05/12/2016
Geert Wilders souhaite une excellente soirée de Saint-Nicolas.
Pays-Bas.
"Je souhaite à chacun une agréable soirée de cadeaux de Saint-Nicolas."
18:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : les jeunes ont voté "Non".
Italie. 68 % des personnes âgées de 18 à 34 ans, 63 % des personnes âgées de 35 à 54 ans et 49 % des plus de 54 ans ont voté pour le "Non" lors du référendum constitutionnel.
14:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Comportement électoral d'après la préférence de parti.
Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles de ce 4 décembre 2016, 10 % des électeurs sociaux-démocrates, 45 % des électeurs sociaux-chrétiens, 99 % des électeurs FPÖ et 1 % des électeurs écologistes ont voté pour Norbert Hofer.
"Comportement électoral d'après la préférence de parti. En cas d'élections législatives anticipées, à quel parti accorderiez-vous votre voix?"
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : conservateurs/sociaux-chrétiens
FPÖ : patriotes
Grüne : écologistes
14:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les électeurs de Norbert Hofer sont pessimistes.
Autriche. Les électeurs de Norbert Hofer sont pessimistes :
" "Qu'attendez-vous pour les cinq prochaines années? Votre qualité de vie personnelle s'améliorera, se détériorera, ne changera pas."
verbessern : s'améliorer
verschlechtern : se dégrader
nicht verändert : ne pas changer
keine Angabe : pas de données"
13:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
85 % des ouvriers ont voté pour Norbert Hofer.
Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles, 85 % des ouvriers, 40 % des employés, 34 % des fonctionnaires, 49 % des indépendants et 44 % des retraités ont voté pour Norbert Hofer.
Arbeiter : ouvrier
Angestellte : employé
Öff. Bedienstete : fonctionnaire
Selbständige : indépendant
In Pension : retraité
13:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Norbert Hofer obtient ses meilleurs résultats chez les 30 à 59 ans.
Autriche. Lors du deuxième tour bis du scrutin présidentiel du 4 décembre 2016, le candidat du FPÖ Norbert Hofer a obtenu ses meilleurs résultats chez les 30 à 59 ans.
jusque 29 ans
de 30 à 59 ans
à partir de 60 ans
13:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum.
Italie. Les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum du 4 décembre 2016 :
PD : Parti Démocratique (centre-gauche)
M5S
FI : Forza Italia
Lega : Ligue du Nord
Altri elettori : autres électeurs
13:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Divers partis demandent que des élections législatives soient organisées.
Italie. La Ligue du Nord, le chef de file des parlementaires de Forza Italia Maurizio Gasparri et le M5S demandent que des élections législatives soient organisées.
12:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Silvio Berlusconi et Matteo Salvini revendiquent le leadership du centre-droit.
Italie. Revue de presse.
Référendum constitutionnel/démission de Matteo Renzi: UNES : « La vague du ‘’non’’, Renzi démissionne » (Corriere della Sera), « Le non triomphe, Renzi démissionne » (La Repubblica), « L’avalanche du ‘’non’’, Renzi annonce ‘’je démissionne’’ » (La Stampa), « Le ‘’non’’ s’envole, Renzi tombe » (Il Messaggero), « L’Italie a choisi pour le ‘’non’’, Renzi démissionne » (Sole 24 Ore), « Renzi rentre chez lui » (Il Giornale), « La Constitution l’emporte sur Renzi 59 à 41 » (Il Fatto Quotidiano).
