27/05/2024
Götz Kubitschek réagit à l'expulsion de l'AfD du groupe ID.
Allemagne. L'écrivain et éditeur Götz Kubitschek, qui est très influent idéologiquement au sein de l'AfD, surtout de l'Est du pays, réagit à l'expulsion de l'AfD du groupe ID et à la prise de position de Marine Le Pen :
http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/05/27/i...
Götz kubitschek
22:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD arrive première à Sonneberg lors de l'élection du conseil de district.
Allemagne. Thuringe. District de Sonneberg. En 2023, l’AfD obtenait à Sonneberg un administrateur de district. Elle arrive première en obtenant 34,7 % lors de l'élection du conseil de district.
Die Linke : post-communistes
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
BSW : gauche anti-immigration
Électeurs libres
Pro Sonneberg : sans parti
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/06/26/l-a...)
20:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marine Le Pen appelle Giorgia Meloni à l'union.
UE. Marine Le Pen appelle Giorgia Meloni à l'union.
(https://www.corriere.it/politica/24_maggio_25/marine-le-p...)
19:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le parti de gauche anti-immigration BSW obtient un maire à Bleicherode en Thuringe.
Allemagne. Thuringe. Le parti de gauche anti-immigration BSW obtient un maire à Bleicherode : Robert Henning est élu avec 56,6 % face à la candidate de la CDU.
Robert Henning
"Guerre ou paix ? Vous avez maintenant le choix !"
(https://wahlen.thueringen.de/datenbank/wahl1/wahl.asp?wah...)
15:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Björn Höcke est élu au sein du Conseil de district d’Eichsfeld.
Allemagne. Thuringe. Björn Höcke, la figure de proue de l’AfD en Thuringe, est élu au sein du Conseil de district d’Eichsfeld. De plus, il y obtient le plus grand nombre de voix.
(https://wahlen.thueringen.de/datenbank/wahl1/wahl.asp?wah...)
Björn Höcke
14:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Giorgia Meloni critique les propos du secrétaire de l’Otan Jens Stoltenberg sur l’utilisation d’armes occidentales pour frapper la Russie et assure qu’elle ne démissionnerait pas si elle perdait le référendum sur le "Premierato".
Italie. Revue de presse.
La presse titre largement sur l’entretien de la présidente du Conseil Giorgia Meloni sur la chaine RaiTre, notamment ses propos sur les alliances en Europe et sur le référendum du « Premierato » : « Haute tension sur les élections européennes et les réformes » (Corriere della Sera), « Alliances dans l’UE, les conditions de Meloni [qui s’oppose à une alliance avec les socialistes] » (Repubblica), « Premierato, la prudence de Meloni » (La Stampa), « Meloni freine sur les armes de l’Otan ; référendum : « je ne démissionnerai pas en cas de rejet » » (Messaggero). Les réactions aux déclarations du Secrétaire Général de l’Otan sur l’hypothèse d’autoriser Kiev à utiliser les armes occidentales en territoire russe sont aussi citées : « L’Italie freine Stoltenberg » (Corriere della Sera), « Kiev, le Palais Chigi indique sa ligne rouge » (Giornale), « Stoltenberg : les partis italiens sont divisés, Conte (M5S) alerte sur les risques d’une troisième guerre mondiale » (Fatto Quotidiano), « Meloni critique Stoltenberg et Macron » (Domani).
Les JT couvrent essentiellement la situation au Proche-Orient, avec les raids israéliens sur Gaza qui ont fait 40 morts, dont 2 dirigeants du Hamas d’après Tel-Aviv, ainsi que la guerre en Ukraine, où les combats se sont intensifiés dans la région de Kharkiv, et l’entretien de Giorgia Meloni sur Rai 3, où elle a critiqué les propos du secrétaire de l’Otan Jens Stoltenberg sur l’utilisation d’armes occidentales pour frapper la Russie et a assuré qu’elle ne démissionnerait pas si elle perdait le référendum sur le « Premierato ».
