Le BZÖ crée une nouvelle section en Carinthie.

Le BZÖ crée une nouvelle section en Carinthie afin de remplacer le BZÖ de Carinthie devenu FPK. Joseph Bucher et Stefan Petzner en assureront la direction tout en conservant leurs fonctions au sein du BZÖ national.

 

Joseph Bucher a réclamé de nouvelles élections pour le Parlement de Carinthie.

BZÖ : l’hémorragie se poursuit.

Deux à quatre députés du BZÖ pourraient quitter le BZÖ en vue de s’allier au FPÖ. Les députés Erich Tadler (Salzbourg), Ernest Windholz (Basse-Autriche) et Robert Lugar (Basse-Autriche) pourraient franchir le pas. Les mandataires concernés ont cependant démenti toute vélléité de quitter le BZÖ.

« Leadership du PdL, Fini prend son élan »

« Leadership du PdL, Fini prend son élan » (Renato Manheimer, Corriere della Sera de dimanche) : « Selon un sondage ISPO pour le Corriere, à la suite de la rencontre Berlusconi-Fini, le président du Conseil (Berlusconi) recueille 58% d’approbation au sein de l’électorat du centre-droit, soit la majorité absolue – surtout parmi les jeunes jusqu’à 24 ans, les femmes au foyer et les habitants du nord de l’Italie – mais Fini recueille 36%, soit plus d’un tiers des votants du PdL, un taux élevé par conséquent – surtout parmi les hommes d’affaires, les employés et les professions libérales. La tendance s’inverse si l’on interroge les électeurs de centre-gauche, parmi lesquels la préférence pour Fini est majoritaire – 58% ; le président de la Chambre l’emporte aussi chez les électeurs se réclamant du centre ‘tout court’ : bref, il semble plus à même d’attirer de nouveaux électeurs. Dans l’ensemble, on note une fracture au sein du centre-droit, qui se divise en deux factions. Cela n’a pas seulement trait au conflit entre les deux dirigeants mais plutôt à une vision d’ensemble différente du programme et des actions à à réaliser, à partir de la question de la justice et du niveau d’immunité à garantir au président du Conseil. Un fossé ‘structurel’ qui marquera sans doute longtemps le centre droit, bien au-delà les régionales – après lesquelles il recommencera à se manifester dans toute son âpreté. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Pays-Bas : manifestation pour la liberté d’expression.

 

Le 20 janvier 2010 sera un jour crucial pour la défense de la liberté d’expression aux Pays-Bas. Le procès de Geert Wilders, le chef de file du PVV, s'ouvrira à Amsterdam. Une manifestation au lieu le mercredi 20 janvier 2010 devant le tribunal.

Autriche : le courant nationaliste est réunifié.

Le congrès du FPK, ancien BZÖ de Carinthie ayant rejoint le FPÖ, a eu lieu aujourd'hui.

 

Josef Bucher, le président national du BZÖ, a récolté 1550 signatures parmi les 5.800 membres du BZÖ de Carinthie devenu FPK afin de réclamer un vote de tous les membres de Carinthie et pas seulement des délégués.

 

Seuls les délégués ont pu voter : 311 des 345 délégués ont voté pour le FPK, qui s'allie au FPÖ.

 

Gerhard Dörfler, le gouverneur de Carinthie (FPK) a déclaré : « nous (FPÖ-FPK) avons la possibilité d’être le deuxième parti d’Autriche. » Il s’en est pris à la presse qui a trainé le parti et sa personne dans la boue.

 

Uwe Scheuch et Gerhard Dörfler : les vainqueurs du jour.

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Les conséquences du congrès :

 

Lors d’un prochain congrès, le FPÖ de Carinthie devrait se dissoudre et intégrer le FPK qui est allié au niveau national au FPÖ.

 

Le BZÖ national devrait créer une nouvelle section en Carinthie pour remplacer le BZÖ de Carinthie qui est devenu le FPK.

 

Le FPÖ-FPK domine le « troisième camp », c’est-à-dire la famille nationale-libérale.

