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04/05/2013

Manifestation de commémoration des victimes du bolchévisme et du sionisme.

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Hongrie. Budapest. Alors que le Congrès juif mondial organise une réunion durant trois jours à Budapest, plus de 800 personnes se sont réunies ce samedi 4 mai 2013 au matin afin de commémorer les victimes du bolchévisme et du sionisme. Le rassemblement a commencé par le respect d’une minute de silence afin de rendre hommage à toutes les victimes de la seconde guerre mondiale. Les messages enregistrés d’un pasteur protestant et d’un rabbin antisioniste ont été diffusés.

Le Député du Jobbik Márton Gyöngyösi a fait l’éloge des propos du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan qui estime que le sionisme est inhumain.

Le Vice-président du Jobbik Levente Murányi se demande pourquoi il n’y a pas eu un Nuremberg communiste en 1990, après la chute du Rideau de fer.

Le président du Jobbik Gábor Vona a dénoncé le fait que le Premier ministre conservateur Viktor Orbán a tenté de faire interdire la manifestation par tous les moyens légaux. Selon Gábor Vona, le provocateur est Israël et pas le Jobbik. Il ajoute que les colonisateurs israéliens doivent chercher un autre pays car la Hongrie n’est pas à vendre et que les députés qui détiennent la double nationalité hongroise et israélienne doivent démissionner. Gábor Vona estime qu’Israël doit respecter les droits des Palestiniens et que les juifs hongrois doivent s’excuser pour les crimes commis par la République des conseils de Hongrie après la Première guerre mondiale et le régime communiste de Mátyás Rákosi (né Mátyás Rosenfeld) après la deuxième guerre mondiale.

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Affiche de la manifestation contre le bolchévisme et le sionisme.

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Gábor Vona

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