"Centre droit : l’alliance prend forme mais pas les programmes."
10/11/2017
Italie. Revue de presse.
Ostie/agression d’un journaliste par un membre d’un clan mafieux UNES - « Ostie, Spada arrêté, le quartier le défend. » (Il Messaggero).
ARTICLE, Messaggero, « Roberto Spada a été arrêté hier, mais le quartier le défend : insultes aux carabiniers : ‘’vous êtes des ratés, lui est le roi’’, des magasins ferment ‘’par respect’’» : « Pour l’accusation, l’agression du journaliste est une ‘’manière évidente de réaffirmer son rôle sur le territoire’’ ».
Agression du journaliste :
http://www.parismatch.com/Actu/International/Indignation-...
REPORTAGE, La Repubblica, F. Merlo : « Le moindre mal dans la ville noire » : « Les tourments d’Ostie, qui est à Rome et hors de Rome, pourraient bientôt devenir les tourments de l’Italie. Les électeurs, surpris par les résultats de dimanche, devront rechercher le moindre mal : choisir entre Grillo, considéré par plusieurs personnes comme un ’’véritable malheur’’ et les fascistes ».
EDITORIAL, La Repubblica, P. Ignazi « La métamorphose de la droite » : « Que Berlusconi puisse s’ériger en défenseur des institutions fait tout simplement sourire. Il fait des promesses qu’il ne pourra pas maintenir, il s’adresse aux Italiens les plus pauvres et les plus faibles après une longue crise économique. Il relance le même programme politique avec une alliance avec la Ligue du Nord, avec laquelle il avait introduit dans le pays le populisme».
ARTICLE La Stampa A. La Mattina « Centre droit : l’alliance prend forme mais pas les programmes » : « Si les secrétaires des trois partis (Forza Italia, Ligue et Fratelli d’Italia) assurent que l’accord est proche, les positions restent éloignées. Reste encore à fixer la date pour discuter de la coalition et des collèges uninominaux. Berlusconi, Salvini et Meloni veulent d’abord comprendre quelle sera la date des élections ».
ARTICLE, Corriere della Sera, P. Di Caro, « Berlusconi prépare sa campagne” : « Deux listes civiques de centre avec Forza Italia. « L’ex premier ministre Berlusconi affiche sa stratégie : “nous devons être le contraire des "grillini" c’est-à-dire être une force tranquille’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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