11/05/2012
Le PdL aboit sans pouvoir mordre.
« Le pacte renouvelé avec le Quirinal d’un Monti combatif » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : […] Au fond, les partis, PdL mais aussi PD, aboient sans pouvoir mordre. Berlusconi sait que renverser Monti équivaudrait à livrer l’Italie à un destin à la grecque, et il a conscience que la partie se joue surtout en Europe, ce qui impose de ne pas déstabiliser Monti, seul à pouvoir négocier avec Merkel et Hollande une solution bonne pour l’Italie. D’où l’appel du Cavaliere à trouver ‘avec l’opposition’ (c’est-à-dire le PD) un accord sur les réformes – on en est loin, mais le propos est d’abord politique. Berlusconi laisse ainsi entendre qu’il n’a pas l’intention de diviser la large non-majorité qui tient le gouvernement sur pied. […]
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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