 

Le BZÖ est probablement condamné. Sa principale section, celle de Carinthie, a rejoint le FPÖ, en devenant le FPK. Dans les autres Länder, le BZÖ est pratiquement inexistant. De plus, le BZÖ ne pourra plus atteindre, lors des prochaines élections législatives, la barre des 4% et disparaitra donc du Parlement d’Autriche. Le BZÖ ne dispose pas de beaucoup de moyens financiers.

 

Il reste aux députés du BZÖ qui n’ont pas rejoint le FPK (allié au FPÖ), soit à rejoindre le FPÖ, soit attendre les prochaines élections législatives et disparaître de la scène politique.

 

Le BZÖ dirigé par Joseph Bucher, Stefan Petzner et Ursula Haubner est, probablement, politiquement mort. Le BZÖ peut vouloir continuer à représenter une aile libérale. Mais cette tendance a déjà existé : le 4 février 1993, Heide Schmidt, qui conduit la tendance libérale du parti, quitte le FPÖ. Cette tendance survit ensuite, électoralement, durant quelques temps puis disparaît.

 

Le grand vainqueur est le président du FPÖ Heinz-Christian Strache. Il est l'homme dominant de la famille nationale-libérale et ses adversaires (la soeur de Joerg Haider : Ursula Haubner, le fils spirituel de Joerg Haider : Stefan Petzner et le président du BZÖ : Joseph Bucher) se retrouvent dans un autre parti, le BZÖ, qui n'est pas viable.

"Pour une Carinthie forte. Les libéraux en Carinthie."

La femme d'Uwe Scheuch, le président du FPK, lève le pouce.

Stefan Petzner et Joseph Bucher du BZÖ restent assis.

Gerhard Dörfler, Madame Scheuch et Uwe Scheuch.

Uwe Scheuch est élu président du FPK.

11h30 : Uwe Scheuch (président du FPK) et Gerhard Dörfler (gouvenreur de Carinthie) font leur entrée.

 

Le public se lève pour applaudir Gerhard Dörfler.

 

Pendant qu’Uwe Scheuch salue le public, Stefan Petzner (fils spirituel de Joerg Haider, BZÖ) et Joseph Bucher (président national du BZÖ) font leur entrée.

 

Christian Scheider (maire de Klagenfurt, FPK) déclare que les citoyens ne veulent pas de disputes au sein du parti.

 

Uwe Scheuch remercie Christian Scheider.

 

Une groupe chante des chants de Carinthie.

 

La commission de vote se trouve sous le contrôle d’un notaire.

 

Une vidéo est présentée. On y voit Joerg Haider.

 

347 délégués sont présents.

 

12 h 00 : Gerhard Dörfler parle.

 

12 h 30 : Gerhard Dörfler félicite Stefan Petzner  pour son anniversaire. Les délégués applaudissent.

 

12 h 40 :  Gerhard Dörfler déclare que Stefan Petzner et Joseph Bucher sont ses amis.

 

12 h 50 : le public applaudi Gerhard Dörfler, mais une partie du public ne l'applaudi pas.

 

12 h 50 : Uwe Scheuch reprend la parole.

 

14 h 00 : Joseph Bucher tient un discours.

 

14 h 15 : discours de Stefan Petzner.

 

14 h 45 : Sigisbert Dolinschek, un député national resté au BZÖ parle.

 

15 h 20 : le vote commence. Le vote a lieu alors qu'il n'y a pas d'autre candidat. Le vote n'est pas secret.

 

Peu avant 16 h :  Uwe Scheuch est élu par 311 sur 345 délégués, président du FPK. Il accepte le poste de président.

 

Vers 17 h : les vice-présidents du FPK sont élus : Dörfler (96,6 %), Dobernig (96,9 %), Lobnig (96,6 %), Ragger (96,9 %), Warmuth (91,2 %), Strutz (83,9 %). Tous acceptent la fonction. Uwe Scheuch déclare : « C’est mon équipe. »

FPK/ex-BZÖ de carinthie : photos de l'entrée du congrès.

La salle où le congrès a lieu. "Bienvenue au 28ème congrès ordinaire du parti du Land."

Stefan Petzner (BZÖ). "Cher Joerg (Haider), aides-nous à chasser ces traitres."

Des opposants à l'ensemble des nationalistes.

Congrès du FPK, ancien BZÖ de Carinthie, ce samedi.

