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07/12/2021

"Di Maio : le centre-droit est divisé au sujet du Quirinal. Berlusconi fait les louanges du M5S."

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Italie. Revue de presse. 

À la une de la presse italienne ce matin, on souligne la montée de la tension entre le gouvernement et les syndicats sur la loi de finances et l’annonce par les principales organisations d’une grève générale le 16 décembre : « Le monde syndical défie Draghi » - Grève générale annoncée par la CGIL et l’UIL pour le 16 décembre contre les arbitrages du gouvernement sur le budget. La CISL reste en retrait. Pour le palais Chigi, ce choix est absolument injustifié (La Repubblica). « La grève générale de la CGIL et de l’UIL déconcerte le gouvernement » (Il Messaggero), « Les syndicats divisés annoncent une grève générale, la colère du gouvernement » (Corriere della Sera), « Les syndicats défient Draghi : c’est la grève » - Ils défileront le 16, mais la CISL se défile ; pour le premier ministre, ce mouvement n’est pas motivé ». La presse titre également sur les suites de la mise en place depuis hier de l’obligation de présentation des pass sanitaires dans les transports : « Sur le pass sanitaire, il n’y aura pas de dérogations », le gouvernement répond aux régions sur les contrôles des pass des étudiants (Corriere della Sera). « Super green pass, des contrôles à la chaine » (Il Sole 24 Ore), « De faux pass en cadeau à noël, l’enquête de la police postale, des QR codes contrefaits mis en vente pour 100 euros ». (Il Messaggero).

 

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COMMENTAIRE de Massimo Franco, Corriere della sera, « Les ambiguïtés des relations entre la gauche et les proches de Grillo » : « Livrer le siège de Rome – où le PD gagne depuis toujours – à Conte devait être la sublimation de l’alliance entre le PD et le M5S et garantir un certain contrôle des parlementaires 5 étoiles à la veille des élections du Quirinal. Jusqu’à hier matin, il semblait que l’accord n’attendait que les ultimes détails. Mais dans les heures qui ont suivi, les complications sont survenues et les ‘doutes’ de Conte se sont transformées en ‘’non’’.  Cette affaire permet de souligner les ambigüités qui existent entre la gauche et le M5S. Alors que l’ancien Président du Conseil essaye de cultiver son alliance avec le PD, des manœuvres pour s’accaparer des sous-groupes au sein du M5S surgissent de tous côtés. Hier, Berlusconi a reconnu au M5S d’avoir permis à un malaise social de s’exprimer et que celui-ci mérite du respect. Il a même rapproché le M5S de FI, qui serait également né en réaction à une ‘’certaine politique’’. En somme, le Cavaliere se présente comme celui qui, depuis 1994, s’engage dans une refondation du système. Mais le problème est que tout cela appartient au passé : entretemps, FI a considérablement réduit sa base et a été l’une des voix les plus critiques envers le M5S, accusé de tous les maux. Mais il est aussi possible que Berlusconi compte sur le fait que le M5S lui-même ait changé et vieilli. Il s’est essoufflé et a perdu des voix. Et le désespoir est tel qu’il n’exclut plus personne. »

ENTRETIEN, La Stampa, de Matteo Renzi, dirigeant du parti « Italia Viva », "Conte manque de courage, il craint l'épreuve du vote. Nous avons maintenant besoin d'un pôle centriste" : « Connaissant son manque de courage légendaire, je ne suis pas surpris que Giuseppe Conte renonce à se présenter (au siège laissé vacant par Gualtieri, du PD, ndlr). C'est un homme qui vit des sondages mais terrorisé par l’idée de se mesurer aux citoyens. Il vit de likes, mais il craint le vote. Pour ma part, je dis non aux alliances avec les souverainistes et les populistes parce que je pense que le peuple réformateur obtiendra un résultat décisif pour gouverner. Pas seul, bien sûr. La même chose se produit un peu dans toute l'Europe. Notre modèle, c'est Macron, pas Le Pen ou Hidalgo, pour le dire en français. Peut-être qu'avec les cinq étoiles nous gagnons quelques circonscriptions. Mais l'Italie perd. L'expérience populiste et souverainiste a échoué. Le PD devrait essayer de gagner les élections en prenant la tête du pôle réformiste comme nous l'avons fait en 2014, en obtenant 41%. Aujourd'hui, il me semble qu'ils se contentent de la moitié de ces votes. Et qu'ils courent après les étoiles filantes du M5S. Je suis favorable au dialogue avec tous les partis sur l’élection au Quirinal, de Meloni et Salvini aux joueurs dissidents : on choisit l'arbitre ensemble. Ce pôle réformateur doit être représenté aux élections. Le peuple du bon sens doit devenir un pôle politique. Ce n'est pas facile, mais je donnerai un coup de main dans un esprit d'équipe. Pour ma part, je pense que, Draghi ou pas Draghi, si les leaders des partis veulent des élections - et ils les veulent même s'ils ne le disent pas -, il y a un risque de vote en 2022. Aussi parce que Conte ne tiendra pas jusqu'en 2023, que Letta doit tenir un congrès, et Meloni perd des voix dans les sondages. Nous verrons, nous sommes prêts de toute façon. »