COULISSES, La Repubblica, de C. Tito, « ‘’Une alliance en Europe sans les Socialistes’’ : la promesse est une fake news et la Présidente italienne du Conseil pourrait se retrouver isolée » : « Une majorité au Parlement européen composée de partis de centre-droit est tout simplement une ‘’fake news’’. Giorgia Meloni fait campagne en promouvant son rêve d’une alliance à Bruxelles et Strasbourg qui puisse se passer de la gauche, mais ce n’est que de la propagande à l’approche des élections. Son dernier coup pourrait bien isoler l’Italie de la direction de l’UE. Une coalition de centre-droit en mesure d’élire le président de la Commission européenne est en effet politiquement et mathématiquement impossible. D’après les dernières estimations, le PPE (auquel appartient Forza Italia) devrait conquérir 183 sièges, le groupe des Conservateurs (ECR, auquel appartient Fratelli d’Italia) 86 siège et Identité & Démocratie (avec la Ligue, le RN…) 84 sièges, soit 353 sièges au total sur 720 députés européens (la majorité se situe donc à 361 sièges). Il manquerait donc 8 sièges en théorie sauf que le PPE a déclaré clairement qu’il ne pourrait y avoir aucune alliance avec l’extrême-droite (Ligue, Rassemblement National). De nombreux parlementaires de la droite italienne suggèrent de remplacer les 84 sièges d’ID par ceux de Renew, le groupe libéral guidé par Macron, qui devrait obtenir 86 sièges. Mathématiquement, cela ne suffirait toujours pas à former une majorité, mais surtout, sur le plan politique, les libéraux sont absolument contre toute collaboration avec le groupe ECR. Jeudi dernier Sandro Gozi a été très clair sur ce point. Sans compter qu’une part non négligeable du PPE (partis des pays du Nord, Pologne), ne veulent pas entendre parler d’alliance avec la droite conservatrice. Les Socialistes (PSE) devraient confirmer leur place de deuxième groupe au Parlement européen, avec 140 sièges. Il n’existe donc aucune alliance de majorité viable sans le PPE et/ou sans le PSE. D’où la majorité dite ‘’Ursula’’ basée sur les Populaires, les Socialistes et les Libéraux qui avait élu U. von der Leyen en 2019 et qui remporteraient en juin prochain 409 sièges. Quiconque brigue la présidence de la Commission européenne devra compter sur une coalition entre le PPE, le PSE et Renew, et quelques députés supplémentaires. Le PPE et la présidente sortante candidate à sa réélection ne voudraient impliquer que les parlementaires de Fratelli d’Italia, pas le reste du groupe ECR. Les Socialistes voudraient quant à eux élargir la coalition aux Verts, qui pourraient remporter 48 sièges. L’objectif revendiqué hier par Meloni apparait donc impossible à moins de revirements électoraux peu probables. C’est donc un coup trompeur de la part de la Présidente du Conseil qui pourrait, après le 10 juin devoir livrer ‘’gratuitement’’ ses parlementaires pour l’élection du Président de la Commission, ne pas faire officiellement partie de l’alliance mais ne pas en être exclue non plus. Sa ligne ‘’jamais avec la gauche’’ pourrait isoler l’Italie. Le gouvernement italien nous a déjà habitués à ce paradoxe, la Présidence du Conseil donne son accord mais Fratelli d’Italia refuse ensuite de s’associer à la décision. »
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Guerzoni « La stratégie du Palais Chigi afin d’éviter que l’opposition ne resserre ses rangs » : « Giorgia Meloni veut gouverner au moins jusqu’en 2027 et ne présentera pas sa démission si le référendum sur ‘’la mère de toute les réformes’’ devait être rejeté. Car cette hypothèse avait plané pendant deux jours jusqu’à ce que la Présidente du Conseil n’ait balayé tous les espoirs de ses adversaires, outre les craintes et les doutes au sein même de sa majorité. Et si le référendum devait ne pas passer ? ‘’Tant pis’’, fait-elle savoir. C’est ce qu’elle a dit dimanche à l’émission « in mezz’ora » de Rai Tre, alors qu’au forum de l’Economie de Trente de vendredi elle avait pris de court tout le monde en affirmant ‘’je joue là mon va-tout ‘’, semblant ainsi suivre l’exemple de Renzi et évaluer la possibilité d’une démission en cas d’échec. Or, Meloni n’a aucune intention de jeter l’éponge. Plusieurs personnes lui ont demandé si elle