Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/04/2011

Ambiance de guerre civile dans le Nord de la Hongrie.

Jobbik.jpg

Un correspondant hongrois nous envoie des informations à propos de la situation dans le Nord de la Hongrie. Certains des événements ont déjà été relatés sur ce site Internet.

 

À Gyöngyöspata, une ville où des centaines de Tsiganes terrorisent les Hongrois ethniques, règne une ambiance de guerre civile. Depuis que les membres de la Szebb Jövőért Polgárőr Egyesület (SzJPE - Garde civile pour un futur raisonnable) ont débuté des patrouilles à Hajdúhadház, une petite ville de 12.000 habitants située au nord de Debrecen où vivent de nombreux Tsiganes, les habitants de la Gyöngyöspata ont invité cette association à patrouiller dans la ville afin de les protéger de la terreur. Dés leur arrivée à Gyöngyöspata, les membres de la Garde civile ont débuté les patrouilles dans les rues et arrêtés des délinquants en action. Mais la police a arrêté 3 membres de la Garde civile ainsi que 2 sympathisants de la Garde civile qui récoltaient des signatures afin de supporter la présence de la Garde civile dans la ville, plutôt que d’arrêter les délinquants. De nombreux habitants de la ville, parmi lesquels quelques Tsiganes, ont signé la pétition. Lors d’un procès rapide, la Tribunal pénal de Debrecen a levé toutes les charges pesant sur les 5 personnes arrêtées et a ordonné leur remise en liberté immédiate. Le juge a mis en avant le fait que collecter des signatures est le droit constitutionnel de chaque citoyen. La police a fait appel de la décision mais la Cour du Comté de Hajdú-Bihar a rejeté la demande de la police. 7.000 des 12.000 habitants de la ville de Hajdúhadház ont signé la pétition en vue de supporter la Garde civile.

 

Le Maire Jobbik de Tiszavasvári a instauré le première force de gendarmerie du pays depuis le seconde guerre mondiale et demandé une enquête fiscale sur 17 personnes qui prêtent de l’argent à des taux prohibitifs. Les droits et possibilités de la gendarmerie sont très similaires à ceux de la Garde civile. Le maire de Tiszavasvári a déclaré que la gendarmerie a fait beaucoup pour les personnes avant d’être démantelée par les bolchéviques en 1945.

 

Pendant ce temps, un couple de personnes âgées a été tué dans leur maison à Szikszó. Le police a tu complètement cet événement.

 

Retour à Gyöngyöspata. Le LMP (Parti écologiste-libéral) s’est joint à des activistes des droits des minorités afin de mettre en place une opération spectaculaire anti-Hongroise à Gyöngyöspata. Soutenu par un homme d’affaire américain, ceux-ci ont mis en place une spectaculaire opération visant à évacuer des centaines de Tsiganes de la ville sous le prétexte de les protéger de la force de défense Véderő qui s’entrainait dans la ville. Des centaines de Tsiganes, la plupart étant des enfants et des femmes, ont été transportés dans un centre de refuge par la Croix-rouge hongroise. Les médias internationaux ont lancé une campagne hystérique en Europe et aux États-Unis. Le commandant de la force de défense Véderő, Tamás Eszes, et sept autres membres de cette organisation ont été arrêtés à Gyöngyöspata, mais la justice d'Eger les a libérés après 3 jours. Les Tsiganes évacués sont ensuite rentrés à Gyöngyöspata, où une Tsigane a agressé violement une dame âgée à la gare des bus. Elle n’a pas été arrêtée alors que la dame âgée à été hospitalisée.

 

La police ne pouvant pas mettre en prison les membres de la Garde civile et de Véderő, car aucune loi n’interdit ce genre d’activité, le Premier ministre conservateur Viktor Orban a signé une loi bannissant la formation et les activités de telles organisations.

 

À Gyöngyöspata, 80 à 100 Tsiganes ont attaqué 4 Hongrois à la barre de fer et jetté des briques sur des Hongrois. Les 4 personnes attaquées ont été hospitalisées. Une est dans un état grave. Ces Tsiganes ont prétendu qu’ils avaient été attaqués par 50 à 60 Hongrois.

 

Le Député du Jobbik Gyula Zagyva décrit l’incident de Gyöngyöspata : "Une famille locale donnait une fête d’anniversaire lorsqu’aux environs de 21h une horde de Tsiganes apparut devant la maison. Cette horde avait déjà attaqué un bâtiment du gouvernement local durant la journée. Les Tsiganes ont menacé cette famille parce qu’elle a abrité des membres de la Garde civile. La police a été appelée. Elle a refusé d’enlever les Tsiganes de la rue. Le ton est monté entre les membres de la famille et les policiers qui ont utilisé des gaz lacrymogènes contre les membres de la famille. La police a mis à terre le frère du propriétaire de la maison. Une plainte a été déposée contre la police. Pendant que la police s’occupait des membres de la famille, 4 invités qui arrivaient à la soirée d’anniversiare ont été attaqués par les Tsiganes."

 

Le maire de Gyöngyöspata a démissionné de ses fonctions. Deux personnes sont candidates à son poste : Oszkár Juhász du Jobbik et Tamás Eszes du Véderő.

Les commentaires sont fermés.