ARTICLE, La Repubblica, de Gianluca di Feo, « Un navire italien en Libye transportant une unité ‘’anti-passeurs’’ » : « S’agissant d’une opération secrète, toute annonce avant qu’elle n’ait été menée à bien a été évitée. Pourtant, une photo a été publiée sur twitter : l’image d’un grand navire militaire italien dans un port libyen. D’après La Repubblica, il s’agit du ‘San Giorgio’ à Tripoli pour une mission bien spéciale. Une centrale mobile pour la coordination des secours en mer a été envoyée au gouvernement libyen : une série de containers avec des terminaux informatiques et des équipements radio de dernière génération dans le but d’ ‘’élever le niveau de sécurité de la navigation en Méditerranée et en particulier dans le canal de Sicile’’. Il prêtera main forte à la Garde côtière de Tripoli dans ses interventions, notamment pour lutter contre l’immigration clandestine. La centrale a été financée par l’UE dans le cadre d’un accord géré par le ministère italien de l’Intérieur. Elle marque la reprise des initiatives européennes et italiennes en Libye, à quelques jours d’élections qui seront décisives pour le pays. Lorsque notre marine avait quitté Tripoli, Ankara avait consolidé son influence dans la région. Mais les choses commencent à changer et notre diplomatie a joué un rôle clef, pouvant servir de prémisses pour repousser l’activisme turc en Libye. Les activités de la Garde côtière libyenne font toutefois l’objet de nombreuses accusations de la part de ONG dénonçant les traitements inhumains des migrants bloqués en mer. Le Parlement européen suit donc cette initiative avec attention. La Commission voit cette centrale comme le point de départ d’une réforme des interventions libyennes en mer, qui prévoit aussi des entraînements menés par l’Italie pour les officiers. Mais sans une action d’ampleur et organique, il restera difficile de protéger les droits des migrants. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Interview par Lionel Baland du député européen RN Julie Lechanteux à propos de "Les Femmes avec Marine".

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France. Interview du député européen RN Julie Lechanteux à propos de «  Les Femmes avec Marine » :

https://www.breizh-info.com/2021/12/07/175732/marine-le-p...

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Julie Lechanteux

06/12/2021

Le programme de l'Atreju 2021.

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Italie. Le programme de l'Atreju 2021 :

https://www.atreju.tv/atreju/

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Giorgia Meloni

Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet atteint les 50.000 membres.

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Pays-Bas. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet atteint les 50.000 membres. Il était déjà le premier parti du pays en nombre de membres.

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"Salvini est irrité par la stratégie de Forza Italia. Les convoitises sur le Quirinal divisent les alliés."

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Italie. Revue de presse. 

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de R. Frignani, « Des transports aux restaurants, des unités spéciales chargées des contrôles. »

PREMIER PLAN, Repubblica, de M. Bocci, « Le pass sanitaire monte dans les bus et les métros. Des agents mobilisés pour le contrôle. »

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Savelli, « La campagne de vaccination connait une accélération portée par l’administration des doses de rappel, ‘il y a des stocks encore pour deux semaines’.» 

ARTICLE, La Repubblica, E. La « Salvini est irrité par la stratégie de Forza Italia. Les convoitises sur le Quirinal divisent les alliés » : « Le dirigeant de la Ligue préfère ne pas commenter les déclarations du vice-président de Forza Italia, A. Tajani [‘’Seul Draghi peut maintenir l’unité du gouvernement, il doit poursuivre son mandat jusqu’en 2023’’]. Et s’il ne veut pas commenter, c’est en raison de ce qui se profile derrière ces propos : une tentative de favoriser l’élection de Berlusconi au Quirinal. Salvini a déjà promis son soutien à la candidature du « Cavaliere », mais veut aussi jouer un rôle central dans les négociations. De manière officielle, Salvini veut préserver l’unité de la droite mais il sait aussi que pour élire un Président de la République, il faut un consensus large. C’est pourquoi il ne partage pas l’idée de Forza Italia de barrer la route à une élection de Draghi au Quirinal. Salvini, tout comme Letta, Conte et Renzi, sait que le nom de l’ancien banquier de la BCE est le plus populaire aujourd’hui. Le problème est que pour faire élire Draghi, il faut d’abord assurer aux députés et aux sénateurs qu’il n’y aura pas d’élections anticipées le lendemain de ce scrutin. Même si pour le dirigeant de la Ligue, l’idée n’est pas en elle-même si mauvaise. Autrement, il n’est pas impossible que la Ligue rejoigne Fratelli d’Italia dans l’opposition si Franco ou Cartabia devaient remplacer Draghi au Palais Chigi. Le risque d’une impasse institutionnelle demeure élevé. Giorgia Meloni veut elle aussi jouer un rôle central et a lancé un meeting de Fratelli d’Italia qui durera sept jours et qui recevra environ une centaine d’invités dont plusieurs ministres et dirigeants de parti ».