voulait vraiment transformer le référendum sur le Premierato en plébiscite sur sa personne. Elle a répondu ‘’les espoirs de la gauche que je m’en aille avant, en imaginant des scénarii absurdes, sont à la fois amusants et inutiles’’. ‘’Je ferai toutes les réformes nécessaires, puis les Italiens me jugeront à l’issue de ces cinq années de gouvernement’’. La stratégie du Palais Chigi est donc de ne pas transformer le référendum constitutionnel en bataille des batailles, car cela pourrait avoir des retombées graves et favoriser un renforcement des partis d’opposition. Le Palais Chigi doit encore décider si associer ou pas ce référendum aux élections législatives de 2027 ou le faire avant ou après. Meloni doit d’abord remporter les élections européennes. Les choix et les déclarations de ces derniers jours ont laisser filtrer un mélange de confiance et de peur. L’écart entre FdI et le PD se réduit et Meloni fera tout son possible pour que son score lors des élections européennes atteigne les 26% de 2022. Sans le dire ouvertement, elle pense même pouvoir atteindre la barre des 28%. »
Giorgia Meloni
ARTICLE, La Repubblica, G. Colombo « Les coupes prévues pour les municipalités, Giorgetti (Ligue) tente de résister à l’opposition de Fitto (Frères d’Italie) » : « Selon Giorgetti (Ligue), il faut dire les choses telles qu’elles sont car ‘’l’économie est en train de traverser des temps difficiles’’ raison pour laquelle ‘’tout le monde doit faire des sacrifices’’. C’est le bain de réalité que le ministre de l’Economie répète à huis clos au moment où le PD attaque le gouvernement sur ses coupes budgétaires contre les municipalités qui ont reçu plus de fonds du PNRR. C’est, selon le ministre de l’Economie, le seul remède afin d’éviter des coupes sèches. Giorgetti n’a aucune intention de revoir toute la structure du décret co-signé avec son collègue Piantedosi (Indépendant). Pour sa part, le ministre pour le Sud et le PNRR Raffaele Fitto a promis une rencontre avec les municipalités. C’est une tentative cachée pour tenter de modifier ou de raboter le schéma du décret. Par ailleurs, Fitto n’était pas au courant de ces coupes et il l’a appris en lisant les journaux il y a tout juste deux jours. Il doit ainsi se mettre à l’abri et éviter de perdre des points de popularité obtenus avec la révision du PNRR, qu’il a sauvé en trouvant des fonds alternatifs. Les propos de Giorgetti s’adressaient aussi à Fratelli d’Italia. Giorgia Meloni est restée silencieuse, gardant ses distances par rapport aux troubles entre ses ministres après l’imbroglio autour du « redditometro » du vice-ministre de l'Economie Maurizio Leo. Ce dernier a souligné hier que la révision des dépenses était traitée par "un autre secteur du ministère", et non par le sien. Les collègues de FdI, quant à eux, ont nié l'existence des coupes. Une polémique qui serait d’après eux ‘’inventée de toutes pièces par les partis d’opposition pour récolter des voix ", comme l’a déclaré le chef de groupe à la Chambre, Tommaso Foti. Mais les coupes sont pourtant bien là. Il est vrai que les coupes des fonds du PNRR ne concernent pas les infrastructures, c'est-à-dire la construction des crèches, mais elles affectent néanmoins les dépenses courantes que les municipalités ont dû nécessairement augmenter pour couvrir les coûts des services nécessaires au fonctionnement de ces crèches. A treize jours des élections européennes et municipales, une partie de la majorité affiche son opposition à ces coupes. Certains maires de centre-droit ont commencé à faire entendre leur voix auprès des référents nationaux de leurs partis respectifs. Ils craignent des retombées en vue des 8 et 9 juin. Il est assez difficile de convaincre les électeurs de voter pour ceux qui sont en train de demander des sacrifices. »
