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14/11/2016

Matteo Salvini : "Le centre-droit est fini."

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Italie. Revue de presse.

ARTICLE, La Repubblica, « Salvini et le nouveau défi à FI » : « Matteo Salvini (leader de la Ligue du Nord) lance un nouveau défi à FI (Forza Italia) et déclare que le centre-droit est fini. Il n’exclut pas la rupture de l’alliance dans la région Vénétie pour clarifier la situation avec les administrateurs locaux. Salvini ajoute que Renzi sera président du Conseil encore pendant trois semaines, parce qu’après le référendum, ‘’tout va changer’’. » 

ENTRETIEN de Stefano Parisi, coordinateur de Forza Italia « Je veux être à la tête des modérés» (Il Messaggero: « Le centre droit et l’Italie doivent être dirigés par un leader conscient et capable, avec des idées claires et des projets concrets pour reconstruire le pays, qui sache non seulement gagner mais aussi gouverner. Je me porte donc candidat. Ceux qui voudront s’unir sont les bienvenus. Ceux qui veulent suivre Salvini, qu’ils partent. Moi j’irai de l’avant. Les modérés et Forza Italia se trouvent face à ce carrefour : s’ils suivent la Ligue de Salvini, ils perdront. »

ARTICLE, La Repubblica, « Rencontre avec Stefano Parisi, ancien candidat maire de Milan » : «Stefano Parisi a décidé d’aller de l’avant, sans la Ligue du Nord, il n’a pas besoin de faire les primaires parce que sa candidature pour diriger le centre-droit a le soutien direct de Berlusconi. Il déclare en outre que la majorité des électeurs est « libérale et populaire » et pas du tout « populiste » et qu’il ne s’inquiète pas pour sa nomination, qui arrive à un moment propice. » 

ENTRETIEN d’Angelino Alfano, secrétaire du Nuovo Centro Destra (NCD) et ministre de l’Intérieur « Que Berlusconi s’éloigne des lepénistes, il est inévitable de rassembler les modérés » (Il Messaggero): « Le Nuovo Centro Destra a déjà fait son choix : il est au sein du PPE et collabore, comme d’autres partis populaires, avec des réformateurs tels Matteo Renzi. Si le choix de Berlusconi est celui de ne pas suivre les extrémistes, nous pourrions nous retrouver sur les mêmes positions. La victoire du ‘’Oui’’ au référendum pourrait favoriser la naissance d’un grand pôle ‘’positif’’ de ceux qui veulent proposer des solutions aux problèmes».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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