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06/11/2014

Rencontre Renzi-Berlusconi.

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Italie. Revue de presse. 

UNES : « Renzi à Berlusconi : je décide sur les réformes ou le pacte sautera » (Repubblica), « Réformes, maintenant Berlusconi freine Renzi » (Stampa), « Dialogue Renzi-Berlusconi sans accord sur la loi électorale » (Corriere). 

ARTICLE, Repubblica, « Le défi de Renzi sur la loi électorale : ‘Berlusconi, il faut que tu  te décides’. Mais le Cavaliere prend son temps ». 

ARTICLE, Sole 24 Ore, L. Palmerini, « Le problème des électorats de plus en plus semblables » : « La négociation entre Renzi et Berlusconi sur la loi électorale est seulement la première mi-temps. La deuxième se jouera sur une compétition électorale où les voix, de plus en plus, se ressemblent et se juxtaposent (selon les estimations Itanes). Une donnée nouvelle qui conditionne délais et négociations. Les électorats PD et centre-droit sont de plus en plus similaires. Pour le PD renzien un bond en avant a eu lieu sur les artisans et commerçants. Après le choix fait sur l’article 18 et l’affrontement avec la CGIL, Renzi ne peut plus revenir au message traditionnel du PD – qui appartient désormais à la minorité ». 

ARTICLE, Foglio,C. Cerasa « ce qu’il est passé entre Renzi et Berlusconi au Palais Chigi » : au centre des discussions, la loi électorale. Le « spin » des dernières heures alimenté par la minorité PD et certaines voix de Forza Italia tend à accréditer la thèse qu’il y aurait un problème entre Renzi et Berlusconi. Mais qui a assisté à la rencontre a une version des faits différentes. Il y a accord sur l’augmentation du seuil pour la prime de majorité (40%), sur l’abaissement du seuil de barrage à 5%, sur le retour des préférences. Sur un point Forza Italia n’a pas les idées, claires: accorder la prime de majorité à la liste ou à la coalition (Berlusconi est tenté par la liste mais il sait qu’une prime à la coalition rendrait plus facile un accord avec la Ligue ou NCD).  Renzi enfin a dit – c’est la nouveauté la plus importante- que le gouvernement portera la loi en Commission du Sénat la semaine prochaine, avec ou sans les votes de FI. Le pacte du Nazareno tient donc mais il se trouve dans une phase interlocutoire. 

ÉDITORIAL, Stampa, G. Orsina, « Les ambitions de la Ligue. Avec Salvini pas de droite de gouvernement » : « Le leader de la Ligue (en remontée dans les sondages) se propose de  représenter seule la droite post-berlusconienne : elle vise la majorité et veut reconstruire l’Italie. Pas sûr que ce soit ce dont l’Italie a besoin. Mais à part ça, ‘l’opération Salvini’, qui a une logique politique, n’est pas en mesure de refonder une droite de gouvernement qui s’oppose à une gauche, de gouvernement également dans un schéma bipolaire. Entre cette opération et le parti de la nation auquel travaille Renzi, le pays revient vers une situation pré-Tangentopoli [1992] : un centre de gouvernement inamovible et des oppositions pas présentables. Ce serait un remake loupé d’un film déjà vu – et qui finit mal, on le sait». 

BCE 

ARTICLE, Repubblica « Mesures anti-récession : règlement de compte à la BCE pour Draghi, assiégé – aujourd’hui réunion du board après la fronde des ‘faucons’ – Le président contesté pour l’annonce de sa politique anti-déflation ».

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