ENTRETIEN, La Repubblica, d’Antonio Tajani, vice-président de Forza Italia « Seul Draghi peut préserver l’unité du gouvernement » : « ‘Sur Draghi, je pense que personne d’autre n’a le prestige et la capacité de négociation nécessaires pour diriger un gouvernement d’unité nationale. Il s’agit d’une majorité hétérogène qui s’est formée avec l’objectif principal de vaincre la pandémie et préparer le plan de relance. Seule une personnalité comme Draghi peut faire travailler ensemble Salvini, Letta, Renzi et Bersani. Et cela d’autant plus qu’à l’approche de la fin naturelle de la mandature, chaque parti voudra marquer sa propre identité. Nous devons arriver jusqu’en 2023 car l’urgence n’est pas terminée et nous ne pouvons pas renoncer à Draghi. Je dis cela indépendamment de celui qui ira au Quirinal. Vous savez ce que je pense : outre Draghi, Berlusconi est le seul en mesure d’être élu Chef de l’Etat. Ce sont les sondages qui le disent. Il y a de plus en plus de gens qui considèrent Berlusconi en tant que personnalité impartiale qui travaille pour l’intérêt national, un entrepreneur et un homme de sport. Par ailleurs, à ce stade Berlusconi n’a fait que sourire à ceux qui ont proposé cette solution [sa candidature ; ndt.]. Il est encore trop tôt pour en parler mais nous souhaitons une candidature soutenue par l’ensemble du centre droit. »

ARTICLE, La Repubblica, de G. Vitale « A la Chambre, Conte en lice sur le siège de Gualtieri, avec la bénédiction du Parti démocrate » : « Il ne s’agit pour le moment que de rumeurs mais l’annonce officielle ne devrait pas tarder : Giuseppe Conte pourrait bien être le candidat représentant le centre-gauche aux élections partielles à Rome, prévues le 16 janvier, historiquement considérée comme une forteresse démocrate. Il s’agit d’une candidature pensée afin de renforcer l’alliance entre les démocrates et le Mouvement 5 Etoiles, notamment en vue de la désignation du Président de la République. Mais Carlo Calenda est prêt à défier l’ancien Président du Conseil Giuseppe Conte dans sa conquête du siège laissé vacant par le nouveau maire de Rome Roberto Gualtieri. L’idée viendrait du PD et les principaux membres du parti y seraient tous favorables, Letta, Zingaretti, Franceschini, et naturellement Gualtieri, mais aussi Speranza de LeU. Giuseppe Conte a demandé du temps avant de se prononcer publiquement et, en attendant, le Mouvement ne fait aucun commentaire. Le défi n’est pas évident, surtout sans l’approbation de l’ancien démocrate et leader d’Azione, Calenda, qui refuse catégoriquement d’apporter son soutien et devrait donc annoncer le candidat de son parti dans les prochaines heures. Il dénonce une ‘’soumission du PD vis-à-vis du Mouvement 5 Etoiles’’. Ses proches affirment qu’il est prêt à défier personnellement Conte. Une possibilité qui pourrait remettre en cause la décision des 5 Etoiles, lesquels semblent désormais hésiter. Il semblerait que le parti de Renzi ne soit pas particulièrement favorable non plus, certains demandant une ‘’candidature réformiste afin d’empêcher la droite de gagner. »

SONDAGE, Repubblica, d’I. Diamanti, « Des alliances plus difficiles à gauche. Dans le panorama politique, la droite est plus reconnaissable. » : « Concernant les élections du président de la République, un récent sondage Demos révèle que Draghi est le candidat favori des Italiens, mais qu’il n’est préféré que par une minorité. On est bien loin de la première République, lorsqu’au gouvernement centriste de la DC s’opposait le PCI devenu imprésentable à la suite de la chute du mur de Berlin. Berlusconi aussi avait recréé une opposition similaire, entre les siens et les ‘’héritiers du PCI’’, comme il définissait le centre-gauche. Mais ce mur aussi est tombé, et depuis, le panorama politique italien apparaît instable et orphelin de références politiques. Ainsi, depuis un an, le pays est gouverné par un Président du Conseil sans parti ou orientation politique, soutenu par une majorité quasi-unanime. Un gouvernement de presque tous mais privé de centre. Aujourd’hui, moins de 10 % des électeurs se reconnaît dans le centre. Les sondés préfèrent se situer à droite ou à gauche, mais surtout ‘’en dehors’’. Ce n’est pas un hasard si, depuis une dizaine d’années, on a vu s’imposer des leaders et des partis qui se présentent comme « anti-politiques ». Et voilà donc qu’au sein de l’espace politique, ce n’est qu’au centre-droit que se distinguent des références précises. Ainsi, la candidature de Berlusconi apparait comme une stratégie vouée à souder des rapports instables. Quant à la gauche, engagée dans un projet de refondation du PD, elle apparaît moins unie : chez les électeurs de ce dernier parti, la sympathie envers le M5S reste assez limitée. Quant au parti de Matteo Renzi, Italia Viva, sa position reste floue. Proche du centre, il regarde avec attention du côté de FI pour construire une base moins précaire et limitée que son ‘’parti personnel’’ actuel. Il peut cependant profiter d’un système politique fragmenté et instable et il l’a déjà fait lorsqu’il a provoqué la crise de gouvernement qui a mené à la fin du précédent gouvernement et à la formation de l’actuel.»

(Traduction : ambassade de France à Rome)

05/12/2021

Début de l'Atreju 2021.

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Italie.

