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04/07/2012

Rudy Reker candidat pour le DPK.

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Pays-Bas. Rudy Reker, le chef de file des élus de la Lijst Pim Fortuyn Eindhoven au sein du Conseil municipal d’Eindhoven, sera candidat lors des élections du 12 septembre 2012 pour le Democratisch Politiek Keerpunt (DPK – Tournant politique démocratique).

Le Député Hero Brinkman, qui a quitté le PVV de Geert Wilders et fondé le Onafhankelijke Burger Partij qui fusionne avec Trots op Nederland au sein du nouveau parti Democratisch Politiek Keerpunt, est à 500 % dans la ligne idéologique de Pim Fortuyn.

L’ordre des candidats n’est pas encore fixé.

Le RFJ de Salzbourg a lancé une campagne contre la discrimination des Autrichiens.

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Autriche. Land de Salzbourg. Au mois de juin 2012, le Ring Freiheitlicher Jugend (RFJ – Cercle des Jeunes libéraux [nationalistes]) de Salzbourg a lancé une campagne contre la discrimination des Autrichiens. L’organisation dénonce la politique d’intégration des étrangers pratiquée par un ministre conservateur (ÖVP) du Land qui conduit à discriminer les Autrichiens.

03/07/2012

Deux députés quittent le PVV.

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Pays-Bas. Deux députés du PVV, Wim Kortenoeven et Marcial Hernandez, quittent le parti. Ils reprochent à Geert Wilders sa gestion autoritaire du PVV.

L'ADR vote contre le MES.

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Luxembourg. Ce 26 juin 2012, la Chambre des députés a adopté à une large majorité trois projets de lois autorisant le Luxembourg à participer au Mécanisme européen de stabilité (MES). Deux partis ont voté contre : l’ADR et déi Lénk (gauche de la gauche).

Geert Wilders présente le programme du PVV pour les élections de septembre 2012.

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Pays-Bas. Geert Wilders, le président du PVV, a présenté ce mardi 3 juillet 2012 le programme de son parti pour les élections législatives du 12 septembre 2012.

Au cours des années précédentes, le PVV a souvent dû faire face au reproche d’être un parti consacré à un seul sujet. Jusqu’aux élections du 12 septembre 2012, cela sera le cas. Le sujet est l’Union européenne. Toutes les activités du PVV jusqu’à la date de ce scrutin concerneront ce thème. Le PVV veut faire de ces élections un référendum sur  tout ce qui est en rapport avec l’Union européenne : euro, MSE, bureaucratie, dictat de l’Union européenne à propos des économies à réaliser, de l’immigration, des pensions.

L’Union européenne est le thème central du programme que le PVV présente aujourd’hui. Le titre est « Leur Bruxelles, nos Pays-Bas. »

Les idées présentées sont celles qui différencie le PVV des autres partis et qui vont permettre de libérer les Pays-Bas de la prison européenne. Des idées qui vont ammener le PVV à gagner les élections du 12 septembre 2012.

« Comme d’habitude, nous sommes pragmatiques et patriotiques. Alors que lors d’un référendum qui a eu lieu il y a plusieurs années, le peuple néerlandais a dit « non » à l’Europe, le peuple est chaque jour plus soumis à l’Union européenne. Il apparaît qu’il est de plus en plus difficile d’être en même temps europhile et démocrate. Nous choisissons, entre les deux possibilités, la démocratie. Nous choisissons de quitter l’Union européenne et la zone euro. Ce n’est pas simple, mais ça doit être fait. Ce n’est pas simplement un programme électoral, mais c’est aussi notre déclaration d’indépendance. Nous tirons une ligne claire entre leur Bruxelles et nos Pays-Bas. Au lieu de consacrer notre argent à ce que notre peuple désire, nous devons envoyer des milliards vers les pays en voie de développement au sein de l’Union européenne : la Grèce et le Portugal. Et probablement vers l’Espagne, l’Italie et Chypre. »

Le PVV désire pratiquer des coupes budgétaires dans les budgets des autorités et dans les subsides, plutôt que de s’en prendre aux budgets des personnes privées. Le PVV rejette les économies prévues sur le compte des citoyens. Le parti désire augmenter les taxes sur les banques.

