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14/06/2022

Reportage de Lionel Baland sur la conférence de présentation de l'ouvrage Le Grand Remplacement de Filip Dewinter du Vlaams Belang.

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Belgique (Flandre). Conférence de présentation de l'ouvrage en néerlandais Le Grand Remplacement de Filip Dewinter du Vlaams Belang :

https://eurolibertes.com/politique/filip-dewinter-denonce...

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Filip Dewinter

Municipales en Saxe : résultats des candidats de Freie Sachsen.

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Allemagne. Saxe. Lors des élections municipales en Saxe, le parti Freie Sachsen (Saxe libre) – une formation située entre le nationalisme et le nationalisme radical, donc plus radicale que l’AfD – a obtenu les résultats suivants :

à Dohna, Ulrike Böhlke de Freie Sachsen obtient 30,1 % lors des municipales. Son concurrent est élu au premier tour.

(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/kommunalwa...)

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"Et votre raison pour la protection de la patrie ? Le 12 juin 2022. Voter Ulrike Böhle."

à Strehla an der Elbe, à côté du candidat de l‘AfD Uta Heine, qui obtient 3,3 %, un autre candidat patriote s’est présenté sous l’étiquette de Freie Sachsen : le journaliste et rédacteur en chef de Deutsche Stimme Peter Schreiber qui décroche 9,7 %.

(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/kommunalwa...)

à Niederfrohna, Frank Neufert, de Freie Sachsen est troisième avec 8,1 %.

(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/kommunalwa...)

Les cadres du parti proviennent de la mouvance patriotique, nationaliste et ultranationaliste.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/06/13/sax...)

"Plusieurs victoires du centre droit et notamment de Fratelli d'Italia au détriment de la Ligue."

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Italie. Revue de presse. 

Les résultats du premier tour des élections municipales, qui se démarquent par plusieurs victoires du centre droit et notamment de Fratelli d'Italia au détriment de la Ligue font les gros titres des quotidiens italiens. Les commentaires mettent également en exergue les faibles scores du mouvement Cinq étoiles et les bons résultats du Parti démocrate, considéré comme le « premier parti » du pays. « Le centre droit s'impose aussi grâce à Meloni » - FdI devance la Ligue dans le Nord. Meloni invite ses alliés à sortir de la majorité. La Ligue perd du terrain et le M5S s'écroule (Corriere della Sera), « Salvini et le M5S sont en chute libre » - FdI devance la Ligue même dans ses bastions. Mais Meloni ne réalise pas d'exploit et invite ses alliés à quitter le gouvernement. Le PD est le premier parti et doit revoir ses alliances face à la défaite des 5 Etoiles (La Repubblica), « Meloni défie Salvini et les 5 Etoiles disparaissent » - Le centre droit gagne à Gênes, Palerme et L’Aquila ; le PD s'impose à Vérone et à Lodi. (Stampa), « Meloni est le moteur du centre droit. Le PD est le premier parti, le M5S s’effondre » - Salvini doit désormais se défendre ; les 5 Etoiles ne franchissent pas la barre des 10% ; Azione (centre/centre gauche) et Italia Viva (centre/centre gauche) progressent (Il Messaggero), « Les grands perdants sont Conte et Salvini » - Les deux dirigeants expliquent leur perte de popularité en raison du soutien au gouvernement Draghi (Fatto Quotidiano), « Le centre droit l'emporte et le M5S disparait » (Il Giornale). 

Sur Twitter, le hashtag #Salvini en référence à l’échec du référendum sur la justice porté par le leader de la Ligue, aux scores limités du parti aux municipales et à l’affaire du voyage à Moscou payé par l’ambassade russe en Italie, fait tendance.

PREMIER PLAN, La Repubblica, de C. Vecchio, « L’effondrement de la Ligue, Fratelli d’Italie passe devant ; le PD est le premier parti » : « Malgré les villes conquises par le centre-droit, ces élections municipales attestent du recul de la Ligue y compris dans des villes traditionnellement considérées comme des fiefs du parti de Salvini, en particulier dans le Nord de la Péninsule. A un an des élections politiques, ce scrutin apparait donc comme un test et c’est Giorgia Meloni qui prend le dessus. On voit s’ouvrir un nouveau chapitre qui pourrait changer le destin de la coalition. Les démocrates quant à eux ont de quoi se réjouir même si les alliances n’ont pas toujours fonctionné et que le Mouvement 5 Etoiles est en crise, ne remportant que 2,1% des voix. Giuseppe Conte est bien contraint d’admettre la défaite. Enrico Letta devra donc revoir sa stratégie et élargir l’alliance du côté du centre, comme beaucoup le lui conseillent. Les listes du Parti démocrate restent celles qui ont obtenu le plus de voix : 17,2% devant Fratelli d’Italia (10,3%) et la Ligue (6,7%). Ces résultats font du PD le premier parti d’Italie mais dans les chefs-lieux la coalition de droite obtient 46,2% des voix en tout contre 44,3 pour le centre-gauche. On note en revanche les bons résultats de Azione, le parti de Carlo Calenda alors que Forza Italie tourne autour de 4-5%, exception faite de Palerme. Matteo Salvini et Giuseppe Conte restent les deux grands perdants de ce 1er tour. » 