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2019/07/13/l-a...)

Robert Simons, tête de liste de Leefbaar Rotterdam.

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Pays-Bas. Rotterdam. Le chef de file des élus de Leefbaar Rotterdam au sein du Conseil municipal Robert Simons sera tête de liste du parti lors des élections municipales de 2022.

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Marine Le Pen rencontre le dirigeant du PIS Jarosław Kaczyński et le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki.

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France, Pologne et UE. Dans le cadre du sommet de Varsovie, Marine Le Pen rencontre le dirigeant du PIS Jarosław Kaczyński et le Premier ministre PiS Mateusz Morawiecki.

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Photo : Tom Van Grieken et Viktor Orbán.

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Hongrie, Belgique et UE. Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken et le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors du congrès de Varsovie.

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La photo du sommet de Varsovie.

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Action électorale des Polonais en Lituanie - Alliance des familles chrétiennes.png

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Pologne et UE.

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Laura Huhtasaari, Les Finlandais, Finlande / Santiago Abascal, Vox, Espagne / Jarosław Kaczyński, PiS, Pologne / Viktor Orbán, Fidesz, Hongrie / Mateusz Morawiecki, PiS, Pologne / Marine Le Pen, Rassemblement national, France / Marlene Svazek, FPÖ, Autriche / Tom Van Grieken, Vlaams Belang, Belgique / Martin Helme, EKRE, Estonie / Valdemar Tomaševski, Lituanie, Action électorale polonaise de Lituanie / Cristian Terheş, PNT-CD, Roumanie.

04/12/2021

Hongrie : les autorités ont arrêté en 2021 112.000 personnes qui ont traversé illégalement la frontière ou ont tenté de le faire.

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Hongrie. Les autorités ont arrêté en 2021 112.000 personnes qui ont traversé illégalement la frontière - ou ont tenté de le faire - et 1500 passeurs. Dans la plupart des cas, il s'agit de groupes violents et les passeurs induisent en erreur les migrants avec de fausses infos.

Article du Point sur le rassemblement de partis patriotiques à Varsovie.

UE et Pologne. Article du Point sur le rassemblement de partis patriotiques à Varsovie :

https://www.lepoint.fr/politique/a-varsovie-l-extreme-dro...

03/12/2021

Marine Le Pen à Varsovie.

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Pologne et France. Marine Le Pen à Varsovie.

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Au Mémorial des victimes du ghetto de Varsovie

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Marine Le Pen devant le monument consacré aux victimes du massacre de Katyn.

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Marine Le Pen et le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki

Luxembourg : progression de l'ADR.

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Luxembourg. Un sondage  TNS-Ilres donne l’ADR à 11,3 % (soit une augmentation de 3 points par rapport aux législatives de 2018) et déi Konservativ à 0,5 %.

"Que se passera-t-il dans la deuxième quinzaine de janvier, lorsque le vote pour le Président de la République aura lieu ?"

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Italie. Revue de presse. 

La presse italienne titre largement sur les nouvelles mesures pour contrer la pandémie qui entreront en vigueur le 6 décembre ainsi que celles adoptées dans les autres pays de l’UE : « Hôpitaux, la pression monte » - Les admissions en soins intensifs augmentent. Record de vaccins injectés. La campagne vaccinale pour les enfants commencera le 16 décembre. Toute l’Europe est en zone rouge sauf l’Italie et l’Espagne (Corriere della Sera), « L’Europe des vaccins obligatoires » - Après l’Autriche, l’Allemagne aussi imposera le vaccin. Pour le Palais Chigi, la question se posera pour les travailleurs à partir du mois de janvier. Les nouveaux cas positifs augmentent : environ 17 000 en 24 heures (La Repubblica), « Zaia : nos agences sanitaires locales n’effectueront pas de test de dépistage pour les antivax » - Le président de la Région Vénétie choisit la ligne dure mais s’oppose à l’introduction de l’obligation vaccinale (La Stampa), « Covid, l’Allemagne impose le confinement pour les antivax » (Sole 24 Ore), « Bus et locaux publics, voici le plan pour les contrôles » - Les vigiles et les forces de l’ordre seront déployés. Le président du premier syndicat patronal demande que le pass sanitaire différencié soit étendu à tous les travailleurs (Il Messaggero), « Merkel fait l’éloge de l’Italie sur sa gestion de la pandémie » - Pass sanitaire différencié : voici les nouvelles règles pour les contrôles (Il Giornale). Enfin, le quotidien romain Il Messaggero publie en Une l’entretien du commissaire européen pour l’Economie Paolo Gentiloni « Le Pacte de stabilité sera moins rigide ».