Geert Wilders dit : « Nous nous déclarons aujourd’hui indépendants de l’Union européenne. Nous voulons être le patron dans notre propre maison, le patron dans notre propre pays.  »

Le drapeau européen comprend 12 étoiles, car au départ 12 pays ont adhéré à cette construction européenne. Le PVV veut qu’une de ces étoiles, celle qui représente les Pays-Bas, soit retirée.

Le drapeau des Pays-Bas figure sur les affiches et sur le programme. C’est le symbole de l’indépendance des Pays-Bas, face à l’Union européenne.

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'Leur Bruxelles, nos Pays-Bas."

Tee-shirt promotionnel pour le livre "Jörg Haider, le phénix."

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Tee-shirt promotionnel pour le livre "Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille libérale et nationale en Autriche."

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Face avant.

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Dos.

Le FPÖ opposé au MES.

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Autriche. Le FPÖ s’oppose à l’abolition de la Seconde République via le MES. Pour le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, la souveraineté de l’Autriche est en jeu. Face à la politique européenne de dettes, il exige l’organisation d’un référendum et de nouvelles élections.

Selon le FPÖ, la ratification des changements au sein du Traité européen par les Parlements des 27 États membres a pour conséquence de permettre aux dirigeants des 17 pays de la zone euro de fonder la première banque MES européenne et supranationale.

Patrik Brinkmann donne une interview à Aula.

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Patrik Brinkmann vit dans l'Ouest de Berlin.

Allemagne et Autriche. L’homme d’affaire germano-suédois Patrik Brinkmann a conduit au cours des dernières années des actions au sein des milieux patriotiques. Il a été proche du mouvement de citoyens PRO, avant de se retirer de la politique.

Il a donné une interview au magazine autrichien patriotique Aula, proche du FPÖ (Autriche). Elle sera publiée en allemand au sein du prochain numéro de ce magazine (juillet 2012).

Il nous envoie cette interview. En voici un résumé.


« Ne pas recommencer les batailles du passé ! »

Entretien d’Aula avec l’entrepreneur germano-suédois Patrik Brinkmann.

Aula : Monsieur Brinkman, vous avez troublé la scène politique en place en Allemagne pendant un certain temps. Nous avons aussi entendu parler de vous dans les médias autrichiens. Vous vous êtes ensuite retiré de la scène des partis politiques. Est-ce une décision définitive ?

Patrik Brinkmann : J’avais déjà décidé en 2010 de ne plus être actif au sein de la politique. Pour moi, la seule question a toujours été de savoir si et comment atteindre avec succès en Allemagne une vraie politique libérale [nationale]. Depuis que j’ai déménagé il y a maintenant plus de 5 ans de Suède vers Berlin, j’ai pu acquérir beaucoup d’expérience. Lorsqu’on voit la société allemande de l’extérieur, dans mon cas depuis la Suède, on ne peut pas se rendre compte à quel point ceux qui expriment des idées contraires à celles du système en place sont réprimés. Lorsque des amis allemands m’en parlaient, je me disais que ça ne peut pas être à ce point. Maintenant, je sais que c’est encore pire. Toute personne qui en Allemagne est perçue en tant qu’opposant au système peut être victime d’une tentative totale de destruction de ses bases économiques.

La réponse des milieux patriotiques face à cette situation aurait dû être une union. Hors, il n’en a rien été. Au contraire, lors de l’élection pour le Parlement du Land de Berlin, il a été impossible d’unifier les patriotes. Vous savez, je suis homme d’affaires. Je travaille depuis des décennies à la bourse et je pense que la politique fonctionne de la même manière. On achète des actions à bas prix et les vend lorsqu’elles ont une haute valeur avant qu’elles ne redescendent. En politique, c’est la même chose. Ce qui compte, ce sont les résultats des partis. Ce n’est pas la conséquence de l’incompétence des personnes qui en sont membres. Lorsque les circonstances sont défavorables, on peut souvent seulement obtenir peu. Mais également, à l’inverse, de bonnes conditions ne sont pas toujours un ticket direct pour le succès, comme nous le voyons en ce moment avec l’action Facebook.