PREMIER PLAN, La Repubblica, de L. De Cicco, « Meloni, la nouvelle cheffe du centre-droit, ‘’nous sommes prêts à gouverner’’ » : « Giorgia Meloni se targue, avec Fratelli d’Italia, d’être désormais la ‘’force motrice de la coalition [de centre-droit]’’ et se pose déjà en leader de cette coalition, notamment lorsqu’elle appelle Forza Italia et la Ligue à sortir du gouvernement. Elle s’appuie surtout sur la conquête de municipalités dans le nord-est de l’Italie. Fratelli d’Italia entend bien y revendiquer davantage de poids et pense aussi aux régionales en Lombardie l’année prochaine. ‘’Nous ne pouvons plus être considérés comme un parti secondaire’’ souligne le co-fondateur de FdI, Ignazio La Russa. ‘’C’était un test local certes mais les grandes villes sont un très bon indicateur de tendance’’ insiste-t-il. « Dans ce contexte, elle aborde avec confiance les élections législatives ’’nous sommes prêts à gouverner, mais pas à n’importe quel prix, avec le centre-droit’’. Elle continue à rejeter un changement de loi électorale et refuse la proportionnelle, appelant à ‘’défendre le système à la majorité’’. Elle compte bien également continuer à faire valoir la règle selon laquelle le leader du parti qui l’emporte est le candidat à la Présidence du Conseil. » 

PREMIER PLAN, Il Corriere della Sera, M. Cremonesi : « Salvini : “Ceux qui nous tiennent pour morts se trompent”. La pression sur le gouvernement commence » : « il y a peu de raisons de se réjouir pour la Ligue même si Salvini rappelle : “On nous donne pour morts mais nous avons 20 maires et j’espère que ce chiffre passera à 27 au deuxième tour”. Le problème, c’est que Fratelli d’Italia gagne du terrain, y compris au nord, et arrive même à battre la Ligue sur son territoire. La victoire à Milan qui avait échappé d’un cheveu à FdI l’année dernière est remportée aujourd’hui à Vérone, Padoue et Gênes et complique beaucoup les négociations pour les régionales en Sicile, où Giorgia Meloni entend reconfirmer Musumeci qui déplaît à la Ligue. La percée de Fratelli d’Italia ne complique pas seulement les affaires internes du centre-droit : elle pousse Salvini à se remettre en selle en mettant la pression au gouvernement. Le leader de la Ligue a déjà commencé : avant même le début du dépouillement, il a demandé à ses fidèles de mettre au point une « résolution de majorité » à présenter le 21 juin après le discours de Draghi. Il demande surtout que « d’ici une quinzaine de jours » soient prêts tous les dossiers à porter à la table du palais Chigi, tandis qu’il annonce que la Ligue maintiendra ses amendements à la loi sur la réforme de la justice de Cartabia. Il demande également au ministre de l’Economie de prolonger les réductions du prix de l’essence. Enfin, il relance fortement ce qu’il avait ébauché il y a quelques jours, à savoir « l’adaptation des salaires et des retraites au coût de la vie » tout en s’autorisant à envoyer une ou deux piques à Mario Draghi. Tout ça pour dire que la Ligue s’apprête à faire tomber le gouvernement ? Que l’appel de Meloni sera écouté ? Salvini coupe court aux spéculations : “l’emporter à Belluna, ce n’est pas comme affronter les grands problèmes auxquels le gouvernement doit faire face (…) mon objectif c’est le que le centre-droit l’emporte en 2023”. »

COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli : « Les équilibres qui ont changé à droite comme à gauche » : « La date du 12 juin sera peut-être rappelée comme celle du tournant où certaines illusions et ambiguïtés de notre politique se sont heurtées définitivement à la réalité. Et où l’outil du référendum d’initiative populaire pourrait être considéré comme mort, tué par l’indifférence générale ou par le cynisme de ceux qui l’ont lancé comme un signal de détresse pour ensuite tenter de le maintenir en vie en entamant une campagne tardive. C’est aussi la journée marquée par le fort taux d’abstention non seulement pour les référendums mais aussi pour les élections municipales. Toujours est-il que les résultats sont destinés à modifier les équilibres politiques, à droite comme à gauche. Le dirigeant de la Ligue semble être arrivé à la fin de son aventure. L’alliance qui était née pendant cette législature en plaçant Meloni dans un rôle secondaire doit faire face à une réalité toute nouvelle. De l’autre côté il y avait la « grande coalition » d’Enrico Letta qui reposait sur l’entente privilégiée avec le M5S de Conte. Or, les 5 Etoiles sortent très marginalisés de ce rendez-vous électoral, que ce soit dans les villes où la gauche a perdu ou gagné. Salvini ne doit pas uniquement faire face au drame de la défaite électorale qui a vu les listes de Fratelli d’Italia l’emporter un peu partout sur celles de la Ligue, mais aussi aux ombres qui planent sur ses relations avec Poutine et la tentative maladroite de la visite à Moscou qui a ensuite échoué. Il faudra comprendre si, le moment venu, les électeurs des régions du Nord accepteront d’être guidés jusqu’aux élections de 2023 par un leader amoindri. Quant à l’autre grand perdant, Giuseppe Conte, il pourrait continuer l’alliance avec le PD uniquement s’il accepte de jouer un rôle subordonné. Or le caractère imprévisible de l’ancien premier ministre et de celui qui le conseille (Grillo) pourraient le pousser à modifier sa stratégie et tenter l’aventure solitaire. Ce qui compte, c’est que la réflexion sur le résultat de ces élections et les décisions à prendre relèvent d’Enrico Letta et du Pd. Si la « grande coalition » semble une illusion perdue, il y a d’autres voies : Azione de Calenda et +Europa et parfois Italia Viva ont montré d’être en mesure d’obtenir un certain consensus électoral, peut-être pas suffisant mais assez pour représenter une hypothèse qu’il ne faudra pas écarter a priori. »   

ENTRETIEN, Il Corriere della Sera, d’Enrico Letta, secrétaire du Parti Démocrate, par R. Grassi : « Le PD est la première force politique. On ne peut battre la droite qu’en restant unis, il n’y a pas de plan B » : « Le PD est la première force politique en Italie. C’est le fruit d’une ligne claire et de l’unité du parti. Ce n’était pas le cas il y a un an. Il s’agit du résultat du soutien constructif et sérieux apporté au gouvernement Draghi, sans ambiguïté sur l’Ukraine et avec l’idée d’une vaste alliance au niveau des villes. Il n’y a pas d’autre solution que la recherche de l’unité : en raison de la loi électorale à la majorité et de la réduction des parlementaires, ou bien la victoire reviendra à l’alliance démocratique et progressiste ou bien au centre-droit. Nous ne pouvons battre la droite qu’en nous alliant. Je le dis surtout à Carlo Calenda qui a plusieurs fois été élu avec l’appui du PD. La droite est forte et compétitive. Nous vaincrons seulement si nous sommes unis. Pour l’emporter, il faut créer une alliance guidée par un grand parti. Être aujourd’hui les premiers est la récompense du travail immense que nous avons réalisé. Nous voulons collaborer avec Calenda. Il enregistre de bons résultats à certains endroits, nous dans tout le pays. Il nous faut un projet commun pour l’emporter, il n’y a pas de plan B. C’est vrai qu’il y a des coalitions qui peuvent avoir du mal mais regardez ces élections municipales : il s’agit toujours du centre-droit contre le centre-gauche. Rien d’autre. Les ambitions centristes ont un sens si elles vont vers l’union, sans schémas idéologiques ou logiques de partis. Construisons une coalition gagnante sur les grands thèmes : le travail, la compétitivité, la justice sociale, les opportunités pour les jeunes, l’environnement, le droit. C’est vrai : on ne s’allie pas seulement “contre”, mais aussi au nom d’une vision d’avenir et de valeurs communes. »

ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Carlo Calenda, fondateur d’Azione (centre/centre gauche) « Il y a un mouvement réformateur qui pousse les gens à voter » : « Il y a une grande partie de l’électorat qui rejette ces deux grandes coalitions hétéroclites qui n’arrivent plus à inciter les citoyens à voter. Azione a obtenu un score important, allant de 10 à 25% selon les villes. Nous avons récupéré des voix du centre droit et du centre gauche qui, sans nous, auraient été perdues dans l’abstention. Nos candidats ont des caractéristiques semblables : ils ont un sens civique affirmé, sont équilibrés et pragmatiques. Le PD suit une stratégie myope en continuant à miser sur le populisme des 5 Etoiles. Cela portera inévitablement le PD à une perte de consensus. Dans un système super-bipolarisé, il y a l’espace pour un troisième pôle. Notre objectif est de pouvoir avoir un gouvernement de large coalition, excluant les extrémismes et pouvant continuer avec Draghi. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le ministre du Travail néerlandais désire faire travailler dans son pays les chômeurs français des quartiers à problèmes.

