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07/10/2016

"La grande fuite de l’Italie."

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Italie. Revue de presse.

Données de la Fondation « Migrantes » sur la fuite des Italiens à l’étrangerUNES « De plus en plus d’Italiens à l’étranger » - ‘’107 000 expatriés en 2015, +6%’’ (Corriere della Sera), «  Nos enfants en fuite à l’étranger en quête d’un avenir » (La Repubblica), « La grande fuite des jeunes » (La Stampa, Il Messaggero).

ARTICLE, La Repubblica « La grande fuite de l’Italie » : « Le nombre de nos concitoyens qui décident de quitter l’Italie ne fait qu’augmenter. En 2015 il y a eu 6 000 départs en plus par rapport à l’année précédente. Ce sont surtout les jeunes : un tiers des personnes expatriées ont entre 18 et 34 ans. Les destinations préférées sont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, la Suisse, la France et le Brésil. Le Président de la République Mattarella a lancé un appel ‘’il faut créer les conditions pour le retour’’ ».  

SONDAGE de l’institut Piepoli « Surprise, le ‘’Oui’’ en hausse mais la popularité de Renzi s’arrête à 33% » :« Du point de vue formel les sondages donnent la victoire du non à 54% (le oui recueillant 46 %). Toutefois, le responsable du sondage indique qu’il en tire d’autres conclusions : « Nous avons soumis aux Italiens les différentes questions prévues dans le référendum : l’abolition du bicaméralisme parfait séduit 55% des sondés, la réduction du nombre des sénateurs plaît à 76%, l’abolition des provinces recueille 54%. Seules deux thématiques ne plaisent pas trop aux sondés : la réduction de l’autonomie des institutions locales en faveur de l’augmentation des compétences de l’Etat (45%) et la nomination des sénateurs par les conseils régionaux (36%)’’. » 

ANALYSE, Corriere della Sera M. Franco « Le centre droit silencieux qui peut modifier les pronostics » : « Analyser la campagne avec les logiques des partis peut désorienter. A gauche comme à droite plusieurs électeurs sont prêts à ne pas suivre les décisions venant d’en haut. Et cette situation explique le grand nombre d’indécis et projette une ombre sur le résultat final. Et l’absence de Berlusconi pour des raisons de santé prive l’un des leaders du ‘’non’’ de la scène politique. Cela désoriente le monde berlusconien en partie hésitant à se rallier à Beppe Grillo et à l’aile gauche des démocrates, tout comme à Salvini [Ligue du Nord], l’allié haï. D’où la volonté de Renzi de se présenter dans un profil plus modéré pour séduire l’électorat de centre droit ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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