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12/07/2021

Frères d'Italie dépasse désormais clairement la Ligue dans les intentions de vote.

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Italie. Le parti patriotique Frères d'Italie dépasse désormais clairement le parti patriotique Ligue dans les intentions de vote.

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Frères d'Italie : patriotes

Ligue : patriotes

Parti Démocrate : centre-gauche

M5S : anti-système

Forza Italia : conservateurs

Législatives en Bulgarie : les polulistes du centre arrivent premiers, les patriotes n'ont pas d'élu.

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Bulgarie. Lors des élections législatives de ce 11 juillet 2021, les populistes du centre et europhiles arrivent premiers :

https://www.lalibre.be/international/europe/bulgarie-le-p...

Les patriotes n’obtiennent pas d’élu :

Patriotes bulgares (qui rassemblent le VMRO - Mouvement national bulgare, le Front national pour le salut de la Bulgarie et le mouvement Volya) : 3,16 %

Renaissance : 2,97 %                            

(Été bulgare : 1,81 %)          

Ataka : 0,47 %

                

(https://results.cik.bg/pi2021_07/rezultati/index.html)

Moldavie : les europhiles gagnent les élections législatives.

Moldavie. Lors des élections législatives du 11 juillet 2021, le parti de centre-droit europhile Action et solidarité (Pas) obtient 63 sièges (soit + 48) sur 101.

Le Bloc électoral des communistes et socialistes, eurosceptique et russophile, décroche 32 sièges (soit – 3).

Le Parti Șor, de droite, eurosceptique et russophile, a 6 sièges (soit -1).

 

(Igor Dodon est un des deux dirigeants du Bloc électoral des communistes et socialistes et entretient de bonnes relations avec les patriotes d’Europe occidentale :

http://lionelbaland.hautetfort.com/apps/search/?s=Dodon)

Judit Varga, ministre hongrois de la Justice : "Les parents ont le droit exclusif d'éduquer leurs enfants."

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par Judit Varga, ministre hongrois de la Justice

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La Hongrie a touché une corde sensible au Parlement européen avec sa loi sur la protection des enfants.

"La Commission européenne (CE), avec le soutien du Parlement européen (PE), désire que la Hongrie autorise les militants et les organisations LGBTQ à entrer dans les jardins d'enfants et les écoles, mais la Hongrie ne le souhaite pas", a déclaré le ministre de la Justice lors de l’émission Vasárnapi újság de Radio Kossuth. Elle a ajouté : "nous avons touché un point sensible". Bien que la loi sur la protection de l'enfance ne viole aucune norme européenne, elle irrite la CE et le PE.

Judit Varga considère que cette loi est une agression contre la Hongrie et le gouvernement hongrois.

Le ministre a déclaré que le gouvernement hongrois avait mis de côté la première demande, très grossière. Normalement, la CE accorde un délai de deux mois lorsqu'elle contacte les États membres pour répondre aux préoccupations concernant la non-conformité de la législation avec les normes européennes. Dans ce cas, cependant, la Hongrie n'a eu qu'un délai d'une semaine. Elle avait jusqu'à la fin du mois de juin pour répondre à la lettre de la CE du 23 juin, ce qu'elle a fait. Judit Varga a déclaré que la CE dit également une contre-vérité lorsqu'elle prétend qu'une réponse n'a été reçue que le 1er juillet, c'est-à-dire après le délai fixé.

La politicienne a poursuivi en disant qu'elle "rejette fondamentalement" l'idée que la CJCE ou tout autre organe européen puisse dicter la façon dont les Hongrois doivent vivre et penser, et comment les parents hongrois doivent éduquer leurs enfants.

"C'est le principal argument de notre réponse à la CE", a-t-elle déclaré. Le ministre a noté que le gouvernement avait recherché un dialogue très constructif avec les organes de l'UE. Néanmoins, dit-elle, la lettre de la Commission affirme que la Hongrie a violé presque toutes les normes européennes avec la loi sur la protection de l'enfance. Le gouvernement hongrois rejette cette position, affirmant que le domaine en question relève de la compétence des États membres et que la Charte des droits fondamentaux de l'UE stipule que seuls les parents ont le droit de déterminer l'éducation de leurs enfants.

Judit Varga a également déclaré qu'un dialogue très constructif sur les plans de relance était en cours depuis des mois et que le plan de relance de la Hongrie était élaboré dans le respect des règles de l'UE. Cependant, depuis la loi sur la protection de l'enfance, de nouvelles exigences ont été formulées par la Commission, a-t-elle déclaré, ajoutant que les deux ne peuvent être liées car elles n'ont rien à voir l'une avec l'autre.

Concernant Věra Jourová, la vice-présidente de la Commission européenne qui est à la pointe de la campagne visant à retenir l'argent de la Hongrie, Judit Varga a déclaré : "Elle avance tous ses arguments sur la base de contradictions, sans aucune recherche. La vice-présidente semble avoir oublié qu'elle a dû faire marche arrière il y a quelques mois après avoir critiqué la législation hongroise sur la protection contre le coronavirus."

Judit Varga. ajoute : "L'argent dû au peuple hongrois ne peut être lié à des conditions idéologiques. Cela a été clairement énoncé dans l'accord conclu par les chefs d'État et de gouvernement en décembre dernier."