Il y a un besoin de régénération de l’opposition en Allemagne et de l’établissement d’un contrepoids efficace à la poussée de gauche. Le mot d’ordre est : « agir ensemble et une ligne de séparation claire. » Il y a en Allemagne toujours des « droites » qui sont occupées à réviser le passé comme le présent. On ne peut aller avec de tels gens. À la place de la peur, l’amour de la patrie doit être la base de l’engagement politique afin de changer la piètre situation politique actuelle. C’est aussi mon but.

Patrik Brinkmann parle ensuite du fait que s’il n’est plus actif au sein de la politique des partis, il est engagé au sein d’activités en rapport avec ses opinions politiques patriotiques.

Aula : Comme nous le savons tous, établir en Allemagne une force patriotique comme elle existe en Autriche sous la forme du FPÖ est très difficile. Voyez-vous malgré tout des chances d’y arriver?

Patrik Brinkmann répond qu’il existe des possibilités, avant tout lorsque le même courant politique que celui représenté par le FPÖ en Autriche se développe en Allemagne. Il estime qu’il faut rompre totalement avec les gens qui veulent revenir sur l’histoire. Il y a actuellement des problèmes énormes à résoudre au sein de la société et les patriotes doivent se concentrer sur ceux-ci. Le point le plus important est la défense des souverainetés des peuples et États qui sont de plus en plus démantelées par la dictature de l’Union européenne. Les patriotes doivent se battre, comme en Autriche, pour plus de démocratie. Au premier plan du combat doit se trouver la lutte contre l’Union européenne et l’euro. Le point suivant doit être la défense de notre culture européenne. Cela inclut la régénération de nos propres forces culturelles et politiques. Cela signifie la fin de l’immigration vers l’Europe qui ne peut que conduire à plus de tentions culturelles et sociales. Le combat contre l’islamisation est une partie de ses exigences politiques. Les patriotes doivent également avoir des idées sociales. Si les patriotes se concentrent sur ses thèmes importants et sont unis, Patrik Brinkmann pense qu’il y aura des députés européens allemands patriotes.

Patrik Brinkman explique ensuite que l’Europe ne peut pas être sans la Russie et que la Russie ne peut pas être sans l’Europe. C’est un des messages les plus importants. Nous devons nous concentrer sur quelques thèmes centraux.

Article sur les recompositions gouvernementales en Serbie et Bosnie-Herzégovine.

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Serbie et Bosnie. Voici un article sur le gouvernement en formation en Serbie entre le SNS et les héritiers de Slobodan Milosevic et sur la recomposition gouvernementale en Bosnie-Herzégovine :

http://www.bhinfo.fr/recompositions-gouvernementales-en,2...

et un article sur le futur Premier ministre socialiste serbe:

http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/02/l...

L'association danoise Vederfølner.

Danemark. Vederfølner est une association de Danois qui pensent que la politique danoise d’immigration des trente dernières années a été un désastre  pour le Danemark et a conduit à une société multiculturelle qui est en opposition avec la forme démocratique de gouvernement du pays, la liberté d’expression et l’égalité entre les hommes et les femmes.

Vederfølner travaille activement afin de préserver le patrimoine, la langue et l’identité nationale danoise. Vederfølner est opposé au multiculturalisme. L’objectif de Vederfølner est d’être un réseau non-partisan et un lieu de rencontre pour les Danois qui ont un esprit nationaliste et qui se sentent fortement concernés par l’avenir du pays.

L’attribution de la citoyenneté danoise doit cesser et les immigrés et réfugiés de pays non-européens  et leurs descendants doivent tant que possible retourner dans leur pays d’origine ou dans des camps de réfugiés situés près de leur pays.

La culture et la langue danoise ne doivent pas être sujets à quel qu’influence musulmane que ce soit, toute violation de la liberté d’expression doit être évitée et les lois contre le racisme  doivent être supprimées.

Vederfølner désire à travers l’organisation d’événements promouvoir ses valeurs, mais aussi par le sport et des activités physiques améliorer la condition physique de ses membres.

Vederfølner n’est pas lié à un parti politique et pense que le Parti du Peuple danois ne fait pas un assez bon job pour les Danois.

 

Voir le site de l’association : http://www.modstand.nu/

 

Le 23 juin 2012, Vederfølner a organisé un tournoi de football à Aarhus.

Article sur les relations du FN avec les autres partis patriotiques en Europe.