Le congrès du FPK, ancien BZÖ de Carinthie, débute ce samedi à 10h du matin, par un concert. Etant en contact avec une personne qui participera à l'événement, je tenterai de relayer, sur ce blog, les informations en provenance du rassemblement durant l'après-midi.

L'événement joue un rôle considérable dans l'histoire du "Troisième camp", c'est-à-dire la famille politique nationale-libérale en Autriche.

Rencontre Berlusconi-Fini.

« Une paix intéressée en pensant aux régionales et aux enquêtes sur le président du Conseil » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Après la rencontre Berlusconi-Fini, on a la sensation que, malgré les rancœurs accumulées entre eux ces derniers mois, ils mesurent la nécessité d’une trêve, et pas seulement dans la perspective des régionales. La stratégie berlusconienne comporte un aspect fondamental : l’issue favorable du débat parlementaire sur le procès court. Pour Berlusconi, le fait que Fini soit disposé à ne pas le bloquer, même si quelque doute demeure, prouverait que ses critiques des derniers mois contre le gouvernement n’étaient pas des actes de sabotage. La thèse selon laquelle Fini voulait seulement revendiquer l’autonomie de la Chambre semble désormais acceptée par Berlusconi, ce qui laisserait augurer un compromis sur le procès court. Entre anciens d’AN et berlusconiens, les commentaires diffèrent légèrement : les premiers se montrent prudents, ne voulant pas que la paix paraisse suspecte ; les seconds la qualifient clairement de positive. Dans les rangs berlusconiens, quelque agacement s’exprime quant à l’attitude ambivalente de l’UdC de Casini, bien sûr, mais aussi quant au choix de présenter Renata Polverini dans le Latium. On ne sait si la trêve entre les deux fondateurs du PdL tiendra mais cette rencontre pourrait impliquer quelque chose de plus qu’une réconciliation forcée entre Berlusconi et Fini : peut-être la fin d’une longue offensive partie de l’intérieur du centre-droit, outre celle de l’opposition, qui a par moments placé le gouvernement en équilibre précaire. Le déjeuner avec Fini, en qui l’opposition voit un allié potentiel contre Berlusconi, symbolise la crise de cette stratégie. En fait, cette approche avait tourné court dès le 13 décembre, à peine lancée au visage de Berlusconi la statuette du Duomo de Milan. Cela ne veut pas dire qu’au sein du PdL les polémiques disparaîtront ; mais le décor dans lequel elles s’insèrent a changé. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Scission au sein du BZÖ de Vienne.

Autriche. Vienne. Suite à la scission du BZÖ de Carinthie devenu FPK, un groupe de membres du BZÖ qui gravitent autour de l’élu de conseil de quartier de Vienne Joerg Schimanek (le seul conseiller de quartier que le BZÖ possède à Vienne) a décidé de quitter le BZÖ. Les personnes concernées sont favorables à la réunification de la famille politique nationale-libérale. Le groupe qui fait sécession se présente en tant que direction légitime du BZÖ de Vienne.

 

Le BZÖ a répliqué que Joerg Schimanek n’est pas membre du BZÖ de Vienne.

 

Les partis libéraux en Allemagne et en Autriche.

Voici un article intéressant de Marianne sur les partis libéraux en Allemagne et en Autriche : http://www.marianne2.fr/L-Allemagne-tournez-encore-a-droi...

Geert Wilders débouté.

Pays-Bas. Geert Wilders, le chef de file du PVV, doit comparaître le 20 janvier 2010, lors d’une audience préalable à son procès, devant une juridiction d’Amsterdam.

 

Geert Wilders a introduit un recours contre les poursuites dont il fait l’objet. Le tribunal a débouté, ce mercredi, Geert Wilders.

Mercredi 17 février 2010 : mercredi des Cendres du FPÖ.

Le mercredi 17 février 2010 aura lieu, à Ried im Innkreis, le traditionnel mercredi des Cendres du FPÖ . Le mercredi des Cendres marque la fin du carnaval.

Photos de la rencontre de la nouvelle année du FPÖ.

La revue du FPÖ « Neue Freie Zeitung » présente des photos de la rencontre de la nouvelle année du FPÖ du 10 janvier 2010 à Vienne.

