plus jeunes ont privilégié les post-communistes.

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Allemagne. Résultats des élections législatives chez les primo-électeurs (ceux qui ont été autorisés à voter pour la première fois) :

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Die Linke : post-communistes

AfD : patriotes

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

BSW : gauche anti-immigration

Autriche : les partis du système tentent, à nouveau, de former un gouvernement.

Autriche. Des négociations ont débuté entre les sociaux-chrétiens/conservateurs de l’ÖVP, les sociaux-démocrates du SPÖ et les libéraux de NEOS afin de tenter de former un gouvernement.

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/02/12/les...)

22/02/2025

"Temps pour l'énergie à prix favorable."

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Allemagne.

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"Temps pour l'énergie à prix favorable. Temps pour l'Allemagne."

"L'argent public pour la formation plutôt que pour des bombes !"

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Allemagne.

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"Voix pour la paix. L'argent public pour la formation plutôt que pour des bombes !"

Kostadin Kostadinov : « Des millions d’Européens regardent, plein d’espoir, vers l’Alternative pour l’Allemagne et attendent d’elle qu’elle combatte pour l’avenir. »

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Allemagne et Bulgarie. Le dirigeant du parti nationaliste bulgare Vazrazhdane Kostadin Kostadinov déclare : « Des millions d’Européens regardent, plein d’espoir, vers l’Alternative pour l’Allemagne et attendent d’elle qu’elle combatte pour l’avenir. »

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Kostadin Kostadinov

Les patriotes de l'AfD sont donnés à 21 % et la gauche anti-immigration BSW à 5 %.

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Allemagne. Sondage pour les élections législatives de demain : les patriotes de l'AfD sont donnés à 21 % et la gauche anti-immigration BSW à 5 %. [seuil électoral : 5 % ou 3 mandats directs]

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD : patriotes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

Sonstige : autres

"Stop à la migration illégale grâce à des contrôles frontaliers et à des refoulements conséquents."

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Allemagne.

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"Stop à la migration illégale grâce à des contrôles frontaliers et à des refoulements conséquents."

"Temps pour une armée forte."

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Allemagne.

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"Temps pour une armée forte."

21/02/2025

Le FPÖ donné à 34 %.

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Autriche.

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FPÖ : patriotes

ÖVP : sociaux-chrétiens / conservateurs

SPÖ : sociaux-démocrates

NEOS : libéraux

Grüne : écologistes

KPÖ : communistes

autres

Manifestation de gauche dans le village d'Alice Weidel.

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Suisse. Canton de Schwyz. La police a approuvé la manifestation « Contre le virage à droite » de ce 22 février 2025 à Einsiedeln, le lieu où vit la candidate du parti patriotique allemand AfD à la Chancellerie Alice Weidel, mais pas la contre-manifestation de l'organisation patriotique suisse Mass-voll!.

"Notre plan : économiser chez les migrants plutôt que chez les retraités !"

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Autriche.

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"Notre plan : économiser chez les migrants plutôt que chez les retraités !"

"Temps que notre pays fonctionne à nouveau."

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Allemagne.

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"Temps que notre pays fonctionne à nouveau. Temps pour l'Allemagne."

"Delmastro condamné." ; "Il restera en poste."

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Italie. Revue de presse.

Les quotidiens partagent leurs Unes entre la condamnation du secrétaire d’Etat à la Justice Andrea Delmastro (Frères d’Italie) à 8 mois de réclusion avec sursis « Delmastro condamné » (La Repubblica), « Meloni se dit déconcertée », (La Stampa), « « Il restera en poste », dit Meloni » (Corriere della Sera, Messaggero), et les deux grands sujets de politique internationale avec l’Ukraine « L’axe Trump-Poutine se renforce » Corriere della Sera, « Trump met Kiev dos au mur » (La Stampa), « La paix de Trump déchire le gouvernement et l’opposition » (Il Fatto quotidiano) et le Proche-Orient avec la restitution des corps d’otages israéliens « Hamas, un show macabre avec les cercueils en direct à la télévision » (Corriere della Sera), « La honte du Hamas sur les cercueils de la famille Bibas » (Repubblica),  « Hamas Horror Show » (La Stampa).

Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens l’état de santé du Pape François et les faits divers.

