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11/11/2014

L’ultimatum de Renzi au Cavaliere reporté de 48 heures.

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Italie. Revue de presse.

UNES « Réforme électorale, le pacte change» (Corriere della Sera), « Renzi, il faut voter la réforme d’ici Noël » (La Repubblica), « Renzi, entente large mais un sommet avec Berlusconi est nécessaire » (Sole 24 Ore).

ARTICLE, Corriere, M. Galluzzo « Le pacte de Renzi avec la majorité » : « L’ultimatum au Cavaliere est reporté de 48 heures. Le seuil de barrage pour accéder au Parlement descend à 3%. Le pacte du Nazareno avec Berlusconi est encore valable car ‘’les règles du jeu se font ensemble’’ répète Renzi malgré les incertitudes du chef de Forza Italia. Si Berlusconi devait lui tourner le dos, Renzi demandera alors un vote de son parti et ira de l’avant au Parlement. Mais il ne faut pas exclure une surprise, après le sommet de Berlusconi avec les siens ». 

ARTICLES : La Stampa «  L’alarme de la UE sur la loi de stabilité italienne » «  L’Union Européenne prévient l’Italie. Il est probable qu’il faudra une manœuvre de correction de 14 milliards pour aboutir aux objectifs que le pays avait concordé avec l’Europe. L’agence de Rating Moody’s, par ailleurs, estime que la croissance italienne en 2015 sera nulle ».

La Repubblica, F. Fubini « Les banques allemandes fuient le ‘’risque Italie’’, l’exposition s’écroule sous les 100 milliards » : « Les banques allemandes ont clairement l’air de se préparer à la possibilité (pas à la certitude) d’un défaut de l’Italie. En général, elles ne semblent pas croire à l’avenir de l’euro. Trimestre après trimestre, depuis qu’en 2012 Draghi avait évité l’incendie du spread italien en le faisant baisser, la banque des règlements internationaux enregistre l’exposition (en dollars) des banques de chaque pays envers les autres. Il en suit le gré de confiance des différents banquiers sur chacun des pays concernés. Aujourd’hui seul le système banquier français continue à être lié à notre pays. L’élite bancaire allemande, elle, a continué à réagir à l’opposé, en diminuant son exposition au risque d’un crac à Rome ou de l’implosion de l’euro ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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