« Déclaration de combat contre les rouges (sociaux-démocrates du SPÖ) et les noirs (conservateurs de l’ÖVP). »

« L’Autriche pour HC. HC pour l’Autriche.»

Christoph Blocher: «l’UDC veut dépasser les 30%».

Christoph Blocher, l'homme fort de l'UDC Suisse (29%, premier parti du pays), donne une interview au quotidien "24 heures".

 

Voir l'interview : http://www.24heures.ch/actu/suisse/udc-veut-depasser-30-2...

 

(Le Conseil national est la chambre basse de l'Assemblée fédérale suisse. Il représente le peuple suisse et compte 200 députés.)

Pro NRW : rassemblement européen dans la Ruhr, du 26 au 28 mars 2010.

Le rendez-vous pour la marche de pro-NRW (Pour la Rhénanie du Nord-Westphalie) sur la grande mosquée de Duisbourg et l’organisation d’une Conférence européenne sur l’interdiction des minarets doit avoir lieu du 26 au 28 mars 2010. Une réunion de responsables de partis patriotiques de Suisse, Suède, Autriche, Flandre (Belgique), Royaume-Uni, des Pays-Bas, de Tchéquie, de Hongrie, du Danemark, de Norvège, ainsi que des États-Unis, aura lieu le 27 mars 2010 dans une des villes de la Ruhr. La conférence aura lieu dans le cadre d’un congrès de pro NRW auquel les délégations étrangères participeront en tant qu’invité. Le lieu est déjà réservé et loué par pro NRW.

Berlusconi a toutes les cartes en main pour gouverner.

« Fini : ‘la légitimité ne vient pas seulement des urnes’. Bonaiuti réplique : ‘Berlusconi a toutes les cartes en main pour gouverner, sondages inclus’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) : « La position de Fini sur le décret visant à bloquer les procès du président du Conseil est équilibrée et en ligne avec celle du Quirinal afin d’éviter des courts-circuits institutionnels. En intervenant hier à la table ronde sur l’évolution de la législation, le président de la Chambre a cependant envoyé un signal précis : ce n’est pas le gouvernement qui dicte au Parlement son ordre du jour. Il a rappelé la nécessité d’un ‘dialogue quotidien’ entre gouvernement et Parlement de sorte que les initiatives politiques de l’exécutif et de sa majorité ‘deviennent, comme prévu par la Constitution, politique nationale.’ Tout en démentant l’existence de tensions entre Berlusconi et Fini, le porte-parole Paolo Bonaiuti a rappelé le taux de popularité (‘plus de 60%’) du président du Conseil ‘qui a toutes les cartes en main pour gouverner.’ Quoi qu’il en soit, le décret prévu pour ajourner les procès de Berlusconi, bien qu’entrant immédiatement en vigueur, devra passer par le Parlement. Fini se prépare tandis que certains parlent déjà de ‘vote de confiance.’ »

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(Traductions : ambassade de France à Rome.)

Geert Wilders : « Le système juridique nord-coréen est meilleur que celui des Pays-Bas. »

 

Geert Wilders est pousuivi aux Pays-Bas pour son film anti-islamisation « Fitna ». Il a déclaré que « Le système juridique nord-corén est meilleur que celui des Pays-Bas. ».

Geert Wilders dit qu’il est poursuivit sur ses idées politiques. Un journaliste lui a demandé s’il pense que son procès sera indépendant. Il a répondu « Nous le verrons. Jusqu’à présent, il s’agit d’un procès politique. C’est terrible.»

Uwe Scheuch garanti que le congrès du parti sera conforme aux statuts.

Uwe Scheuch, le président du FPK, ancien FPÖ de Carinthie qui a fait sécession et s’est rapproché du FPÖ, a donné ce mercredi une conférence de presse.

 

Uwe Scheuch a garanti que le congrès du parti sera conforme aux statuts. Un notaire sera présent.

 

Scheuch a expliqué comment la coopération entre le FPÖ et le FPK peut avoir lieu : lors des élections nationales, le parti se présentera sous l’étiquette « Freiheitliche Partei Österreich/Freiheitliche Partei in Kärnten » (FPÖ/FPK). Lors des élections pour le Parlement de Carinthie et les élections municipales, le parti pourra se présenter sous l’étiquette « Freiheitlichen in Kärnten » (Les libéraux en Carinthie).