 

PREMIER PLAN, Il Messaggero, de M. Evangelisti, “Il y aura davantage de contrôles : plus d’agents dans les bus, les transports et les restaurants. »

COMMENTAIRE, La Repubblica, de Stefano Folli, « Une voie rationnelle pour un nouveau mandat de Mattarella » : «  Un épisode mineur, sauf pour les personnes directement concernées, s'est déroulé hier au Sénat, confirmant le climat peu serein dans les rangs de la majorité. Le jeu des "franc tireurs" a empêché le président de la Lazio, Lotito, d'obtenir justice pour le siège auquel il aspire depuis longtemps. Toutefois, lors du vote à bulletin secret, les décisions prises par le comité chargé des désignations ont été annulées et l'affaire est devenue houleuse. Or, au-delà des raisons et des torts, le fait est que les relations entre le PD et Italia Viva, alliés dans la majorité qui soutient Draghi, sont usées au point de ne plus tenir, même sur une question aussi mineure.  La question est inévitable : que se passera-t-il dans la deuxième quinzaine de janvier, lorsque le vote pour le Président de la République aura lieu ?A présent, on a perdu l'ancienne discipline dans les partis. Il est vrai que les parlementaires n'ont, comme on le sait, aucune envie d'être renvoyés chez eux en cas de dissolution anticipée des chambres. Tout comme il est vrai - et ici Enrico Letta a raison - que le législateur aurait peu de chances de survivre à l'effondrement de la grande majorité qui soutient Draghi.  Imaginer un grand accord de type Ciampi semble pour l'instant un exercice louable mais futile tant les inconnues sont nombreuses sur le M5S, le PD, le jeu d’Italia Viva. Berlusconi ne renoncera certainement pas à jouer un rôle de premier plan dans ce qui pourrait être la dernière étape importante de sa vie politique. Garder le centre-droit attaché à sa candidature ne le mènera pas au Quirinal - il le sait au fond de lui - mais cela lui permettra d’être l'interlocuteur du centre-gauche pour toute solution réaliste. Il faudra passer par lui, plus que par Salvini ou peut-être Giorgia Meloni. La voie à suivre ne serait pas un renouvellement pur et simple du mandat de Mattarella, auquel le président est opposé, mais un accord sur le projet de révision constitutionnelle qui supprimerait le semestre blanc et interdirait en même temps la réélection du président en exercice. S'il y a un accord de principe sur le projet de loi qui est déjà au Sénat, Mattarella pourrait rester en fonction jusqu'à la fin du processus, qui coïncide plus ou moins avec la fin de la législature en 23. La modification de la Constitution sur ce point précis justifierait sa démission. »

ARTICLE, Corriere della Sera, « Renzi et Toti tissent leur toile en vue de l’élection au Quirinal » : Matteo Renzi, amateur de vitesse et de tactique parlementaire, veut s’occuper du vote à la présidentielle. Les rencontres entre Italia viva et Coraggio Italia, la formation dirigée par le gouverneur de la Ligurie Giovanni Toti et le maire de Venise Luigi Brugnaro, se succèdent. L'ancien premier ministre est en bons termes non seulement avec le premier citoyen de la capitale vénitienne, mais aussi avec le maire de Gênes, Marco Bucci, qui est lié à Toti. Les trois sont en contact et se consultent mutuellement. Davide Faraone et Gaetano Quagliariello, au Palazzo Madama, Maria Elena Boschi et le président des députés de Coraggio Italia Marco Marin, à Montecitorio, travaillent sur l'idée d'une fédération entre leurs groupes respectifs. Une fédération qui n'a pas (encore) de valeur politique, mais qui devrait naître en fonction de l'élection du successeur de Sergio Mattarella : elle regrouperait de plus de soixante-dix grands électeurs. Un groupe parlementaire pas indifférent, au cas où, en janvier, pour choisir le nouveau président de la République, on procéderait au quatrième tour de vote, c'est-à-dire celui où la majorité des deux tiers exigée par la Constitution n'est plus nécessaire et où plus de soixante-dix voix pourraient faire la différence. Pour Renzi, "le centre existe déjà. Quelqu'un la représentera. J'aimerais qu'il s'agisse d'un centre pluriel, comme l'a fait Macron en France. Mais cet espace existe déjà et sera déterminant lors de la prochaine législature. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

02/12/2021

L’ancien chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz annonce son retrait de la vie politique.

Autriche. L’ancien chancelier conservateur Sebastian Kurz (ÖVP) annonce son retrait de la vie politique.

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Les questions du référendum hongrois sur la protection de l’enfance.

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Hongrie. Les questions du référendum hongrois sur la protection de l’enfance :

https://visegradpost.com/fr/2021/12/02/protection-de-lenf...

"Salvini attaque Meloni et suspend le projet de groupe unique de la droite européenne."

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Italie. Revue de presse. 

La presse italienne titre largement sur l’avis favorable de l’agence italienne du médicament (AIFA) à la vaccination pour les enfants de 5 à 11 ans et l’appel de la Commission Européenne à débattre sur l’obligation de vaccination au vu du nombre élevé de personnes non vaccinées dans l’UE: « Feu vert pour la vaccination des enfants » - L’AIFA autorise le vaccin. Le nombre de cas positifs augmente, hier le seuil des 100 victimes par jour a été franchi. L’armée sera mobilisée devant les écoles pour les tests de dépistage. Von der Leyen favorable à l’obligation vaccinale dans l’UE (Corriere della Sera), « Il faut que l’Europe débatte sur l’obligation vaccinale » - Von der Leyen lance un appel pour en discuter. L’AIFA donne son feu vert à la vaccination pour les enfants, les premières injections commenceront avant Noël (La Stampa), « Covid, plus de 100 victimes » - Vaccins, c’est le tour des enfants (Fatto Quotidiano). Les prévisions de croissance de l’OCDE et la hausse du coût de l’énergie sont également citées « Reprise économique, l’Italie est la locomotive » - L’économie italienne connait une croissance à +6,3%, grâce à la poussée de l’industrie et à l’augmentation de la consommation. Mais l’inflation et la pandémie mettent en danger la reprise (La Repubblica), « Noël, les achats marqués par l’inflation » - Flambée des prix pour les familles. Le gouvernement cherche 2 milliards pour faire baisser le coût de l’énergie (Il Messaggero).