Cet article a été publié en premier lieu par MAGYAR NEMZET, notre partenaire de la COOPÉRATION MÉDIA EUROPÉENNE.

"Décolleté ne signifie pas prostituée. Le Vlaams Belang protège nos femmes." 

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Belgique. 

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"Décolleté ne signifie pas prostituée. Le Vlaams Belang protège nos femmes." 

Les JT couvrent essentiellement la victoire de l'Italie en finale de l'Euro.

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Italie. Revue de presse.

Matteo Salvini (Ligue) : https://twitter.com/i/status/1414347579513614348

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Giorgia Meloni (Frères d'Italie)

L'accord entre le fondateur B. Grillo et le chef désigné G. Conte sur les nouveaux statuts du Mouvement 5 Etoiles est aussi cité : « Entente Conte-Grillo mais l'ancien président du Conseil attaque sur la justice » (Corriere della Sera), « Conte-Grillo, un accord inespéré mais les divisions sur la justice demeurent » (La Repubblica), « Conte est le chef du M5S » - Et demande à modifier la réforme de la justice (Il Messaggero).

Les JT couvrent essentiellement la victoire de l'Italie en finale de l'Euro ainsi que la fête des supporters dans tout le pays, la réception des champions au Quirinal et au Palais Chigi prévue cet après-midi, la défaite de Matteo Berrettini lors de la finale de Wimbledon, et enfin l'accord trouvé entre Conte et Grillo sur le mouvement M5S.

ARTICLE, Il Messaggero, « Loi contre la transhomophobie, la Ligue tente de séduire Italia Viva » : « C’est un véritable rameau d’olivier que la Ligue a voulu tendre à IV : le souhait est de renforcer l’entente entre M. Renzi et M. Salvini pour une dernière tentative visant à bloquer le début du débat au Parlement sur le projet de loi Zan (contre l’homophobie, prévu pour le 13/07, nldr). Hier, M. Renzi a lancé un appel au PD, au M5S et à LeU à dialoguer avec la Ligue et Forza Italia puisque ‘’le texte ne passera pas’’. Or les démocrates, par le biais de D. Parrini, estiment que ‘’l’objectif de Salvini n’est pas d’améliorer le projet de loi mais de l’ensevelir’’. La discussion générale commencera demain à 16h30. Le même jour, à 15h00, se tiendra une séance en Commission où le président, le léguiste Ostellari, a inséré à l’ordre du jour le projet de loi Zan. Si la Commission devait s’exprimer pour demander au Sénat de lui renvoyer le texte pour une nouvelle discussion, la Chambre Haute ne pourrait que voter sur ce point. On retournerait alors à la case de départ. »

ARTICLE, Corriere della Sera, « Letta : ‘nous pouvons avancer avec le M5S’, mais au sein du PD on craint les effets de l’usure » : « C’est une nouvelle positive, j’étais sûr qu’ils pourraient trouver les motivations pour continuer à avancer ensemble ». La satisfaction du secrétaire du PD est nette, alors que l’on craignait que le M5S ne se défile sur le vote de la réforme de la justice. Mais dans le parti le soulagement n’est que partiel, car une sortie du M5S de la majorité conduirait à une situation où le PD se retrouve seul avec Salvini à soutenir le gouvernement. Le ministre des affaires étrangères, Luigi di Maio, assure à ses partenaires de gouvernement que personne n’envisage de faire défaut à Mario Daghi au sein du mouvement. Malgré les tensions récentes, Enrico Letta assure que sa relation avec Giuseppe Conte est bonne et que l’alliance qu’il envisage de sceller avec le M5S est toujours d’actualité. L’assurance du secrétaire pourrait être contredite dès demain, jour de vote sur la loi Zan au Sénat et où des défections au sein du M5S sont à craindre ».

COULISSES, La Repubblica, M. Pucciarelli, « La première mission de Conte : jouer aux enchères avec Draghi » : « La recomposition du M5S ne représente pas une nouvelle vraiment positive pour Mario Draghi. Le nouveau Mouvement, doté désormais d’un leadership clair et légitime, à l'intention de revenir dans l'arène et de faire entendre sa voix, qui est celle du premier groupe parlementaire avec 161 députés et 75 sénateurs. Nous assisterons ainsi à la fin du compromis au rabais de la part des 5 Etoiles. Mais il ne faut pas pour autant croire à ceux qui voient le M5S passer rapidement dans l’opposition. Le plan pour les prochains mois est d’avancer sur les batailles sociales, à commencer par le salaire minimum et la défense du revenu de citoyenneté, qui se trouve déjà dans le collimateur de Renzi et de Salvini. Mais il y a aussi le problème de la fin du gel des licenciements : cette bataille pourrait représenter le terrain parfait pour renouer avec le PD de Letta. La conviction générale est que l’exécutif de large coalition d'aujourd'hui est trop déséquilibré vers la droite et vers les intérêts des grandes entreprises. Le 23 juillet, la Chambre commencera ses travaux sur la réforme de la justice présentée par la ministre Cartabia. Le M5S a déjà annoncé vouloir livrer bataille par le biais d’amendements. A partir d’aujourd’hui, le Palais Chigi aura d’autres préoccupations ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)