Pays-Bas. Le ministre du Travail néerlandais désire faire travailler dans son pays les chômeurs français des quartiers à problèmes. Ces derniers deviendront caissiers ou serveurs dans les bistros et restaurants.

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Le député Joost Eerdmans, de Ja 21, désire interpeller le ministre en question à ce propos.

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Forum voor Democratie : « Le gouvernement veut faire venir de ‘’jeunes’’ chômeurs des banlieues françaises aux Pays-Bas. C'est dément. Des Africains peu scolarisés, responsables de l'insécurité et de la délinquance dans les banlieues, n'ont rien à faire aux Pays-Bas. Travailler et vivre ici est pour nos gens. »

67 % des Néerlandais sont favorables à l'accueil des réfugiés dans leur propre région du monde.

Pays-Bas. Un sondage Ipsos réalisé à la demande de l’organisation d’aide Connect International auprès de plus de 3.000 individus montre que 67 % des personnes interrogées sont favorables à l’accueil des réfugiés dans leur propre région du monde, avec possibilité ensuite de demander, depuis cet endroit, l’asile aux Pays-Bas. 12 % sont contre et 21 % neutres.

Le directeur de Connect International Tom de Veer est favorable à l’accueil des réfugiés dans leur propre région du monde, lié à de l’aide au développement pour cette région.

13/06/2022

Leefbaar Rotterdam, qui porte l’héritage de Pim Fortuyn, et le parti de gauche pro-migrants Denk dans la même coalition.

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Pays-Bas. Rotterdam. La ville sera dirigée par les libéraux de droite du VVD (6 sièges), les libéraux de gauche de D66 (5 sièges), le parti patriotique Leefbaar Rotterdam (10 sièges) qui porte l’héritage idéologique de Pim Fortuyn, ainsi que le parti Denk (4 sièges), une formation politique de gauche qui défend les minorités, les migrants, le multiculturalisme et la social-démocratie. La coalition dispose donc de 25 sièges sur 45. Le programme de la coalition porte sur la mobilité, le logement, la sécurité, les personnes âgées.

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Les 10 conseillers municipaux de Leefbaar Rotterdam

Saxe : l'AfD n'obtient pas de maire.

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Allemagne. Saxe. L’AfD de Saxe communique qu’elle a obtenu des résultats respectables lors de l’élection directe des maires ce 12 juin 2022, bien qu’elle ne soit pas arrivée à décrocher un poste de maire. La Saxe est pourtant un endroit où l'AfD obtient de très bons résultats lors des autres scrutins.

Les résultats des candidats de l’AfD aux postes de maire :

Malschwitz : Steffen Lehmann est deuxième avec 29,9 %.

Boxberg : Hans-Peter Rauch arrive troisième avec 6,8 %.

Rothenburg : Marcel Block arrive deuxième avec 12 %.

Zittau : Jörg Domsgen est deuxième avec 28,2 %.

Belgershain : Alexander Kerschke arrive troisième avec 8,7 %.

Böhlen : Heike Weitzmann arrive troisième avec 8,1 %.

Borna : Michael Krause arrive quatrième avec 10,7 %.

Rötha : Ingo Weitzmann est deuxième avec 8,5 %.

Wurzen : Bodo Walther est quatrième avec 8,7 %.

Glaubitz : Karsten Werner est deuxième avec 19,3 %.

Gröditz : Dirk Wartenberg est troisième avec 11,5 %.

Hirschstein : Enrico Barth est deuxième avec 16,7 %.

Käbschütztal : Markus Hansjörg Kunze est deuxième avec 35,4 %.

Schönfeld : Christian Reck est quatrième avec 10,8 %.

Strehla : Ute Heine de l‘AfD est troisième avec 3,3 %.

Burgstädt : Matthias Hofmann est quatrième avec 8,4 %.

Freiberg : Marko Winter est deuxième avec 9,6 %.

Geringswalde : René Naumann est cinquième avec 7,9 %.

Roßwein : Jens Tamke est sixième avec 9,1 %.

Waldheim : Christian Wesemann est troisième avec 12,3 %.

Oschatz : Tobias Heller est deuxième avec 18,8 %.

Altenberg : Andreas Scholte van Mast est deuxième avec 15,6 %.

Markneukirchen : Oliver Schüller est troisième avec 13,2 %.

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Alice Weidel à Zwickau lors de la campagne électorale

(https://www.saechsische.de/politik/wahlen/kommunalwahl/da...)