Les JT couvrent essentiellement l’avis favorable de l’agence italienne du médicament (AIFA) à la vaccination pour les enfants de 5 à 11 ans, les déclarations de l’OMS sur le variant Omicron, l’appel de la Commission Européenne à débattre sur l’obligation vaccinale et la confirmation de la part du gouvernement du projet d’abonder le fonds pour aider les familles les plus démunies face à la flambée des prix de l’énergie.

ARTICLE, La Repubblica, M. Bocci « L’administration des vaccins pour les enfants commencera le 13 décembre dans des centres spécialisés. L’AIFA rassure : les vaccins sont sûrs » : « L’agence italienne pour le médicament a donné son feu vert. En Italie aussi il sera enfin possible d’utiliser le vaccin Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans. La campagne peut ainsi commencer mais il faudra attendre que le producteur livre à l’Italie les doses. Von der Leyen a annoncé qu’elles arriveront en Europe le 13 décembre, ce qui veut dire que la campagne en Italie pourrait commencer vers le 23 décembre. Le ministère de la Santé commencera sa campagne de communication pour convaincre les parents de faire vacciner leurs enfants, avec la participation des pédiatres. Certaines régions, comme le Latium, ont déjà prévu des centres de vaccinations dédiés exclusivement aux enfants. Le rappel sera fait après trois semaines. La vaccination des enfants sera faite sur la base du volontariat et il n’y aura pas de pass sanitaire. Matteo Salvini, pour sa part, a déjà répété que ‘’ce sont les parents qui décideront’’. Hier le seuil des 15 000 contagions a été franchi, chiffre qui n’avait pas été atteint depuis le 22 mai. On a comptabilisé 103 décès, un triste record qui n’avait pas été atteint depuis le 28 mai. »

ARTICLE, La Repubblica, « Les confidences de Di Maio sur la transition vers un duo Draghi-Franco » : « Selon des sources diplomatiques, lors d'un sommet international, le ministre des Affaires étrangère, Luigi Di Maio, s'est laissé aller à une confidence avec certains interlocuteurs, eux-mêmes diplomates : Mario Draghi travaillerait à une transition avec Daniele Franco. L'actuel Premier ministre irait au Quirinal, le ministre de l'Économie s'installerait au Palais Chigi. Selon les confidences des diplomates, l'objectif du chef du Trésor serait de permettre au gouvernement de tenir au moins jusqu'en septembre 2022. Un objectif minimal, étant donné que la législature expire au printemps de l'année suivante. Aujourd'hui, en attendant, Franco sera à Strasbourg pour la commémoration de Valéry Giscard d'Estaing. C'est Emmanuel Macron qui a invité les chefs d'État et de gouvernement. Ursula von der Leyen, Charles Michel et David Sassoli seront présents pour les institutions européennes. Pour l'Italie, le ministre sera là pour démontrer le lien de confiance qui le lie au Premier ministre. Le scénario confié par Di Maio reste une option qui n'est pas sans inconnues. Il y en a trois en particulier : c'est un schéma qui risque de mettre en cage le Pd dans un accord d'unité nationale dont Salvini pourrait se défaire peu après, en revenant s'allier à Giorgia Meloni en vue des élections législatives. Et encore : le M5S, qui se sont publiquement prononcés en faveur du maintien du Premier ministre au Palais Chigi, soutiendront-ils cette hypothèse ? Et enfin : le ministre du Trésor aurait-il la force de gérer une majorité qui va de la Ligue au Parti démocrate, et que Draghi lui-même a parfois du mal à contenir ? »

COULISSE, Corriere della Sera, M.T. Meli « Quirinal, la nouvelle stratégie de Letta après les doutes sur la solidité des 5 Etoiles » : « Enrico Letta avait assuré ne pas vouloir évoquer le sujet du Quirinal avant janvier et il avait invité les autres dirigeants à faire de même. Mais hier, pendant l’émission télévisée Carta Bianca (Rai Tre), il a fini par comprendre qu’un silence prolongé pourrait avoir des effets négatifs. Il a déclaré que ‘’si l’on n’arrive pas à trouver une majorité large pour s’entendre sur le nom du futur président de la République, le gouvernement risque de tomber’’. Ce qui signifie une ouverture du PD au scénario prévoyant l’arrivée de Mario Draghi au Quirinal si ce dernier se portait candidat. L’avis de Letta pourrait être lourd de conséquences. Tout d’abord, il s’agit de la fin de l’hypothèse d’une majorité Ursula (PD, M5S et FI) désignant le futur président. Letta a compris qu’il ne pouvait pas faire pleinement confiance au M5S et il sait que les voix d’Italia Viva de Renzi restent indispensables. Mieux vaut alors laisser le temps à Giuseppe Conte de renforcer son leadership auprès des 5 Etoiles. Mais au sein du PD, tout le monde n’est pas du même avis, à commencer par Goffredo Bettini. »