BNP : campagne pour le rapatriement des troupes anglaises d’Afghanistan.

Le 15 janvier 2010, le BNP donnera une conférence de presse. La campagne pour le rapatriement des troupes anglaises d’Afghanistan sera lancée. Le BNP rend honneur aux sacrifices des troupes au cours de ce conflit, mais est opposé à l’intervention en Afghanistan.

 

La conférence de presse marquera également le lancement de la campagne pour les 3 sièges parlementaires à Stoke-on-Trent ainsi que pour emporter plus de sièges au Conseil municipal de Stoke-on-Trent lors des élections locales qui auront lieu le 6 mai 2010.

Le BNP détient déjà 9 sièges au sein du Conseil municipal de Stoke-on-Trent.

"Supportez nos troupes. Ramenez nos garçons à la maison."

Le BZÖ a donné aujourd’hui une conférence de presse.

 

Le président du BZÖ, Joseph Bucher, s’attend à ce que le congrès du FPK, ancien BZÖ de Carinthie qui a fait sécession et s’est allié au FPÖ, qui doit avoir lieu samedi prochain, fournisse des résultats manipulés. Le président du BZÖ réclame le plein éclaircissement du pacte entre Uwe Scheuch et Heinz-Christian Strache et le vote de tous les membres du parti, et pas seulement des délégués. Le BZÖ prétend que les cadres de Carinthie devront voter sans connaître l’ensemble des dispositions de l’accord entre Uwe Scheuch et Heinz-Christian Strache.

 

Le président du FPK, Uwe Scheuch, a parlé de campagne de désinformation tentant à discréditer le FPK.

Dernières nouvelles d'Italie.

Entretien avec Claudio Scajola, ministre du Développement, dans La Stampa – « Dégrèvements fiscaux pour les jeunes qui reviennent travailler dans le Sud. Le Mezzogiorno est une priorité absolue, le Plan du gouvernement à cet égard sera présenté très vite » : « Le ‘Plan pour le Sud’ est pratiquement prêt, c’est une question de jours. Le Ministre Scajola explique que l’objectif sera d’inciter les jeunes diplômés qui ont ‘fui’ vers le Nord ou à l’étranger de revenir au Sud. Pour les convaincre, les techniciens des ministères pensent à mettre en place des dégrèvements fiscaux. »

 

Entretien avec Italo Bocchino, vice-chef du groupe PdL à la Chambre, dans La Repubblica – « Si le couple Berlusconi-Fini se sépare, tout le parti tombe à l’eau » : « Ceux qui pensent que Berlusconi peut se passer du co-fondateur du PdL se trompent. Ce serait une grave erreur car tout le projet et tout le parti tomberaient à l’eau. L’article de Feltri est inacceptable, il n’y a aucune comparaison possible entre Fini et Di Pietro. Le journal du Président du Conseil n’a rien de mieux à faire que de tirer sur ses alliés et lorsqu’il invite à ne pas voter pour R. Polverini, c’est incompréhensible. Nous devons nous unir pour faire régner l’harmonie entre les deux leaders et nous devons tout faire pour discuter des réformes avec le PD à partir du projet Violante. »

 

Entretien avec R. Maroni, ministre de l’Intérieur (Ligue du Nord), dans Il Sole 24 Ore – « L’attentat contre le Parquet de Reggio est un acte de terrorisme mafieux » : « ‘Il faut exporter dans toute la Calabre le ‘modèle Caserta’ contre la criminalité organisée. Accélérer le plan extraordinaire anti mafia, qui sera présenté en Conseil des ministres d’ici janvier. En Lombardie, feu vert à la section spéciale de la Commission des grands chantiers, pour lutter contre les infiltrations de la ‘ndranghheta (mafia calabraise) à l’Expo de Milan’. Mais la réponse du ministre à la bombe qui a explosé dimanche devant le parquet de Reggio en Calabre est de ‘créer dans cette même ville, le siège de l’Agence nationale pour la gestion des biens confisqués à la mafia’. »

 