ENTRETIEN, Corriere della Sera, d’Elly Schlein, secrétaire du Parti démocrate, par M. T. Meli « De cette façon nous risquons de nous retrouver sans ressources ; alerte sur le système sanitaire » : « Le gouvernement de Giorgia Meloni multiplie les coupes budgétaires, cette réduction des ressources publiques à hauteur de 250 millions est gravissime. Proportionnellement, ce sont les communes qui subissent le plus ces coupes, alors mêmes que ce sont elles qui investissent davantage de ressources du Plan de Relance. Les communes risquent réellement de manquer de ressources afin de mener les projets jusqu’au bout, par exemple pour embaucher les personnels nécessaires dans les crèches, les structures d’accueil, le système sanitaire… Giorgia Meloni ment lorsqu’elle affirme que les dépenses sanitaires n’ont pas diminué, ce ne sont pas les valeurs absolues qui comptent mais les investissements en proportion du PIB. Les dépenses de santé devraient atteindre les 6,2% du PIB en 2027, ce qui serait un minimum de ces 20 dernières années. Depuis son arrivée à la Présidence du Conseil, les dépenses de santé ont retrouvé le niveau d’avant la pandémie. Nous voulons amener progressivement les dépenses sanitaires à la moyenne européenne de 7,5% du PIB, et débloquer les embauches dans ce secteur, bloquées depuis 2009 par un gouvernement dont G. Meloni faisait partie. La seule chose concrète qu’elle ait fait est d’ouvrir les cliniques gynécologiques aux associations anti-avortement. Le PD poursuit la bataille sur le salaire minimum car il existe une directive européenne mais l’Italie n’a toujours pas de loi. Un récent rapport de l’ISTAT montre que l’inflation a augmenté de 17% ces trois dernières années et les salaires réels de 4,7%. Pour ma part, je fais tout mon possible pour aller à la rencontre des travailleurs. En Italie, il faut introduire le salaire minimum et lutter contre la précarité que Meloni a fait augmenter et qui touche surtout les femmes. L’autre bataille concerne les investissements communs en Europe, alors que Meloni s’affiche en Europe avec les ennemis de nos intérêts nationaux qui scandaient ‘’pas un centime pour l’Italie’’ alors que son parti s’abstenait sur le Next Generation UE. L’Italie a besoin d’une Europe qui continue à investir pour l’innovation numérique et pour accompagner les entreprises et les agriculteurs vers la transition écologique. La droite fait preuve de ‘’deux poids deux mesures’’ lorsque des enquêtes visent des hommes politiques en fonction. Le président de la région Ligurie, G. Toti devrait démissionner, par correction politique. Meloni confirme son peut de respect pour les institutions. Concernant l’Ukraine, nous soutenons le droit de Kiev à se défendre face à l’invasion criminelle de Poutine qui bombarde sans scrupule des objectifs civils sur le sol ukrainien. Mais cela ne peut se traduire par une entrée en guerre de l’UE contre la Russie. L’UE doit conserver son autonomie stratégique et nous devons concentrer nos efforts sur la conférence de paix qui se déroulera en Suisse à la mi-juin, pas à créer une nouvelle escalade du conflit. »
ENTRETIEN, Il Mattino, d’Antonio Tajani, vice-président du Conseil, ministre des Affaires étrangères et coordinateur de Forza Italia, « [L’Italie fournira] à Kiev les armes pour se défendre, pas pour être utilisées contre Moscou »
ARTICLE, Corriere della Sera, A. Logroscino « Armes, Rome dit « non » à Stoltenberg et appelle à plus de prudence » : « 24 heures après les propos du Secrétaire Général de l’Otan sur la nécessité d’envisager de lever l’interdiction d’utiliser les armes occidentales contre des objectifs russes, Giorgia Meloni se démarque. ‘’Je ne sais pas pourquoi Stoltenberg dit des choses pareilles. Je recommande plus de prudence. L’Otan ne doit pas donner de signes de relâchement et doit maintenir son soutien à l'Ukraine pour qu'elle parvienne à la paix’’. Elle s’alarme aussi sur "d'autres déclarations hasardeuses", avec une référence explicite au président français Macron : "Cela me semble contre-productif", déclare Meloni, "cette histoire alarmante selon laquelle l'Europe est au bord d'un conflit plus large. C’est un jeu irresponsable pour récolter quelques voix de plus". Elle lance ensuite des piques à certains partis italiens, comme son allié de la Ligue ou le M5S, qui en font une bannière électorale. ‘’ Si nous commençons à parler d'une voie diplomatique", explique M. Meloni, à l’émission « In mezz'ora » sur Rai3, "c'est parce que nous avons aidé l'Ukraine. Si nous avions permis la guerre impérialiste russe, alors oui, le conflit se serait rapproché de nous". Les propos de Stoltenberg sont considérés