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21/09/2017

Demande de médiation au sein du M5S.

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Italie. Revue de presse.

RETROSCENA Corriere della Sera F. Verderami « Réforme de la loi électorale, Berlusconi prêt à l’entente. Le vote d’ici le 12 octobre » : « Sur le ‘’Rosatellum’’ [du nom d’Ettore Rosato du PD, ndt.], l’accord est enfin prêt : le texte mais aussi le timing parlementaire. Le vote à la Chambre est prévu entre le 9 et le 12 octobre : une semaine avant l’examen par le Sénat de la loi de finances pour éviter les problèmes après l’invitation de D’Alema de retirer la confiance au gouvernement comme réponse à l’accord sur le système électoral. Renzi a parlé au leader de Forza Italia pour qu’ils interpellent le Quirinal, Mattarella étant disposé à accorder les élections en mars uniquement en présence d’une réforme électorale. C’est ce qui laisse perplexe Berlusconi et qui préoccupe Gianni Letta : Renzi fait-il partie du match ou restera-t-il en observateur ? Derrière l’apparence d’un système basé sur les coalitions se cache en réalité un mécanisme utile aux larges ententes ».

ARTICLE, M. Conti, Messaggero, « Loi électorale : Berlusconi donne son accord pour le majoritaire avec le PD mais Forza Italia se divise » :« A Arcore, réunion avec les chefs de groupe du parti de Silvio Berlusconi, le Cavaliere se montre prudent : ‘’voyons si ça tient’’ ».

RETROSCENA (Coulisses), La Stampa, F. Schianchi : « Renzi s’en remet à un ancien de Forza Italia pour séduire la droite lombarde » : « Renzi tente de séduire le centre-droit de la Lombardie pour augmenter le consensus modéré et pour y arriver s’en remet à Maurizio Bernardo, président de la Commission des Finances de la Chambre, ancien assesseur de Forza Italia à l’époque de Formigoni (ancien président de la région). Bernardo a décidé d’entrer  au PD en juillet dernier et, en connaissant très bien la droite lombarde ainsi que le monde juridique, professionnel et économique, a organisé une rencontre à Milan où Matteo Renzi a pu présenter ses propositions pour la prochaine campagne électorale ».

ARTICLE, Corriere della Sera, A. Trocino : « Di Maio chef mais seulement à la Chambre » : « L’affrontement au sein du M5S suite à la possibilité de fusionner le mandat de président du Conseil avec celui de chef politique du Mouvement a abouti à une demande de médiation auprès des dirigeants du parti à Milan et à Gênes. La solution qui pourrait sauvegarder Di Maio serait d’attribuer  au candidat président du Conseil le rôle de chef politique des groupes parlementaires et non pas du M5S. Ainsi Beppe Grillo resterait le chef du Mouvement, étant le seul capable de préserver son unité ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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