« Stratégie de la tranquillité pour dissimuler le conflit entre Berlusconi et Fini » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Berlusconi a fait savoir qu’il est en forme, qu’il va revenir et mener à bien les réformes. Ce qui est frappant, ce ne sont pas ses objectifs – que nous connaissions déjà – ni le fait qu’il est prêt à agir sans l’opposition : le vrai message, c’est l’image d’harmonie et de normalité qu’il veut donner d’un PdL plein de tensions. Berlusconi ne parle ni de Fini ni de la Ligue. Il veut offrir l’image d’un parti qui ne correspond pas à la réalité, mais qui est celui que le Cavaliere et ses électeurs voudraient. Un ‘parti de l’amour’ en opposition à ceux qui ‘diffusent la haine’. C’est le mot d’ordre. Le Palais Chigi, voyant dans les manœuvres finiennes une tentative de saboter le gouvernement, essaie, en le délégitimant, de le pousser en marge de la majorité. Les prises de position de Fini en matière d’immigration, d’éthique, de justice, de réformes institutionnelles et de rapport avec la gauche, sont perçues comme des hérésies que Berlusconi supporte de moins en moins. L’avantage du centre droit sur le centre gauche pour les régionales pourrait pâtir de ce climat. Berlusconi en est conscient. C’est pour cela qu’il distribue des ‘pilules tranquillisantes et évite d’alimenter la polémique. Pour le moment du moins. »

 

Entretien avec G. Tremonti, ministre de l’Economie, dans Il Messaggero – « Les politiques sociales du gouvernement ont fait cesser l’anti-berlusconisme » : « Du point de vue de G. Tremonti, revenant sur vingt mois de parcours à la veille du rendez-vous des Régionales, les politiques économiques de l’exécutif ont tari la source de l’anti berlusconisme politique. ‘Si la gauche s’occupe de mettre sur pied une coalition contre une personne, elle échouera encore une fois. En 2013, le successeur de Berlusconi sera Berlusconi. Nous avons subordonné toute notre action à sa compatibilité avec la situation économique. Nous avons eu la chance d’anticiper la crise ; notre priorité a donc été la conservation de l’Etat-Providence.’ »

 

« ‘Bocchino à la place de La Russa’, le prix à payer en échange de la paix Fini-Berlusconi » (Amedeo La Mattina, La Stampa) : « Fini, en tant que co-fondateur du PdL, garantit l’alliance avec Casini pour la candidature de Polverini dans le Latium. Une manœuvre lui permettant de démontrer qu’il n’est pas du tout isolé, comme voudrait le faire croire Il Giornale de Feltri. Grâce aux candidatures qu’il a proposées, il a réussi à récupérer l’UDC. Ce qui n’a pas été vraiment apprécié par le Cavaliere à la veille de leur entrevue, prévue la semaine prochaine. Pour Cicchitto, Fini ne peut pas s’attribuer seul le mérite de cette alliance, qui revient à tout le PdL, mais Bondi souligne que le plus important c’est que le PdL soit uni et que la victoire électorale cimentera les rapports entre Fini et Berlusconi. Fini désire obtenir le remplacement de La Russa, à la coordination du PdL, par Bocchino. Berlusconi sait que cela pourrait créer des problèmes avec les anciens dirigeants d’Alliance nationale, La Russa, et également Gasparri, mais il semble prêt à tout pour récupérer le président de la Chambre avant de se lancer dans la campagne électorale, toute son armée unie à ses côtés. Il sait aussi qu’il ne peut pas se permettre des surprises lorsque la loi sur le ‘procès court’ et l’’empêchement légitime’ sera présentée au Parlement ».

 

