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19/02/2013

Sénat : le Vlaams Belang demande un débat.

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Belgique. Suite à l’affaire de la surveillance par la Sureté de l’État des contacts de députés, il apparaît selon le Vlaams Belang que la surveillance actuelle du travail de la Sureté de État par le Comité parlementaire I n’est pas satisfaisante. De plus, seuls quatre partis (Parti social-chrétien flamand CD&V, parti national-centriste flamand N-VA, parti socialiste francophone PS et parti libéral francophone MR) sont représentés au sein de ce comité, et les autres partis ne reçoivent pas d’informations à propos de ce qui se passe à l’intérieur du Comité I.

Le Vlaams Belang est partisan de la suppression complète de la Sureté de l’État mais est conscient que ce n’est pas possible tout de suite par manque d’une majorité allant dans ce sens au sein du Parlement. Tant que la Sureté de l’État existe, le Vlaams Belang estime que le minimum absolu est que le contrôle de la Sureté de État soit renforcé et que chaque parti politique présent au Parlement ait au moins un membre au sein de l’organe de contrôle. Des mesures complémentaires doivent être prises afin d’assurer un contrôle efficace tout en gardant peut-être une certaine condidentialité.

La Sénatrice Madame Anke Van dermeersch a demandé par écrit au président du Sénat un débat sur la question.

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