Le « coup de froid » entre l’Amérique et l’UkraineMessaggero : « Washington opère un tournant diplomatique. Les États-Unis ont refusé d’être co-auteurs d’un projet de résolution de l’ONU marquant le troisième anniversaire de la guerre, soutenu par une cinquantaine de pays. De plus, Selon des sources diplomatiques, ils ne signeront pas les résolutions de l’ONU et du G7 qui qualifient la Russie d’"agresseur » – La Repubblica « la déchirure de Washington. L’impression est que, dans le but de porter Poutine à la table des négociations, la Maison Blanche est déjà en train de concéder un peu trop à la Russie ». – La Stampa « Trump met Zelensky au pied du mur. La rencontre entre Kellog et Zelensky n’aboutit à rien et la conférence de presse est annulée ». – Foglio « Trump isole de plus en plus l’Ukraine et l’Europe a dû mal à accepter une Amérique hostile » – Domani « les terres rares et les pactes avec Poutine, les vrais objectifs de Trump en Ukraine : il veut un général à la place de Zelensky, Valery Zaluzhny, ancien chef des forces armées ukrainiens » – Stampa « Trump crée le chaos et la confusion avec pour objectif une rapide conclusion du conflit russo-ukrainien pour se concentrer sur le vrai rival : la Chine »

La réponse européenne. – Corriere « Le plan franco-britannique prévoit le déploiement d’environ 30 000 soldats mais loin de la frontière. Le plan repose sur une condition préalable : qu’il y ait un filet de sécurité américain sous forme de couverture aérienne. C’est toutefois un engagement qui n’est pas acquis, et c’est pour cela que Macron puis Starmer se rendront à Washington afin d’obtenir le feu vert de Trump. Il ne s’agirait pas d’une force d’interposition mais d’un contingent en défense des sites cruciaux ukrainiens : les villes, les ports et les centrales ». – Stampa : « Nous assistons à une Europe à la merci de la loi du plus fort et qui semble encré à un monde qui n’existe plus. Comme l’objectif d’une « paix juste », principe noble mais qui risque de se réduire à un slogan vide puisque le droit international semble tragiquement impuissant » - Domani « Le cyclone Trump s’abat sur Kiev. L’Union Européenne est encore sous le choc mais Macron et Starmer gardent les canaux ouverts avec Washington ».

La position du gouvernement italien. – Corriere della Sera « L’équilibre difficile de Meloni entre Trump et Zelensky » : « Pour rompre le silence gêné qui durait depuis des jours et qui avait suscité de nombreuses discussions, Giorgia Meloni a choisi la voie la plus discrète possible : le communiqué avec lequel elle rend publique son échange avec Trudeau, deux lignes bien mesurées soulignant la tentative de rappeler le soutien à l’Ukraine sans toutefois courir le risque de décevoir ou d’irriter le locataire de la Maison Blanche. Ce n’est pas un hasard si le nom de Zelensky n’y figure pas. L’Italie reste aux côtés de l’Ukraine mais le ton est bien plus prudent et moins passionné. Car la tentative est de garder un équilibre, de plus en plus difficile, entre l’amitié avec Zelensky et le rapport privilégié avec Trump » – Messaggero : « Meloni, éclipsée par Macron, prépare son plaidoyer pro-OTAN pour la CPAC, sans évoquer directement la guerre en Ukraine. Elle n’assistera pas à la visioconférence du G7 pour le troisième anniversaire du conflit mais, en échange avec Trudeau, elle réaffirme son soutien à Kiev ». – Corriere « Emmanuel Macron, qui à ce stade est plus un adversaire qu'un allié pour Meloni, atterrira à Washington lundi. La présidente du Conseil, convaincue que « l'Europe doit donner une idée d'unité », estime également que « cela n'aurait pas de sens de faire la course à celui qui arrivera le premier à la Maison Blanche ». C’est la raison pour laquelle elle participera au meeting du Cpac juste en visioconférence, demain à 19h, avant la prise de parole de Trump ». – Repubblica « Le coup le plus dur reste toutefois la visite imminente d'Emmanuel Macron à Washington. Un « dépassement » qui a laissé des traces, notamment parce que le Français brûle tout le monde sur la vitesse. Meloni, de son côté, continue de garder son équilibre. Elle ne participera pas au G7 pour des raisons d’agenda, fait-elle savoir à Trudeau. Des sources gouvernementales affirment que l'Italie a tenté de demander le report du sommet de quelques heures, sans succès. ». – Stampa « ’Giorgia Meloni participera finalement à la Conservatrice political action conference’’ aux cotés de Milei, Farage, Vox, Bardella… Il est probable que Giorgia Meloni exprime officiellement ses réserves quant au sommet de Paris sur l’Ukraine à cette occasion. En revanche, elle ne participera pas aux prochaines réunions ou initiatives européennes sur l’Ukraine »