Entretien avec R. Maroni, ministre de l’Intérieur, dans Il Messaggero – « Que Rosarno nous serve de leçon, il faut stopper le travail au noir » : « Le ministre de l’Intérieur veut responsabiliser les associations de catégories et les entrepreneurs. ‘Nous ne devons plus accepter le travail au noir. La loi Biagi a défini les règles du travail saisonnier et les entrepreneurs doivent appliquer la loi. Il se peut que la mafia calabraise soit derrière les événements de Rosarno mais laissons aux enquêteurs le temps de vérifier. Les immigrés en règle pourront aller où ils veulent et retourner à Rosarno s’ils le désirent. Un grand nombre de clandestins est présent en Italie et nous continuerons la politique des rapatriements. Parmi les points du programme 2010 de la lutte contre la mafia, il y a le code anti-mafia – toutes les lois approuvées depuis 65 ans et mises à jour - et l’Agence pour la gestion des biens séquestrés à la mafia. Le troisième point vise à augmenter la capacité opérationnelle du ‘super parquet national anti mafia’ dirigé par le procureur Pietro Grasso. Depuis que nous sommes au gouvernement, nous avons arrêté 8 mafieux par jour et 20 des plus dangereux, dont 11 en Calabre. Nous avons confisqué leurs biens à hauteur de 7Md€. Aucun gouvernement n’en a encore fait autant. »

 

Entretien avec Silvio Berlusconi, président du Conseil, dans La Repubblica de samedi – « Dans la réforme fiscale il n’y aura que deux taux d’imposition » : « 2010 sera l’année de la réforme fiscale, comme nous l’avions préparée en 1994, de la réforme de la justice et des institutions. Dès lundi, je me remettrai au travail. J’ai l’intention de rencontrer le Président de la République, les ministres, les groupes parlementaires et tous les leaders de la majorité. Le dialogue avec l’opposition n’est pas le problème, le problème ce sont les réformes. En 2010, nous sortirons définitivement de la crise, mais nous devons procéder avec prudence. Chaque année nous avons 8Md€ d’intérêts passifs. Un chiffre impressionnant. Nous ne reviendrons pas en arrière. Mais j’en ai peut-être trop dit. »

 

Entretien avec I. La Russa dans le Corriere della Sera – « Plus d’équilibre, assez des tirs amis » : « I. La Russa, ministre de la Défense et l’un des trois coordonnateurs du PdL, a une idée très claire des priorités de la rentrée pour son parti. ‘A la veille des élections, nous devons consolider les équilibres internes et donner une nouvelle cohésion au PdL, pour gagner le plus de régions possibles. Pour ce faire, il faut mettre fin au tir ami qui a alimenté les polémiques des derniers mois. La rencontre entre Fini et Berlusconi ne sera pas un second Yalta : il ne s’agit pas de se répartir les pouvoirs et les territoires, mais de construire un équilibre. En ce qui concerne les réformes, si l’opposition renonce à la tentation de la voie judiciaire, nous serons là pour les écouter’. »

 

(Traductions : ambassade de France à Rome)

Video de la rencontre de la nouvelle année du FPÖ.

Voici une video de la rencontre de la nouvelle année du FPÖ: http://www.youtube.com/watch?v=a6YxFsRSUMo

« Aujourd’hui, c’est le signal de départ pour les élections à Vienne. »

Harald Vilimsky, le secrétaire général du FPÖ, a ouvert la rencontre de la nouvelle année 2010 du FPÖ, qui a eu lieu au hall des foires de Vienne, par cette déclaration : « Aujourd’hui, c’est le signal de départ pour les élections à Vienne. »

 

Le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache,  a fait son entrée sur la scène alors que résonnait la musique Carmina Burana de Carl Orff.

 

Heinz-Christian Strache a parlé de la prochaine élection présidentielle. Il a déclaré que le FPÖ doit éviter qu’il n’y ai qu’un candidat, l’actuel président social-démocrate d’Autriche.

 

Pour les élections à Vienne, la devise « Raus mit Häupl, rein mit HC Strache » (« Häupl dehors, pur avec Strache », Häupl étant le maire social-démocrate de Vienne) a été mise en avant.

 

Uwe Scheuch, le président du FPK, n’était pas présent. Il a déclaré que « le FPK n’est pas présent parce que le FPK est un groupe indépendant. »

Par contre, le FPÖ de Carinthie était présent.

2500 personnes se trouvaient dans la salle.

BNP : 175.000 documents à distribuer.

Un des avantages concrets que le BNP a gagné à travers l’élection de ses deux députés européens est la possibilité pour le parti de disposer de moyens financiers d’un montant de 40.000 euros par an afin de promouvoir le travail des deux députés européens au sein de leur région.

175.000 documents, en vue de faire la promotion du travail des deux députés du parti, ont été imprimés par le BNP afin d'être distribués.