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France. Slate publie un article sur les relations européennes du Front national :

http://m.slate.fr/story/57697/front-national-le%20pen-eur...

02/07/2012

Gabor Vona prêt à discuter avec le Rabin Slomó Köves.

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Hongrie. Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à Budapest ce vendredi 29 juin 2012, Gabor Vona a déclaré que le Jobbik est prêt à tout moment à discuter de la question de l’antisémitisme avec le Rabin Slomó Köves de la Communauté israélite de Hongrie.

Selon Gabor Vona, le Jobbik ne prône pas au sein de son programme, de ses propositions et de ses idées des discriminations sur base de l’appartenance ethnique ou de l’origine. Gabor Vona estime que des forces politiques hostiles ont lancé une campagne concertée en vue de stigmatiser le  parti en tant qu’antisémite, raciste et extrémiste. L’objectif est d’isoler le parti  et d’empêcher que ses messages atteignent l’opinion publique. Gabor Vona a ajouté que le programme du Jobbik n’est pas antisémite mais pro-hongrois

La réaction du Jobbik au fait que l’élu européen du Jobbik Csanád Szegedi ait en partie des ancêtres juifs est bien la preuve que le parti juge les gens en fonction de leurs position plutôt que sur leurs origines.

Programme du PVV pour les législatives : « Leur Bruxelles, nos Pays-Bas. »

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Pays-Bas. Le programme du PVV de Geert Wilders pour les élections législatives de septembre 2012 s’intitule « Leur Bruxelles, nos Pays-Bas ». Il sera présenté ce mardi 3 juillet 2012 au matin.  

Parmi les axes principaux se trouvent :  

- l' aversion pour l’Europe 

- la réouverture du débat sur le MSE

Le Président du Conseil ramène de Bruxelles la stabilité politique.

Italie. « La nouvelle stabilité du président du Conseil » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de samedi) :  « Le Président du Conseil ramène de Bruxelles le secret de la stabilité politique. Tout à coup, toutes les discussions – par ailleurs hors sujet et uniquement médiatiques – sur d’éventuelles élections anticipées s’estompent. On s’y attendait et le chef de l’Etat avait déjà éclairci ce point avant le Sommet européen. Les névroses politiques s’autoalimentent tant qu’un événement ne les fait pas cesser. Cette fois-ci, il y a eu deux raisons, liées par le fil mystérieux des coïncidences. La victoire footballistique de l’Italie sur l’Allemagne et le succès personnel de Monti dans la construction de l’entente européenne : l’un de ces mélanges spéciaux qui apparaissent dans certains moments historiques et marquent des tournants significatifs. La page est maintenant tournée. La législature continuera jusqu’au printemps 2013 et un champ de manœuvre plus vaste s’ouvre pour Monti. On pourrait dire qu’un nouveau gouvernement Monti naît aujourd’hui, sans qu’il y ait eu de remaniement. Il naît des circonstances, puisque la perspective d’avoir quelques mois devant soi renforce l’exécutif. Et parce que tous les partis doivent revoir leurs calculs. Le résultat de Bruxelles impose à l’exécutif d’accélérer les réformes structurelles internes. Monti a été ‘légitimé de nouveau’ par l’Europe et cela représente une injection de confiance qui devrait redonner à son action l’élan de ses débuts. […] »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Deux membres de l'UDC exclus.

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Suisse. Deux déclarations faites par des membres de l'UDC sur Internet et sur Twitter ont retenu l'attention des médias durant les semaines écoulées  Pour l’UDC, des attitudes racistes et xénophobes ne sont pas tolérables. Le parti estime que les auteurs de ces déclarations n'ont pas leur place à l'UDC et que les deux sections concernées ont eu raison d'exiger leur démission ou d'engager une procédure d'exclusion. Ces deux cas montrent aussi que ces nouvelles formes de communication offrent non seulement des chances, mais comportent aussi des risques pour les partis politiques. 

Plus d’informations :  

 

http://www.lematin.ch/suisse/Encore-un-membre-de-l-UDC-qu... 

 

(autre affaire : le politicien UDC zurichois Alexander Müller, qui a envoyé un tweet dans lequel il se demande si une "Nuit de Cristal" contre les mosquées n'est pas souhaitable.)

Roberto Maroni prend la tête de la Ligue du Nord.