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(https://www.saechsische.de/politik/wahlen/kommunalwahl/da...)

(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/kommunalwa...)

Saxe : un homme élu maire alors que son nom ne figurait pas sur les bulletins de vote.

Allemagne. Saxe. Lors de l’élection directe des maires, ce 12 juin 2022, à Königshain, un homme dont le nom ne figurait pas sur les bulletins de vote a été élu. Le système électoral de la Saxe permet, lorsque seul un candidat est en liste, d’inscrire sur le bulletin de vote le nom d’une autre personne, ce qui est arrivé : Maik Wobst est élu avec 50,4 % des voix. Il avait annoncé, quelques jours avant le scrutin, être prêt à exercer cette fonction.

Thuringe : 3/4 des maires élus ne sont pas membres des partis du système.

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Allemagne. Thuringe. Lors de l’élection directe des maires, ce 12 juin 2022, 76 % des élus sont des candidats indépendants ou des membres d’associations électorales ou de petits partis politiques. 20 % sont membres de la CDU – démocrates-chrétiens – et 1 à 2 % du SPD – sociaux-démocrates – ou de Die Linke – post-communistes.

À Küllstedt, le maire sortant Christina Tasch est réélu, avec 74 %, face au candidat de l’AfD Christopher Drößler, qui obtient 26 %.

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À Kloster Veßra, le national-socialiste Tommy Frenck a obtenu 29,1% face au maire sortant qui décroche 70,9 %. Avant le scrutin, la secrétaire d’État de Thuringe Katharina Schenk avait déclaré que, en cas d’élection de Tommy Frenck, la loi communale interdit à ce dernier d’exercer ce mandat car, selon elle, Tommy Frenck ne respecte par l’ordre de base démocratique.

Herbert Kickl opposé à un discours au Parlement autrichien du président du Parlement ukrainien.

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Autriche et Ukraine. Le président du FPÖ Herbert Kickl considère le fait que le président du Parlement ukrainien parle ce 14 juin 2022 au sein du Parlement autrichien comme une rupture de la neutralité. Les élus du FPÖ n'assisteront pas au discours.

Italie : échec du référendum sur le système judiciaire.

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Italie. Échec du référendum sur le système judiciaire :

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Referendum-ra...

"La Ligue perd son pari sur les référendums."

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Italie. Revue de presse. 

La presse italienne titre largement sur le premier tour des élections municipales en Italie et des référendums d’initiative populaire sur la justice, en signalent notamment « l’échec » de ces derniers, avec moins de 20% de participation, alors que 50% étaient requis pour qu’ils soient considérés comme valides : « Les urnes vides, le référendum échoue » - Le questionnaire sur la justice n’atteint pas le quorum nécessaire. Le taux de participation ne dépasse pas la barre des 20%. Selon les sondages de sortie de bureau de vote, le centre droit s’imposerait à Gênes et à Palerme (Corriere della Sera), « Elections municipales, le centre droit devant mais la Ligue perd son pari sur les référendums » - Les premiers sondages indiquent une défaite du centre gauche à Gênes et à Palerme. A Vérone, le candidat de la gauche devance tous les autres au premier tour. La Ligue dénonce un « sabotage » contre les référendums (La Repubblica), « L’échec du référendum, la droite donnée pour gagnante » - Seul 1 électeur su 5 se prononce sur le référendum. La Ministre Cartabia (indépendante) invite les partis à aller de l’avant avec la réforme (La Stampa), « Le flop des référendums ; la droite s’impose dans les villes » - Les sondages de sortie de bureau de vote prévoient la victoire de la droite à Gênes, Palerme, L’Aquila et Catanzaro. Le centre gauche premier à Parme et Vérone (Il Messaggero). Le premier tour des élections législatives en France est aussi largement cité, les observateurs se divisent : certains relevant que la majorité du Président Emmanuel Macron tient et s’achemine vers une victoire, d’autres soulignant que J-L Mélenchon sortirait gagnant et la possibilité d’un succès au second tour « Macron résiste, ex-aequo avec Mélenchon » (Corriere della Sera), « France, ex-aequo entre Macron et Mélenchon » (Il Messaggero), « Mélenchon inquiète Macron, la majorité est en danger » (La Repubblica), « Le tournant en France : Mélenchon devant au premier tour, le siège de l’Elysée ne fait que commencer » (La Stampa), « France, Macron tremble, rattrapé par les communistes » (Il Giornale).

 

Les JT couvrent essentiellement l’échec du référendum sur la justice qui n’a pas atteint le quorum nécessaire et les premières estimations de résultats des élections municipales, le premier tour des élections législatives en France, la bataille cruciale de Severodonetsk et le débat sur la vente d’armes aux Etats-Unis.