comme "une accélération imprudente" par Deborah Bergamini de FI et provoquent une protestation que la Ligue s'apprête à formaliser : le sénateur Claudio Borghi annonce qu'il proposera une séquence dédiée ou déposera une question parlementaire pour "censurer les propos belliqueux" du secrétaire général de l'OTAN. Son chef Matteo Salvini donne trois possibilités à Stoltenberg : "Soit il se rétracte, soit il s'excuse, soit il démissionne". Puis, comme d'habitude, il simplifie : "Il ne peut pas parler d'utiliser les bombes, les missiles ou les armes italiennes que nous avons envoyées à l'Ukraine pour se défendre, pour frapper et tuer en dehors de ses frontières. Pas en mon nom, pas au nom du peuple italien. Nous devons défendre l'Ukraine attaquée, mais nous ne sommes en guerre avec personne". Le Secrétaire d’Etat à la défense Matteo Perego (FI) confirme la position de son ministre ‘il faut éviter les fuites en avant, avec le risque que le conflit ne s’élargisse. Les décisions pour d’autres actions dans le conflit ne doivent pas être prises unilatéralement, comme le propose Stoltenberg, mais par les pays membres de l’alliance, selon un accord commun’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/05/2024
Lors du premier tour de l’élection directe du maire de Zeulenroda-Triebes, Andreas Stiller de l’AfD arrive premier.
Allemagne. Thuringe. Zeulenroda-Triebes. Lors du premier tour de l’élection directe du maire, Andreas Stiller de l’AfD arrive premier et affrontera au deuxième tour un autre candidat.
Andreas Stiller
(https://www.mdr.de/nachrichten/thueringen/ost-thueringen/...)
22:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Altenburger Land : Heiko Philipp de l'AfD arrive premier lors du premier tour de l’élection de l’administrateur d’arrondissement.
Allemagne. Thuringe. Altenburger Land. Lors du premier tour de l’élection de l’administrateur d’arrondissement, Heiko Philipp du parti nationaliste AfD arrive premier. Il affrontera au deuxième tour le candidat des démocrates-chrétiens de la CDU arrivé deuxième.
Heiko Philipp
21:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW ne négociera pas avec l'AfD dans le Brandebourg.
Allemagne. La coprésidente fédérale du parti de gauche anti-immigration BSW Amira Mohamed Ali a exclu catégoriquement des négociations ou une coalition dans le Brandebourg avec les nationalistes de l'AfD après les élections du 22 septembre 2024 pour le Parlement de l’État de Brandebourg.
Le BSW du Brandebourg désire une politique énergétique différente. Amira Mohamed Ali a évoqué la possibilité de lever les sanctions contre l'importation de sources d'énergie russes : « Les sanctions n’ont pas affaibli l’économie russe, ni la machine de guerre ; elles ont plutôt gravement porté atteinte à l’économie allemande. »
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/25/bra...)
13:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec Enzo Alias, fondateur du réseau Patriots Network.
Monde et France. Entretien avec Enzo Alias, fondateur de Patriots Network, un réseau lancé depuis la France et qui a pour vocation de mettre en relation les patriotes du monde entier :
https://www.breizh-info.com/2024/05/26/233251/rencontre-a...
Enzo Alias
11:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/05/2024
L'UDC lance une initiative "pour la protection des frontières".
Suisse. L'UDC lance une initiative « pour la protection des frontières » :
https://www.rts.ch/info/suisse/2024/article/l-udc-lance-u...
19:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Brandebourg : les nationalistes de l'AfD sont donnés à 25 % et la gauche anti-immigration BSW à 13 %.
Allemagne. Brandebourg. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 25 % et la gauche anti-immigration BSW à 13 % pour les élections pour le Parlement du Brandebourg du 22 septembre 2024. (Seuil électoral à 5 %)
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)
SPD : sociaux-démocrates
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
BVB/FW : Électeurs libres
FDP : libéraux
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
15:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'agresseur au parapluie contre Thierry Baudet ne sera pas jugé.
