08/11/2012
Ma convention identitaire.
Voici le récit de mon séjour à Orange. J’arrive le vendredi 2 novembre 2012 au soir à l’hôtel où je loge. J’y rencontre d’autres invités de la Convention identitaire : Claude Chollet, Philippe Carlin, Francis Puyalte.
Le public arrive
Le samedi, un véhicule vient nous chercher et nous conduit à l’endroit où se tient la conférence. Je m’installe afin de dédicacer mon livre sur Jörg Haider. Je discute avec le libraire niçois Benoît Loeuillet qui a dressé un stand.
J’aperçois le Député européen Mario Borghezio de la Ligue du Nord et parle avec lui. Les discours et conférences débutent. Les orateurs se succèdent à la tribune.
Les jeunes identitaires qui ont réalisé l'occupation du toit de la mosquée de Poitiers sont présents (sauf les 4 qui sont contraints par la justice de rester dans leur département).
Philippe Vardon explique qui sont les personnes présentes au sein des stands à l’ancien Député UMP Christian Vanneste et me le présente. Ce dernier me dit qu’il est lui aussi d’origine belge et que son nom est flamand.
La table ronde regroupe Thibault Damily, Benoît Loeuillet, Francis Puyalte, Philippe Carlin, Louise Demory, Lionel Baland
Je rencontre divers lecteurs qui me connaissent par mon site Internet, Novopress, Minute,…
Le samedi soir, un véhicule nous conduit à l’endroit où se déroule le banquet.
Le dimanche, la convention se poursuit. Je visite ensuite la ville en compagnie de l’écrivain Francis Puyalte.
Nous nous rendons le soir chez un couple de lecteurs qui m’a invité à son domicile afin d’y passer la soirée.
Le lundi, je quitte Orange et retourne chez moi.
Cette convention a été l’occasion de rencontrer de nombreuses personnes et de discuter avec elles. J’ai pu également grâce aux discours et débats qui se sont succédés apprendre un certain nombre de choses dans divers domaines. Des liens et contacts ont également été noués avec plusieurs personnes de la mouvance politique patriotique.
Les occupants du toit de la mosquée de Poitiers, Philippe Vardon, Fabrice Robert, Lionel Baland, Benoît Loeuillet
03:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
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