ARTICLE, La Repubblica, « "Il y a trop d'égoïsme de la part des partis" : Salvini attaque Meloni et suspend le projet de groupe unique de la droite européenne » : « Matteo Salvini, en fin de compte, prend acte que son projet ne décolle pas : le groupe unique de la droite européenne a été gelé, celui qui aurait permis - selon les intentions du leader - la participation de la Ligue et de Fratelli d'Italia avec, entre autres, les formations de Marine Le Pen et Viktor Orban. "Il est nécessaire que les solutions mûrissent et que les égoïsmes et les peurs, tant partisans que nationaux, soient dépassés", rapporte un communiqué de la Ligue. Il s'agit d'une attaque claire contre les "cousins" de Giorgia Meloni, qui se sont opposés aux plans de Salvini dès la première minute, travaillant main dans la main avec les Polonais pour que le groupe conservateur (ECR) ne soit pas dissous. En fin de compte, ces travaux ont abouti à un signal clair de la part des Polonais du Pis, le parti au pouvoir à Varsovie, qui souhaitaient conserver un rôle central au sein de l'ECR. Dans la perspective des élections de mi-mandat, toutes les délégations nationales du groupe se sont accordées sur la décision de nommer l'eurodéputé polonais Kosma Zlotowski comme candidat du groupe à la présidence du Parlement européen, confirmant les vice-présidents Ryszard Antoni Legutko, également membre éminent du PIS, et Raffaele Fitto de Fratelli d'Italia. Les conservateurs se protègent donc et, avec la confirmation que les représentants du Pis conservent les plus hauts postes, ils envoient un message clair à Salvini, Orban et Le Pen : le groupe Ecr n'est pas en cause, pas de groupe unique. Pour les conservateurs, cependant, il y aura des formes possibles de collaboration avec d'autres partis et mouvements de la droite européenne. Salvini marque le pas : il n'ira pas au sommet de Varsovie organisé par le parti du Premier ministre Morawiecki (qui aurait dû valider la naissance d'un groupe unique). Toutefois il n'abandonne pas le projet mais marque une pause : "La Ligue - dit le communiqué - continue à travailler pour un centre-droit gagnant et une alternative à la gauche en Italie et en Europe". Dès que les conditions seront réunies, Matteo Salvini effectuera une tournée de quelques capitales européennes. Même si le coordinateur de Forza Italia, Antonio Tajani, profite de l'impasse pour lui tendre la main : "Si quelqu'un, je pense à la Ligue, décide à l'avenir de vouloir se rapprocher du PPE, nous ferons tout notre possible pour aider cette démarche. Mais jusqu'à présent, dit l'ancien président du Parlement européen, on ne nous l'a pas demandé. »

 TRIBUNE, Repubblica, de Luigi Di Maio, ministre des affaires étrangères, « La Méditerranée doit redevenir un espace de dialogue » : «  Du 3 au 4 décembre, Rome accueillera la septième édition des Med-Dialogues, une initiative promue par le ministère des Affaires étrangères et par l'Ispi, qui s'est désormais imposée comme le principal événement international consacré à la Méditerranée élargie, une zone d'une extraordinaire importance géopolitique allant du Sahel aux Balkans, de l'Afrique du Nord au Golfe Persique, et où notre pays occupe une position centrale. La Conférence représente le point culminant d'un parcours qui nous accompagne tout au long de l'année, visant à développer et à maintenir vivante la réflexion sur les principaux défis auxquels la région est confrontée, dans la conscience que la complexité des dynamiques en cours et le haut degré d'interconnexion mutuelle exigent un effort continu d'étude et de dialogue. L'édition de cette année s'intitule « Leveraging Transitions » : un titre né de la nécessité de tirer parti des différentes transitions que nous traversons sur les plans politique, social, économique, énergétique et numérique. Pensez à la transition verte et à la manière dont elle accroît la centralité de la Méditerranée pour la sécurité énergétique ; ou à la transition numérique, catalyseur de modernisation, d'intégration et de compétitivité des deux côtés. La gestion des transitions dans un monde interdépendant exige un effort collectif et un renforcement de la coopération. La Méditerranée est historiquement un espace de dialogue et d'échange. Nous souhaitons la construction d'un "Agenda positif", qui considère la Méditerranée non pas comme un épicentre de crise, mais reconnaît son extraordinaire potentiel, avant tout comme une plateforme matérielle et idéale pour relier l'Europe, l'Afrique et l'Asie, unies dans un seul macro-continent. Les rivalités idéologiques, la concurrence pour le contrôle des ressources et l'émergence de nouvelles crises en plus de celles qui sont depuis longtemps non résolues ne doivent pas limiter nos efforts, mais plutôt les renforcer afin de contrer les dynamiques négatives. Dans cette optique, ces dialogues  constituent une pièce importante de la mosaïque plus large de l'action de l'Italie pour l'avenir de la région méditerranéenne, fondée sur la volonté de protéger et de gérer, de manière partagée, les "biens communs méditerranéens" : environnement, mer (économie bleue), recherche et innovation numérique, diplomatie scientifique et culturelle, mobilité, santé. Ce sont ces mêmes questions qui sont au cœur du "Nouvel agenda pour la Méditerranée" de l'Union européenne, que l'Italie a inspiré et soutenu avec conviction, afin de relancer le partenariat entre l'UE et son voisinage méridional en stimulant une relance verte, numérique, résiliente et équitable. Enfin, avec les Dialogues, l'Italie revient au centre de la Méditerranée, la "mer entre les terres", en promouvant un programme positif pour contribuer, dans un esprit de partenariat, à surmonter les nombreux problèmes qui affectent encore la région, en s'appuyant sur le dialogue et la coopération. Cette approche est l'héritière d'une importante tradition diplomatique italienne, promue depuis la Seconde Guerre mondiale par de nombreuses personnalités de tout l'arc constitutionnel et redevable de la précieuse contribution - unique et internationalement appréciée - des réflexions de nos universités et centres de recherche, qui sont également à l'avant-garde dans la transformation de la Méditerranée en une zone de prospérité partagée. » 