Belgique et Pays-Bas. L’agresseur, à Gand (Gent) en Belgique, au parapluie pliant contre le dirigeant du Forum voor Democratie Thierry Baudet (Pays-Bas) ne passera pas devant un tribunal. L'agresseur ukrainien s'en sort avec un avertissement et des conditions strictes.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/26/le-...)
14:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L'argent liquide est la liberté !"
Allemagne.
"L'argent liquide st la liberté ! Pensons l'Europe d'une nouvelle façon "
14:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Pour une Europe de nations libres"
Portugal.
"Pour une Europe de nations libres"
13:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Roumanie : l'AUR est donnée à 21 % pour les élections européennes.
Roumanie. Un sondage Sociopoll donne le parti nationaliste roumain AUR, dirigé par George Simion, à 21 % pour les élections européennes. SOS Roumanie est donné à 2 %.
George Simion
13:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/05/2024
Flandre : les nationalistes flamands du Vlaams Belang sont donnés à 26,8 % et ceux de la N-VA à 20,6 %.
Belgique. Flandre. Les nationalistes flamands du Vlaams Belang sont donnés à 26,8 % et ceux de la N-VA à 20,6 %, en Flandre, au sein du Grand Baromètre pour les élections nationales, régionales et européennes du 9 juin 2024.
Vlaams Belang : nationalistes flamands
N-VA : nationalistes flamands
Vooruit : socialistes
CD&V : démocrates-chrétiens
PvdA : gauche de la gauche
Open Vld : libéraux
Groen : écologistes
19:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lulu Ranne prépare des mesures afin de renforcer la sécurité dans les taxis.
Finlande. Le ministre des Transports et des Télécommunications du Parti des (vrais) Finlandais Lulu Ranne prépare des mesures afin de renforcer la sécurité dans les taxis, notamment en augmentant le niveau d’exigence pour les chauffeurs de taxi.
Lulu Ranne
17:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Ursula von der Leyen lance des signaux d’ouverture à Giorgia Meloni."
Italie. Revue de presse.
La presse titre largement sur les suites de l’enquête pour corruption visant le président de la région Ligurie, Giovanni Toti : « Toti auditionné pendant huit heures par le juge » (Corriere della Sera, Repubblica, Messaggero), « Toti rejette toutes les accusations contre lui » (Giornale) « Les 180 questions posées par le juge à Toti » (Mattino). L’hypothèse d’un moratoire sur les constructions abusives fait aussi la une : « Décret sur les maisons, il sera désormais plus facile de régulariser les petits travaux illégaux » (Sole 24 Ore), « Les vérandas aussi figurent dans le moratoire » (Messaggero). Enfin, la mise sous bracelet électronique de la militante italienne Ilaria Salis détenue en Hongrie est aussi citée « Salis est assignée à résidence après 466 jours de prison » (Repubblica, Corriere).
ARTICLE, la Stampa, U. Magri : « Mattarella sur la Constitution : ‘’Elle n’est pas notre passé mais notre avenir’’ » : « ‘Ce n’est pas seulement la Constitution de notre passé, c’est aussi celle de notre avenir’ : ce sont les mots prononcés par l’ancien président du Conseil Giovanni Goria que le président Sergio Mattarella a rappelés hier. Un choix qui n’est certainement pas anodin. Sergio Mattarella, par politesse, n’interfère jamais dans le débat sur la réforme du « Premierato » qui touche pourtant aussi aux pouvoirs du président de la République. Cette neutralité scrupuleuse vis-à-vis de la « mère de toutes les réformes », n’empêche toutefois pas Mattarella de défendre et de louer la Constitution actuelle. Plus que jamais, elle lui apparaît comme juste, comme un texte dont la qualité principale est de pouvoir s’adapter aux différentes époques. Et toujours en citant Goria : ‘’La modernité de notre Constitution et sa capacité à être un point de repère résident dans le débat et les compromis entre forces politiques qui en sont à l’origine’’. Une façon de dire que quiconque souhaite la modifier doit se soumettre au dialogue, rechercher le compromis et le pluralisme politique, car ‘’l’articulation des systèmes sociaux et institutionnels