Sur Twitter, les hashtags #Referendum et #Salvini, en référence aux référendums d’initiative populaire de dimanche, font tendance. Le hashtag #Salvini est également utilisé en référence aux déclarations de l’ambassade de Russie en Italie selon laquelle elle aurait anticipé l’achat des billets d’avion pour la visite à Moscou (ensuite annulée) du dirigeant de la Ligue.

ARTICLE, La Repubblica, E. Mauria « Les billets pour Moscou de Salvini ont été payés par les Russes : mystère sur le remboursement cinq jours après » : « L’histoire se noue entre le 26 et le 31 mai, avec des billets d’avion payés par les Russes, un plan de paix élaboré sans que le gouvernement n’en ait connaissance et validé par l’ambassade russe, et un voyage à Moscou organisé sans en faire part aux membres de la Ligue. Il faut aussi revenir au 19 mai, date à laquelle Draghi est intervenu devant le Parlement pour parler de la guerre en Ukraine. A cette occasion, Matteo Salvini s’était opposé à l’envoi de nouvelles armes à l’Ukraine et avait fait deux proposition à Draghi : ‘’essayez de demander à Moscou de renoncer à la candidature pour l’Expo et de la donner à Odessa’’ et ‘’demandez le déblocage des navires chargés de blé’’. C’est le conseiller Antonio Capuano qui révèlera à Repubblica  que ‘’[lui] et Salvini en [avaient] parlé à l’ambassade de Russie : les Russes avaient dit que sur ce point (le déblocage des navires) nous pouvions faire des pressions’’. Le 26 mai, l’ambassade de Russie achète des billets d’avion pour Moscou : d’après la porte-parole de la représentation diplomatique russe à Rome, il s’agissait d’une ‘’assistance technique’’ pour les difficultés que Salvini et ses accompagnateurs (une délégation de trois personnes) avaient rencontré pour les payer en roubles. Hier, le dirigeant léguiste a bien entendu confirmé cette version. Toujours est-il que Salvini et ceux qui le conseillent n’ont pas eu de scrupules à se faire payer un voyage par un pays soumis à des sanctions par le bloc occidental et accusé d’avoir envahi un Etat souverain. La seule chose certaine est que pendant cinq jours, le voyage de Salvini en Russie (qui a été annulé après avoir suscité les polémiques) a été soutenu par une contribution russe. »

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « Une défaite annoncée » : « Le grand perdant de cette consultation du 12 juin est sans doute l’outil du référendum d’initiative populaire lui-même, cet instrument qui a pourtant marqué l’évolution de la société italienne, et qui a été victime d’une utilisation dénaturée par la politique. L’avoir transformé en une sorte d’arme contre le Parlement a été une grande erreur. Le taux d’abstention important a remis la balle dans le camp de la politique dans un contexte aggravé par les polémiques avec le monde judiciaire. Les responsabilités politiques sont bien évidentes et bien distribuées. Tout d’abord Matteo Salvini, qui avait organisé ces référendums avec le parti radical à l’occasion d’une alliance de circonstance et peu naturelle, mêlant à la fois défense de la magistrature et hostilité à l’égard de celle-ci, considérée comme « politisée ». Derrière cette union, on pouvait voir l’ombre de Berlusconi et de Renzi, qui ont soutenu et favorisé la campagne de la Ligue. Il est inutile d’accuser les médias de ne pas avoir assez parlé de ces consultations pour cacher une défaite cuisante, sur tout le territoire national. Par ailleurs, évoquer un «référendum volé » (à l’instar de ce que Trump appelait « l’élection volée ») accentue l’impression qu’ils cherchent des excuses peu crédibles et d’avoir perdu le contact avec la réalité. Quant aux élections municipales, les premiers sondages de sortie de bureau de vote confirment que le centre droit reste tendanciellement majoritaire, mais porté par certains partis en son sein, ce qui affaiblit l’union et la crédibilité de cette coalition dans son souhait de gouverner le pays. Au centre gauche, si le Parti démocrate peut revendiquer un bon résultat comme parti, le soutien de l’allié M5S se confirme toutefois comme peu concluant. Dans la perspective des élections législatives de 2023, la situation est difficile pour les deux coalitions. Le défi pour Draghi sera à présent de gérer les défaites d’une partie de sa majorité. L’échec de certains partis ne vient pas de la participation ou de l’exécutif mais de la manière peu convaincue avec laquelle ils ont fait campagne. »

