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03/02/2015

Itaie : "Le centre droit à la dérive et sans alternative".

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Italie. Revue de presse. 

UNES : « Mattarella, arrêtons l’antipolitique » (La Repubblica), « Mattarella, un discours attentif aux besoins de ses concitoyens » (La Stampa) 

COMMENTAIRE, La Repubblica S. Folli « Le prétexte du protocole » : « A l’occasion du serment de Sergio Mattarella, Berlusconi sera lui aussi présent en tant qu’ancien président du Conseil. Cette fois-ci le protocole servira à cacher une exigence politique : la volonté de faire baisser les tensions qui ont marqué le vote au Parlement pour la nomination du nouveau président de la République. L’invitation du Quirinal et la remise de peine pour Berlusconi calment l’humiliation de ce dernier mais ne serviront pas à restaurer le pacte du Nazareno avec Renzi ». 

UNES : « Gouvernement, affrontement Renzi-alliés » (Corriere della Sera, Messaggero) 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera M. Franco « Le centre droit à la dérive et sans alternative » : « On assiste à une débandade progressive des deux partis, Nuovo Centro Destra et Forza Italia, avec des défections. Ajoutons aussi  l’attitude du président du Conseil Renzi : celui du gagnant qui n’est pas disposé à céder d’un pas. Et l’idée de reconstituer une alliance avec la Ligue est rejetée directement par le secrétaire Matteo Salvini, qui parle d’ ‘’opération fictive’’ ». 

Corriere della Sera E. Marro  « Tsipras aujourd’hui à Rome pour rencontrer Renzi» : « La Grèce cherche le soutien de l’Italie pour la renégociation de la dette». 

EDITORIAUX 

Il Messaggero G. Sapelli « Nouvel axe sur la Grèce pour favoriser le tournant UE » : « Le FMI fait savoir que ses dirigeants sont d’accord avec les propos du Président américain et s’apprêtent ainsi à tendre la main aux gagnants de Syriza. La Russie ayant des relations économiques très étroites avec la Grèce, Moscou serait un partenaire prêt à remplacer l’UE s’il s’agissait de sauver la Grèce d’une situation financière grave. A l’occasion de la rencontre d’aujourd’hui, Renzi et Tsipras devraient lancer un message clair faisant devenir la fin de l’austérité un véritable choix politique. C’est aux deux jeunes chefs de ne pas gâcher ce climat favorable ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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