Geert Wilders reprend la campagne australienne contre l’afflux de réfugiés.
28/04/2015
(via fdesouche.com)
Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders utilise la campagne australienne contre l’afflux de réfugiés.
« Pas question. Vous ne ferez pas des Pays-Bas votre chez-vous. Environ un million de personnes sont prêtes à quitter la Libye et à se rendre en Europe sur des embarcations de fortune. Elles sont victimes de passeurs sans scrupules. Des milliers de personnes se noient : hommes, femmes et enfants. Des images poignantes diffusées tous les soirs à la télévision nous remplissent tous de dégoût. Mais aussi longtemps, mais tant que des centaines de milliers réussissent à atteindre l’Europe, les immigrants continueront de tenter la traversée. L’Union Européenne veut maintenant que des navires de guerre patrouillent le long de la côte libyenne au plus près afin de ramasser les immigrés et de leur permettre de rejoindre sains et saufs l’Europe. De la sorte, davantage de migrants en quête de fortune tenteront la traversée.
L’Australie aborde ce problème de manière beaucoup plus sage. Elle renvoie les réfugiés sur des bateaux sûrs, elle les renvoie vers leur pays d’origine. Ils appellent cela le « push-back » (le refoulement). Le PVV déclare faisons aussi cela, que les marines européennes patrouillent au large des côtes de l’Afrique du Nord et qu’elles refoulent tous les immigrants sans exception avec fermeté, mais en toute sécurité. C’est ainsi que le flux se tarira et que le problème disparaîtra de lui-même. Ce n’est qu’ainsi que les gens ne se noieront plus et qu’ils ne seront plus la proie d’horribles contrebandiers. Ce n’est qu’ainsi que l’Europe ne sera plus submergée par ces migrants économiques. La convention européenne des droits de l’homme, ratifiée par les Pays-Bas, garantit un libre passage aux immigrants. Nous voulons suspendre le traité parce que les contrebandiers nous rient au nez. L’Australie est un pays civilisé. Il aborde ce problème de manière civilisée et sage. Suivons l’exemple australien.
Mon message est donc clair : « Il n’y a pas de manières, il n’y a pas de manières de faire des Pays-Bas votre chez-vous. » »
(Traduction : Diberville pour Fdesouche)
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