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de N. Pagnoncelli, « Des questions peu compréhensibles, un outil ‘’usé’’ et une faible mobilisation ; les trois raisons d’un échec » : « Lors du referendum, le quorum n’a pas été atteint et il ne peut donc pas être validé. On pouvait s’y attendre, essentiellement pour trois raisons. D’abord le faible écho médiatique autour de ce rendez-vous référendaire sur lequel le débat est resté en sourdine, a peu mobilisé les partis et a très peu intéressé les électeurs dont 82% déclaraient pourtant (d’après les sondages) savoir que ce vote aurait lieu. Ensuite, la complexité des questions posées dans le cadre de cette consultation. Concernant au moins trois des cinq questions posées, une très large majorité de citoyens déclaraient ne pas être en mesure de juger de l’impact de l’abrogation des lois mentionnées dans le référendum. Des questions trop techniques d’un point de vue juridique et institutionnel. Enfin, le référendum abrogatif apparait ‘’usé’’, après avoir été utilisé 18 fois, pour 72 questions, depuis son instauration. Entre 1974 et 1995, la participation moyenne était de 70% alors qu’au cours des 15 dernières années la tendance s’est inversée : sur neuf consultations, huit n’ont finalement pas été validées par manque de participation. A l’inverse, la plus forte mobilisation a concerné les questions de la gestion de l’eau et le recours à la production d’énergie nucléaire, qui avaient suscité un important débat politique et médiatique. La désillusion des Italiens, en majorité persuadés de l’‘’inutilité’’ d’un tel instrument, s’est aussi renforcée par le fait que plusieurs lois ont fini par aller à l’encontre de l’avis exprimé lors des consultations. Il y a donc matière à réfléchir sur une utilisation plus appropriée de cet important outil de démocratie directe – mais il s’agit là aussi d’une vieille litanie. »

COMMENTAIRE, La Repubblica, C. Tito : « A Rome et à Paris, les souverainistes s’essoufflent » : « En ce dimanche électoral, quelque chose réunit la France et l’Italie : la défaite des souverainistes. Le résultat du référendum [sur la justice, ndlr] dans notre pays est parlant : il signe la débâcle de ceux qui l’ont proposé, sur le fond aussi bien que sur la forme. Le secrétaire de la Ligue a été la victime de ce qui avait pourtant, ces cinq dernières années, été son arme de prédilection : sa capacité à insuffler son populisme dans la mobilisation. Evidemment, ce modèle s’est consumé – et a explosé – à cause des ambiguïtés des Lombards sur la guerre en Ukraine et de leur compromission vis-à-vis de la Russie. Cela a généré une sorte de suspicion viscérale, une réaction épidermique mais définitive. Exactement comme cela s’est passé en France pour Marine Le Pen qui, bien qu’elle ne remporte pas moins de voix qu’en 2017, voit son espace de manœuvre réduit. Il semble que les sentiments des citoyens italiens et français soient reliés par les événements qui ont secoué l’Europe ces deux dernières années : le populisme suscite de la défiance. Les systèmes politiques classiques montrent des signes d’inadéquation dans toute l’Europe : en Italie, une grande alliance de partis est au pouvoir ; en Allemagne, pour la première fois, c’est une coalition de trois partis ; en France, Macron court le risque de devoir gouverner sans majorité absolue. Une situation qui peut provoquer la paralysie d’une Europe déjà à bout de souffle. Ce n’est peut-être pas un hasard si le Président français parle de réforme électorale à la proportionnelle. Au-delà des recettes sur les mécanismes électoraux, les systèmes politiques européens ont besoin de s’adapter, exactement comme l’Union a le devoir d’abandonner le principe de l’unanimité : dans le cas contraire, le défi du 21ème siècle pour le Vieux Continent est perdu d’avance. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Saxe : premier tour de l’élection des conseillers de circonscription : bons résultats de l'AfD.

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Allemagne. Saxe. Lors du premier tour de l’élection des conseillers de circonscription, le 12 juin 2022, les résultats sont, dans les circonscriptions suivantes :

Bautzen : Frank Peschel de l’AfD arrive deuxième avec 28,1 %.

Erzgebirgskreis : Torsten Gahler de l’AfD arrive troisième avec 17,8 %. Stefan Hartung, de Freie Sachsen, un mouvement nationaliste plus radical que l’AfD qui désire voir la Saxe se rapprocher des pays du groupe de Visegrád, décroche 10 % et est quatrième.

Görlitz : Sebastian Wippel de l’AfD arrive deuxième avec 35,5 %.

Leipzig : Jörg Dornau de l’AfD arrive deuxième avec 19,4 %.

Mittelsachsen : Rolf Weigand de l’AfD arrive troisième avec 28,7 %.

Nordsachsen : pas de candidat de l’AfD, mais bien une candidate de Freie Sachsen, Uta Hesse, qui décroche 20 % et est deuxième.

