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26/04/2018

HC Strache opposé aux meetings électoraux turcs en Autriche.

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Autriche.

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Heinz-Christian Strache, Vice-chancelier et président fédéral du FPÖ : "Les meetings électoraux turcs ne sont pas souhaités en Autriche."

Johann Gudenus à propos de la fondation de George Soros.

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Autriche. 

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Johann Gudenus, chef de file des élus du FPÖ à la Chambre des députés : "La fondation Soros est contre l'interdiction du port du voile et de la burqa et ainsi pour la propagation de l'islam politique. Encore des questions ? "

"Difficultés entre le M5S et le PD, Fico lève le pied."

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Italie. Revue de presse.

Gouvernement-Consultations - Unes : « Le PD se divise, l’entente avec les 5 Etoiles en difficulté » - (Corriere della Sera), « Martina tenté mais le PD se divise » - ‘’Opposition de Renzi, Di Maio sonde ses militants’’ (La Repubblica), « Gouvernement et PD, la controffensive de Renzi » - ‘’L’ancien secrétaire du PD prévient les siens’’ (La Stampa), « Difficultés entre le M5S et le PD, Fico lève le pied » - ‘’Renzi s’oppose, Martina tenté’’ (Il Messaggero), « M5S-PD, les militants des deux partis disent non » (Il Mattino).

ARTICLE, Corriere della Sera, M. Breda : « Mattarella inquiet. Prêt à donner davantage de temps » : « Aujourd’hui, il faudrait une invention géniale pour sortir de l’impasse de la formation d’un nouveau gouvernement. Sergio Mattarella la cherche en vain depuis 53 jours et maintenant Roberto Fico est en train de chercher une hypothèse praticable d’accord entre M5S et PD. Ce sera Fico qui devra donc tracer une évaluation et peut-être demander davantage de temps. Le président Mattarella, même si très préoccupé, est disponible à le lui accorder ».

RETROSCENA (Coulisses), Corriere della Sera, F. Verderami : « Pour Gentiloni [Parti Democrate] l’axe est « improbable ». Le froid de Renzi sur Mattarella » : « Renzi n’est pas pour un accord possible avec le M5S pour la formation d’un nouveau gouvernement. Il n’a aucune intention d’être le chauffeur qui les accompagnerait au Palais Chigi. Le mandat de Mattarella à Roberto Fico, trop rapide selon les partisans de Renzi, ‘’n’a pas aidé la situation’’. Paolo Gentiloni, improprement placé parmi ceux qui veulent négocier, pense comme Renzi même si sa position est moins rigide : il n’a pas l’intention d’entraver complètement le dialogue avec le M5S ».

ARTICLE Il Messaggero M. Ajello « Le 25 avril comme compromis pratique pour aller au gouvernement » : « L’entretien à l’issue de la célébration de la Fête de la Libération entre le président du Conseil P. Gentiloni (PD) et le président de la Chambre R. Fico (M5S) a de fait représenté le symbole d’une tentative d’entente entre les deux partis. La gauche a toujours utilisé le 25 avril, pendant ces 72 ans de République. Maintenant, ce sont les 5 Etoiles. Ceci représente un point en commun que les deux partis tentent d’exploiter : transformer la fête en une sorte de laboratoire ».

[Le 25 avril marque la libération, lors de la Seconde Guerre mondiale, des villes de Milan, Turin et Gênes.]

ENTRETIEN de Sandro Gozi, secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes : « ‘’Maurizio (Martina) fait erreur, il doit être garant de tous’’ » (Corriere della Sera) : « ‘‘ Ce que le M5S est en train de nous proposer pour trouver un accord est déjà suffisant pour dire non. Les Cinq Etoiles veulent supprimer le Jobs Act et la loi Fornero sur les retraites alors que nous sommes contre. Maurizio Martina [secrétaire régent du PD, ndt.] n’a pas été garant de la position de tous, on l’a compris tout de suite de sa déclaration à la sortie de sa rencontre avec Fico. Il a pris une position nette en faveur de l’accord avec les Cinq Etoiles. Il n’a pas été impartial et il a pris une voie précise, en devenant l’une des parties impliquées ‘’ ».

RETROSCENA (Coulisses), Corriere della Sera, F. Fubini : « Les « craintes » de Moscovici : ‘’ La Ligue ? Alliée de Le Pen. Un cinquième des Italiens a voté extrême droite » : « Pierre Moscovici, commissaire UE, a parlé en toute franchise de ses craintes pour la situation politique italienne. A l’occasion des rencontres de printemps du FMI, il a souligné que la victoire de Macron sur le nationalisme anti-européen de Marine Le Pen n’était pas une bataille gagnée mais la fin de la guerre. C’est l’Italie qui le préoccupe le plus, un Italien sur 5 a voté pour l’extrême droite et Matteo Salvini est un allié de Marine Le Pen. Si son parti devient le premier en Italie, cela aura une valeur très forte pour l’extrême droite ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)