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Italie. Roberto Maroni est devenu, lors d 'un congrès qui s'est tenu ce dimanche 1 juillet 2012, secrétaire fédéral de la Ligue du Nord.  

Parlant du sud de l’Italie, Roberto Maroni a estimé que le Nord a « lui aussi une Grèce qui est en train de l' étrangler, une Grèce que nous avons toujours assistée. C'est le moment de dire assez ». Il juge nécessaire de « créer une nouvelle Europe », estimant que « à défaut, il vaut mieux sortir de l'euro ». 

http://fr.euronews.com/2012/07/02/roberto-maroni-prend-la...

Précisions à propos de l'émission d'Emmanuel Ratier sur le livre "Jörg Haider, le phénix."

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Deux petites précisions à propos de l’émission d’Emmanuel Ratier sur le livre « Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche. » qui peut être écoutée sur ce site Internet, juste ici en dessous : 

1/ Lorsqu’Emmanuel Ratier dit « par exemple l’octroi de subventions généreuses aux agriculteurs par l’ÖVP ou bien la garantie d’un statut professionnel protégé pour les ouvriers des entreprises privées pour le SPÖ », il s’agit en réalité des entreprises publiques. 

2/ À propos du décès de Jean-Pierre Stirbois, comme on le comprend par après au sein de l’émission, Roland Hélie m’a bien dit que c’est, selon lui, un accident.

Roland Hélie confirme : 

« Dans cet entretien, notre ami Lionel Baland fait juste un petit lapsus en rapportant mon avis sur la disparition tragique de Jean-Pierre Stirbois. Je précise que, faute de démonstration du contraire, j'ai toujours pensé que celui-ci avait été victime d'un accident. 

Roland Hélie » 

01/07/2012

Audio de l'émission d'Emmanuel Ratier sur le livre "Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche."

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Voici l’enregistrement de l’émission d’Emmanuel Ratier du 27 juin 2012 consacrée au livre « Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche. »


Jörg Haider, le phénix : entretien avec Lionel... par editionsdescimes

Selon Geert Wilders, Mark Rutte est à genoux devant la mafia italienne et espagnole.

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Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders a déclaré lors du débat parlementaire qui a précédé le sommet européen qu’il faut stopper la schizophrénie. Le dirigeant de D66 (Parti libéral de gauche) a introduit une motion demandant que le gouvernement communique « clairement et sans équivoque » dans le futur à propos des décisions européennes importantes. Le président de D66 considère qu’au travers de cette motion soutenue par D66, le PVV, le PvdA (Parti travailliste), le SP (gauche de la gauche) et GroenLinks (gauche de la gauche écologiste), le Premier ministre libéral de droite (VVD) Mark Rutte s’est fait taper sur les doigts.

Geert Wilders a, après le sommet européen, rejeté le fait que l’Espagne et l’Italie reçoivent un soutien financier. Il a écrit sur Twitter que le Premier ministre sortant Mark Rutte est à genoux devant la mafia italienne et espagnole : un soutien de milliards d’euros à leurs banques est possible au travers du MES.

Die Linke conduit la résistance au pacte budgétaire européen et au MES.

Allemagne. Le parti postcommuniste die Linke conduit la résistance juridique contre le pacte budgétaire européen et le MES qui ont été approuvés par le Parlement (Les sociaux-démocrates et les écologistes ont apporté leur soutien à la majorité de centre-droit qui gouverne le pays afin d’obtenir les 2/3 nécessaires. 11 élus de la majorité n’ont pas apporté leur soutien. Les élus de die Linke ont voté contre).

Six plaintes contre le pacte budgétaire européen et le MES ont été introduites devant la Cour constitutionnelle. D’autres sont attendues. 

 

Les 6 plaintes déjà introduites :

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- Groupe du Professeur Schachtschneider

- Le Député CSU Peter Gauweiler

- L’association “Plus de démocratie” avec l’ancienne ministre social-démocrate de la justice Herta Däubler-Gmelin (SPD) et 12.000 cosignataires et l’Alliance des contribuables avec 300.000 membres.

- Le groupe des députés postcommunistes (die Linke)

- Le Député Peter Danckert (SPD)

- 2 citoyens dont le nom n’est pas connu. 

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Sahra Wagenknecht et Gregor Gysi de die Linke.