a joué un grand rôle dans la fortification du système démocratique’’. Ces mots ont été prononcés hier à l’occasion du trentenaire de la mort de Giovanni Goria, à Asti, où s’est rendue une foule nombreuse. Il a voulu y aller pour réparer l’injustice faite à cet homme qui fut accusé lors de l’opération anti-corruption « Mains Propres », avant d’être innocenté, mais seulement après sa mort. »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de P. Di Caro, « Ursula von der Leyen lance des signaux d’ouverture à Giorgia Meloni : ‘’ je travaille bien avec elle’’ » : « La campagne électorale du centre-droit s’enflamme et cette fois les polémiques concernent l’Europe, où se divisent aussi bien les familles et groupes politiques européens que la majorité en Italie. Alors que le parti allemand AfD a été exclu du groupe Identité et Démocratie – auquel appartiennent également la Ligue et le Rassemblement National -, Forza Italia réitère son refus net d’une alliance entre le PPE et Marine Le Pen. Au même moment, la Présidente sortante de la Commission et candidate à sa réélection avec le PPE, Ursula von der Leyen, salue Giorgia Meloni avec qui elle a ‘’bien gouverné’’, écartant en revanche une collaboration avec d’autres partis du groupe des Conservateurs mais aussi Marine Le Pen, l’AfD, les conservateurs polonais et d’autres encore. Le groupe I&D a exclu hier l’AfD pour ‘’ne plus être associé aux incidents liés à Maximilian Krah’’, en référence aux propos tenus dans une interview à la Repubblica, affirmant que ‘’tous les SS n’étaient pas des criminels’’. Des propos qui ont suscité l’embarras de son parti, l’indignation en Europe et même la réaction de Marine Le Pen. Mais cette exclusion n’a pas suffi à convaincre Antonio Tajani (Forza Italia) d’envisager une alliance avec la droite : ‘’ce n’est pas la Ligue le problème, c’est que nous ne partageons pas les opinions de Marine Le Pen qui veut pour sa part sortir de l’OTAN. On ne peut pas envisager de gouverner l’Europe si on est contre l’Europe. Marin Le Pen n’est sûrement pas une pro-européenne.’’. Cela n’a pas plu à la leader française : ‘’il est surprenant, compte tenu de son rôle politique, qu’Antonio Tajani ne connaisse pas le premier parti de France. Le RN ne souhaite pas sortir de l’OTAN [de même que] nous ne souhaitons pas détruire l’Europe, cette affirmation est fausse. Nous voulons sauver l’Europe en réorientant les politiques européennes’’. Matteo Salvini répond qu’il y a une ‘entente totale avec Marine Le Pen, […] lorsqu’Antonio Tajani s’en prend à elle, il fait erreur selon moi. Nous travaillons pour unir [la droite]’’ , ‘’et vous pensez qu’il vaut mieux Macron que Le Pen ?’’. Une alliance reste en tous cas possible entre les Conservateurs et les Populaires. C’est ce que souhaite Tajani, alors que Meloni vient pour sa part de rencontrer Marine Le Pen. Ursula von der Leyen parle de Giorgia Meloni avec respect, elle qui est parmi les ‘’pro-européens, contre Poutine et pour l’état de droit’’, ‘’nous pourrons donc travailler ensemble’’ conclue-t-elle. Elle souligne toutefois qu’elle a une ‘’approche complètement différente’’ de celle de Giorgia Meloni sur les droits LGBT. Donc, avec les conservateurs aussi, il faudra décider point par point et rien n’est gagné. Giorgia Meloni reste sur sa position, et selon elle lors de ses élections il faudra voter entre ‘’deux modèles d’Europe, à savoir soit une bureaucratie géante qui prétend réglementer les moindres aspects de notre vie, en ennemi des spécificités nationales’’ soit de l’autre une Europe qui ‘’concentre ses ressources dans les domaines dans lesquels elle peut apporter une valeur ajoutée, comme la politique étrangère ou la sécurité commune, et laisse le reste à la souveraineté nationale’’. »
