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18/12/2011

Les sozis pris de panique.

Autriche. Le mot « sozi » est une abréviation, souvent péjorative, utilisée par les adversaires des socialistes/sociaux-démocrates afin de les désigner. Le mot « nazi » était une abréviation péjorative utilisée par les adversaires du national-socialisme afin de désigner les nationaux-socialistes.

 

Les sozis, pris de panique face aux résultats des sondages donnant les patriotes du FPÖ (Parti libéral de tendance nationale) à égalité avec le SPÖ (Parti social-démocrate depuis 1991. Parti socialiste entre 1945 et 1991), utilisent les bonnes vieilles recettes afin de diaboliser et d’incapaciter politiquement leurs adversaires.

 

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Sondage Gallup.

La revue « Kompetenz » du Syndicat des employés du privé, de l’impression, du journalisme et du papier conduit l’attaque. Cet organisme est proche du SPÖ (Parti social-démocrate).

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"Danger de droite ! La démocratie menacée !" 

Nous lancerons bientôt sur ce site une petite rubrique intitulée « Les racines brunes du Parti socialiste autrichien.» Nous montrerons ainsi que la presse francophone a manipulé l’information en présentant le FPÖ (Parti libéral autrichien), dirigé autrefois par Jörg Haider et de nos jours par Heinz-Christian Strache, et son ancêtre la VdU comme ayant été un parti d’anciens nationaux-socialistes. Suite à une série de recherches, il apparaît que si le Parti libéral FPÖ a bien eu à sa tête, à certains moments, d’anciens nationaux-socialistes; à d’autres moments le FPÖ a été dirigé par des anti-nationaux-socialistes victimes de cette idéologie, ou des personnes qui n’ont rien eu en commun avec ces idées. Dans la société de l’après-guerre, la VdU et le FPÖ ont recueilli tant des nationaux-socialistes que des anti-nationaux-socialistes victimes de ce système.

 

Le Parti socialiste (SPÖ) a quant à lui recyclé massivement après la guerre de nombreux nationaux-socialistes. Avant, pendant et après la guerre, de nombreuses connexions ont existé entre les socialistes et les nationaux-socialistes. (Pour bien comprendre qu’avant, pendant et après la guerre des ponts ont été établis entre la mouvance socialiste/social-démocrate et le national-socialisme, il faut intégrer l’idée que les socialistes de l’époque n’étaient pas pénétrés par les idées permissives, dans toute une série de domaines, qui sont en vigueur de nos jours au sein des milieux de gauche... et de droite.)

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