Sächsische Schweiz-Osterzgebirge : Ivo Teichmann de l’AfD arrive troisième avec 23,9 %. Andreas Hofmann de Freie Sachsen récolte 10,5 % et est quatrième.

Vogtlandkreis : Roberto Rink de l’AfD arrive deuxième avec 23,4 %

Zwickau : Andreas Gerold de l’AfD arrive troisième avec 21,1 %.

 

Le deuxième tour aura lieu le 3 juillet 2022, sauf dans les circonscriptions où un candidat a obtenu plus de 50 %, c’est-à-dire dans celles de Leipzig, de Sächsische Schweiz-Osterzgebirge et de Nordsachsen.

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Le château de Moritzburg en Saxe

(https://www.mdr.de/nachrichten/sachsen/politik/kommunalwa...)

Giorgia Meloni en Andalousie pour soutenir Vox.

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Espagne et Italie. La dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni a voté en Italie ce dimanche 12 juin 2022, puis s’est rendue à Marbella en Espagne afin de soutenir Olona Macarena, candidate de Vox à la présidence de l’Andalousie. Les élections pour le Parlement d'Andalousie se tiendront le dimanche 19 juin 2022.

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Giorgia Meloni et Jorge Buxadé

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Giorgia Meloni, Olona Macarena, Santiago Abascal, Jorge Buxadé

12/06/2022

Maximilian Krah de l'AfD arrive quatrième lors de l'élection directe du maire de Dresde.

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Allemagne. Saxe. Dresde. Lors de l’élection directe du maire, le candidat de l’AfD Maximilian Krah arrive quatrième avec 14,2 %.
 
Markus Fuchs et Sascha Wolff, liés au mouvement anti-vaccin Querdenker, obtiennent respectivement 3,4 % et 1,3 %.
 

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Maximilian Krah

Marion Maréchal a accouché : sa fille s’appelle Clothilde.

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France et Italie. Marion Maréchal a accouché : sa fille s’appelle Clotilde. Le mari de Marion est le député européen du parti nationaliste italien Frères d'Italie Vincenzo Sofo.

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"Nous avons rempli les places, maintenant nous remplissons les urnes !"

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Italie.

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"Nous avons rempli les places, maintenant nous remplissons les urnes !"

11/06/2022

Conférence internationale à Anvers.

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Belgique (Flandre) et UE.

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Une conférence intitulée « Notre Europe » est organisée le 23 juin 2022 à Anvers.

(Copier le lien : https://ons-europa.eu/)

Bart De Wever reste jusqu’au minimum 2025 président de la N-VA.

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Belgique. Flandre. Bart De Wever reste encore jusqu’au minimum 2025 président de la N-VA. Le Conseil du parti a décidé de reporter les élections internes prévues fin 2023/début 2024 à après les élections de 2024. Le scrutin interne est donc désormais prévu début 2025.

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Bart De Wever

Viktor Orban : "Le moyen le plus simple de réduire l'inflation en temps de guerre, c'est la paix."

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Hongrie. Le Premier ministre Viktor Orban a déclaré à la radio : « Le moyen le plus simple de réduire l'inflation en temps de guerre, c'est la paix. »

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Frères d'Italie ne gouvernera pas avec le Parti Démocrate, ni avec le M5S.

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"Un futur gouvernement Parti Démocrate-Frères d'Italie ? Probabilité zéro."

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"L'hypothèse d'entrer dans le gouvernement avec le Parti Démocrate et le M5S n'existe pas."

Allemagne : 16 % renoncent à des repas réguliers en raison de la forte inflation.

Allemagne. Une enquête de l'INSA, datée du 7 juin 2022 et réalisée auprès de 1.002 personnes, montre que, en réponse à la question  « Renoncez-vous à des repas réguliers en raison de la forte inflation ? », 16 % disent « Oui ». Un autre 13% envisage de se passer de nourriture si les prix continuent à augmenter.

10/06/2022

Le FPÖ donné à 19 %.

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Autriche. Un sondage Market donne les sociaux-démocrates du SPÖ à 32 %, les conservateurs de l’ÖVP à 21 %, les patriotes du FPÖ à 19 %, les libéraux de Neos à 12 %, les écologistes à 9 % et le parti antivaccin MFG à 5 %.

"Le déclin n'est pas un destin."

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Italie.

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Giorgia Meloni :  Administratives du 12 juin  2022. Le déclin n'est pas un destin. Libérez l'énergie. Votez Frères d'Italie."

"Dans ta commune vote Ligue."

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Italie.

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"Élections municipales 2022. Dans ta commune vote Ligue. Dimanche 12 juin de 7 à 23h. Barrer le symbole. Dimanche voter Ligue."