ARTICLE, Sole 24 Ore, de M. Longo, « Yellen appelle à faire ‘’front uni’’ contre la Chine » : « Il faut lancer un message ‘’clair et uni’’, former un bloc pour s’opposer aux ‘’surcapacités industrielles" de la Chine et le risque de ‘’banqueroute pour les entreprises américaines et d’autres pays’’. La secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen s’est exprimée à la veille du G7 Finances à Stresa. Dans l’après-midi, elle a également rencontré le ministre italien de l’Economie, Giancarlo Giorgetti (Ligue), abordant les mêmes sujets cruciaux. ‘’Nous avons discuté de la question russe et des tensions géo-économiques avec la Chine mais il y a toutefois des sujets qui restent en suspens, comme le premier pilier de la taxation globale’’ a déclaré le ministre italien à l’issue de l’entretien. Janet Yellen souligne que ‘’de nombreux pays sont inquiets de l’évolution des déséquilibres commerciaux’’ et craignent une concurrence injuste des entreprises chinoises subventionnées par l’Etat. Elle rappelle l’importance de ne pas dépendre de la Chine sur des produits stratégiques comme les micro-puces et l’énergie verte. D’où son appel à ‘’présenter un front clair et uni’’ face à la Chine. L’autre grand sujet porte sur la Russie, ‘’des rétorsions ont déjà été mises en place et il y en aura d’autres’’ dit le ministre Giorgetti. ‘’L’activité des banques italiennes, européennes et de toutes les institutions financières travaillant avec la Russie est largement règlementée. Le problème concerne les entreprises qui n’opèrent pas directement mais qui triangulent avec la Russie’’ ajoute le ministre. Sur la question de la triangulation commerciale, Yellen cite à nouveau explicitement la Chine, ‘’source significative de matériau pour la Russie’’ et estime que ‘’les pays du G7 ont les moyens de réduire cet échange commercial’’. La proposition américaine de maxi-financement en faveur de l’Ukraine, probablement à hauteur de 50 milliards de dollars pour cet été, est ‘’discutée dans les grandes lignes afin de trouver un accord bien que les détails n’aient pas encore été définis’’ a expliqué Yellen. Giorgetti a toutefois qualifié la question de ‘’compliquée’’ car il faut ‘’trouver une solide base légale au niveau européen’’, évoquant la possibilité d’un prêt de la part des pays du G7 et d’autres partenaires, point sur lequel le ministre allemand des Finances préfère se montrer prudent. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
"Plus d'Italie. Moins d'Europe. Avec Salvini et [le général] Vannacci."
Matteo Salvini : "Des soldats italiens combattant en Ukraine ? Non, merci."
13:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Ils vont nous entendre."
Espagne.
Santiago Abascal et Jorge Buxadé Villalba : "Ils vont nous entendre."
12:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec le député européen de la Ligue Annalisa Tardino.
Italie. Entretien avec le député européen de la Ligue Annalisa Tardino, qui vient de Sicile :
https://www.breizh-info.com/2024/05/24/233191/tardino-leg...
Annalisa Tardino
07:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rassemblement électoral d'Identité et démocratie à Prague.
Tchéquie et UE. Le groupe Identité et démocratie (ID) a organisé à Prague un rassemblement électoral en plein air auquel ont pris part Tomio Okamura (SPD – Tchéquie), Radim Fiala (SPD – Tchéquie), Gerolf Annemans (Vlaams Belang – Flandre), Udo Landbauer (FPÖ – Autriche), Fabrice Leggeri (Rassemblement national – France), Andrej Damko (SNS – Slovaquie), Martin Helme (Ekre-Estonie).
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Un nouveau groupe réunissant divers partis autour de l'AfD pourrait voir le jour.
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23/05/2024
50 % sont satisfaits et 39 % ne sont pas satisfaits du futur gouvernement néerlandais.
Pays-Bas. Un sondage Ipsos montre que 35 % ont confiance dans le futur gouvernement et 58 % n’ont pas confiance. 50 % sont satisfaits et 39 % ne sont pas satisfaits de ce futur gouvernement.
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Richard van Zwol dispose de cinq semaines pour former le nouveau gouvernement néerlandais.
Pays-Bas. Le formateur démocrate-chrétien (CDA) Richard van Zwol dispose de cinq semaines pour former le nouveau gouvernement néerlandais qui doit regrouper le PVV anti-islamisation, les libéraux de droite du VVD, le Nouveau contrat social NSC et le parti des agriculteurs BBB.
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