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11/01/2018

"Danger de chaos en Italie : la grande peur de l’Europe."

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Italie. Revue de presse.

Campagne électorale – Unes : « Les USA accusent la Russie d’avoir financé la Ligue » (La Stampa). 

COULISSES, A. D’Argenio, Repubblica, « Danger de chaos en Italie : la grande peur de l’Europe – le populisme du M5S et celui de la Ligue agitent Bruxelles avec les craintes d’une longue phase d’instabilité post-électorale. Les inconnues sur l’économie – La contremesure, en cas d’arrivée au gouvernement d’un Premier ministre anti-européen pourrait être une mesure d’infraction».

ARTICLE, Il Messaggero, « La stratégie du M5S est celle de cacher la réalité de la situation à Rome pour préserver la partie des élections » : « Sur le chapitre déchets, qui envahissent la capitale, Di Maio et Di Battista, du Mouvement 5 étoiles, évoquent des complots de leurs adversaires. »

ENTRETIEN de Dario Franceschini, ministre de la Culture : « Campagne erronée : il y a la grande escroquerie des candidats à la présidence du Conseil  » (Corriere della Sera) : « ‘‘ Le défi des candidats à la présidence du Conseil est vraiment la ‘’grande escroquerie de la campagne électorale’’. En effet, aujourd’hui le système est devenu tripolaire, la nouvelle loi électorale, le ‘’ Rosatellum’’, conduit à une concurrence parmi les partis et à la construction des alliances après les élections et donc l’ancien schéma est dépassé. Le PD est en train d’expier la vague populiste européenne. Mais la mobilisation pour les élections est forte ‘’ ».

ARTICLE, Il Mattino : « Berlusconi : ‘’Il faut abolir le Jobs act. C’est un échange dur mais après il y repense » : « Le Jobs act est entré dans la campagne électorale. Silvio Berlusconi a annoncé qu’il faudra considérer l’abolition de la réforme du travail, mais tout de suite après il y a repensé en affirmant qu’il s’agit simplement d’une réforme ‘’qui a échoué’’. Berlusconi a déclaré que ses mots ont été mal interprétés car cette réforme n’a pas aidé les entreprises et n’a créé que des contrats à durée déterminée. De nombreuses réactions ont suivi ses déclarations : Poletti, ministre du Travail, a affirmé que l’abolition de cette loi serait une grave erreur et Renzi a réagi avec humour : ‘’Abolir le Jobs act ?  Le Nord-Est sera content !’’».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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