La France. Corriere della sera : « Macron répond en direct sur les réseaux sociaux « nous sommes en guerre » : « Macron s'est exprimé clairement, désireux d'expliquer aux Français que « nous sommes en guerre, d'une certaine manière », comme nous l'étions en 2020 contre le Covid. Cette fois, la menace est la Russie, « une puissance militaire dangereuse et impérialiste » Macron a expliqué que nous entrions dans une nouvelle ère, sans le « parapluie » de protection américain et que l’Europe doit par conséquent augmenter sensiblement ses dépenses militaires par le biais de la dette commune. Macron se rendra chez Trump pour lui dire de ne pas se montrer faible devant Poutine alors qu’il devra affronter la Chine ; Le président a aussi insisté sur l’importance de la dissuasion nucléaire française qui défend les intérêts vitaux » – Sole 24 Ore « Hier le président Macron a réussi à obtenir un accord de principe de la part des partis politiques – à l’exception de l’embarras du RN, dont le président Bardella est à Washington pour le meeting des conservateurs – pour un plein soutien à l’Ukraine. Il a parlé aussi de « non alignement » entre la Russie et les Etats-Unis. – La Stampa « C’est depuis lundi que le président Macron est en train de travailler pour favoriser une coordination européenne. Enfin hier, il a décidé de se s’adresser directement aux citoyens européens lors d’une discussion en direct sur les réseaux sociaux. Il l’a fait pendant plus d’une heure, en répondant aux questions sur la situation actuelle. La thématique la plus sensible a été l’envoi de troupes françaises en Ukraine. Le président français a confirmé que la France veut participer à une mission de paix qui soit de dissuasion, afin d’éviter les erreurs commises avec les accords de Minsk après la première invasion de 2014 »

Affaire CospitoMessaggero : « le secrétaire d’Etat à la justice A. Delmastro a été condamné en premier degrés de jugement à huit mois de prison pour divulgation d’informations sous secret professionnel à Donzelli Giovanni (Frères d’Italie), député Frères d’Italie. La peine est suspendue, et le secrétaire d’Etat reste en poste. Pour Meloni, "le verdict est déconcertant". Le ministre de la Justice Nordio (Frères d'Italie) le défend : "Nous continuerons à travailler ensemble". Le gouvernement estime que le procès est une "farce", mené par des magistrats issus du courant "Magistratura Democratica", réputé hostile aux réformes gouvernementales. L’opposition, dénonçant des "propos subversifs", exige sa démission. Contrairement à Delmastro, Santanchè est en position plus fragile : Meloni aurait confié en privé que son cas est d’une "nature différente" ». – Foglio « C’est la première vraie crise de Meloni: l’affaire Delmastro représente le dernier faux pas. De l'affaire Almasri aux services secrets, de Santanché (Frères d'Italie) à la guerre contre les magistrats jusqu'à son plus gros problème : Trump. La présidente du Conseil se sent prise d'assaut. Chronique d'une forteresse assiégée »

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Andrea Delmastro et Giorgia Meloni

Il Messaggero, Matteo Renzi, dirigeant d’Italia Viva et ancien président du Conseil : « nous aurons affaire à Trump pendant les quatre prochaines années. Si l’Europe n’accepte pas cela et ne se réveille pas, elle est condamnée. Si nous nous n’unissons pas, nous serons balayés. Il faut un pacte entre l’Allemagne, la France et l’Italie : créer un noyau européen restreint en mesure de rester uni face aux défis majeurs. Il faut un patriotisme européen et être en mesure de s'asseoir à la table avec tout le monde, à commencer avec les Américains. Meloni se retrouve dans une impasse. En politique internationale, maintenant que Trump est arrivé, elle se retrouve entre l'enclume et le marteau. Meloni navigue à vue. »

Il Messaggero, Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue et vice-président du Conseil : « Trump fait une grande chose en amenant la Russie et l'Ukraine à la table des négociations pour la première fois. Mme Von der Leyen, quant à elle, ne semble pas avoir résolu grand-chose ces dernières années. Ira-t-elle à Kiev ? Qu'elle aille où elle veut. Je suis convaincu que Trump réussira à apporter la paix, ce que ni Biden ni l'UE avec von der Leyen n'ont fait ces dernières années ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

20/02/2025

"Après les élections : 700 milliards pour l'Ukraine ! Et pour nos retraites ?"

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Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW appelle à un référendum sur le soutien allemand à l'Ukraine. Il est apparu que les Occidentaux désirent mettre en place un important programme de financement de l’Ukraine. La candidate du BSW à la Chancellerie Sahra Wagenknecht déclare : «  « 700 milliards pour l’armement de l’Ukraine et le déploiement de troupes de la Bundeswehr ?  Nous exigeons un référendum sur la politique allemande à l’égard de l’Ukraine. »

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"Après les élections : 700 milliards pour l'Ukraine ! Et pour nos retraites ?"

Le FPÖ désire soumettre une motion demandant l’organisation d’élections législatives anticipées.

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Autriche. Le FPÖ désire soumettre une motion demandant l’organisation d’élections législatives anticipées.