(Traduction : ambassade de F<rance à Rome)

01/12/2021

Le Vlaams Belang lance la campagne "Fort Europe".

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang lance la campagne « Fort Europe » : « Un mur doit être érigé autour de l’Europe, juridiquement et, à quelques endroits, physiquement. » Selon le président du parti, Tom Van Grieken, nous sommes proches d’une « nouvelle catastrophe migratoire », comme en 2015.

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"Accélération de la campagne de vaccination."

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Italie. Revue de presse.

La presse italienne titre largement sur le variant « Omicron » et notamment sur la décision du gouvernement, contrairement à ce qui était annoncé hier, de ne pas faire passer une classe en enseignement à distance si un cas se révèle positif : « Le vaccin obligatoire se répand en Europe» - L'Allemagne et la Grèce suivent l'exemple de l'Autriche. Draghi décide d'annuler la circulaire du ministère de l'éducation (Corriere della Sera), « Bras-de-fer sur les cours à distance » - Draghi demande aux ministres Bianchi et Speranza le retrait de la circulaire imposant le passage aux cours en ligne dès le premier cas positif dans une classe (La Repubblica), « Draghi ordonne de faire marche arrière sur les cours à distance » - L'Allemagne et l'Autriche sanctionnent les non vaccinés (La Stampa), « Le télétravail en demi-teinte » - Les jours en présentiel augmentent mais l'ordinateur sera fourni par l'employeur. Un roulement sera prévu entre les employés (Il Messaggero), « Omicron, polémique sur les vaccins » - Selon Israël, les trois doses suffisent (Il Giornale). L'augmentation du fonds prévu par le gouvernement pour contrer la hausse des prix de l'énergie est aussi citée en Une par certains quotidiens: « Draghi annonce de nouvelles mesures contre la hausse du coût de l'énergie (Corriere della Sera,  Repubblica, Sole 24 Ore). 

Sur Twitter, le hashtag #Mediaset, en référence à la décision de la famille Berlusconi d’interrompre les programmes télévisés jugés trop ouvertement favorables aux positions anti-vaccin, domine. 

ARTICLE, Corriere della sera, « Un tournant pour le M5S, oui au mode de financement ‘2x1000’. Mais peu de monde a voté. » : «72% des inscrits au M5S a voté en faveur de l’inscription du Mouvement au registre des partis qui bénéficient du financement par le système ‘2 pour 1000’. Pour Conte, ce résultat est un signe positif pour poursuivre sa refondation du parti. Mais au sein du Mouvement, certains font remarquer que les ¾ des inscrits n’ont pas participé au vote. Pour le secrétaire du parti, le taux d’affluence n’est pas spécialement différents des précédents votes. La décision continue toutefois de faire polémique. Pour le sénateur Vincenzo Presuto, un principe clé du Mouvement, et qui a assuré son succès, vient d’être violé. Pour Primo de Nicola, un « débat plus approfondi » aurait été nécessaire. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Interview du co-président de l'AUR Claudiu Târziu par Álvaro Peñas.

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Roumanie. Interview du président de l'AUR Claudiu Târziu par Álvaro Peñas :

https://www.breizh-info.com/2021/12/01/175274/roumanie-cl...

HC Strache sollicite, à nouveau, une aide financière sur Facebook.

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Autriche. L’ancien vice-chancelier et ex-président du FPÖ Heinz-Christian Strache, qui est au bord de la ruine financière, sollicite, une nouvelle fois, sur Facebook, un soutien financier afin de pouvoir assumer les frais d’avocats dans le combat qu’il mène afin de défendre sa réputation entachée par le scandale d’Ibiza

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/11/24/heinz-christian-strache-lance-un-appel-a-l-aide-financiere-6351260.html)

HC Strache et Philippa sur le point de se séparer.

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Autriche. Selon plusieurs médias, l’ancien président du FPÖ Heinz-Christian Strache et sa femme Phippa, qui ne vivent plus ensemble depuis plusieurs semaines, seraient sur le point de se séparer. Ils ont un fils en commun.

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