Référendum constitutionnel/Démission de Matteo Renzi:
La Repubblica, Mario Calabresi « Le danger d’un saut dans l’inconnu » : « Il y a un an, le Président du Conseil avait eu la malencontreuse idée de transformer le référendum constitutionnel en un plébiscite. Or aucun des Présidents ou Premiers ministres actuels ne gouverne avec un consensus supérieur à 40%. La démission de Renzi était par conséquent un choix inévitable. Il faut ajouter qu’il s’agit là d’un vote qui n’a rien à voir avec le mérite de cette réforme constitutionnelle. Le camp du « non » regroupe aussi bien ceux qui ne veulent rien changer que ceux qui souhaitent renverser la table. Maintenant, le risque est celui d’un retour à l’instabilité : un scénario dont l’Italie n’a vraiment pas besoin. A l’horizon, il n’y a aucune idée forte pour répondre à la crise que connait l’Italie. Grillo n’en a pas, Salvini non plus. Il faut espérer que la droite (comme en France) et la gauche mettront en avant des options rationnelles et que l’on œuvrera pour contrer les populismes. De cette journée historique, il y a surtout un fait surprenant : le taux de participation des Italiens».
ARTICLE, La Repubblica T. Ciriaco « L’après-Renzi » : « Afin d’éviter des élections anticipées, le chef de l’Etat explorera la possibilité de faire naître un gouvernement assurant la stabilité et affrontant le problème de la loi électorale. Le mode de scrutin dit ‘’Italicum’’ ne vaut pas pour le Sénat. L’énorme revers subi rend impossible le retour de Renzi au Palais Chigi. Une chose est claire, aucun gouvernement ne pourra se mettre en place contre Renzi et contre le PD, qui demeure le parti majoritaire au Parlement. L’issue naturelle pourrait être celle de la nomination du ministre de l’Economie Pier Carlo Padoan. Sinon, il y a la figure institutionnelle de Piero Grasso, président du Sénat, qui peut compter sur une bonne relation avec les oppositions. Le nom de Graziano Delrio (Infrastructures et transports), l’un des ‘’renzien’’ du début, est aussi évoqué, tout comme celui du chef de la diplomatie Paolo Gentiloni. Le nom de Dario Franceschini est moins probable. Et plusieurs représentants du PD sont en train d’évoquer le retour de Romano Prodi ».
ARTICLE, Corriere della Sera A. Cazzullo “ Les erreurs du leader” : « Le président du Conseil est resté seul contre tous. Invoquer un plébiscite à l’occasion du référendum constitutionnel était imprudent. Il a déterminé sa stratégie comme si l’Italie n’avait pas changé depuis les dernières élections européennes lors desquelles le PD avait obtenu 41% des voix. Il a surestimé sa côte de popularité et sous-estimé la détresse sociale. Il faut lui reconnaitre, toutefois, d’avoir assumé immédiatement la défaite ».
ARTICLE, La Repubblica G. Casadio « L’affrontement au sein du PD » : « Pour Pier Luigi Bersani, ancien secrétaire du PD qui a choisi le camp du ‘’non’’, la défaite du ‘’Oui’’ et de Renzi ne peut pas ne pas avoir de conséquences au sein du parti. La course pour la reconquête du parti par la minorité « la plus à gauche » ne fait que commencer. Bersani et D’Alema jugent que le leadership de Renzi est arrivé à sa fin, d’où l’hypothèse d’un secrétaire de transition jusqu’au prochain congrès. Dans la course il y a Martina, Speranza, Rossi et Orlando ».
ARTICLE, La Repubblica C. Lopapa « Le centre droit » : « Silvio Berlusconi revendique le mérite d’avoir convaincu les modérés à voter pour le ‘’non’’ et plaide maintenant pour une modification de la loi électorale dite ‘’Italicum’’. Le « Cavaliere » veut tirer bénéfice de cette victoire indiquant qu’il est prêt à un gouvernement de coalition. C’est son grand retour, il y croît depuis qu’il avait répété à Salvini (Ligue du Nord) ‘’le leader c’est moi’’. Mais Matteo Salvini revendique lui aussi le mérite de cette victoire, il a été le premier à apparaître à la télévision et il a invoqué les élections anticipées ».
(Traduction : ambassade de France)
12:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Matteo Renzi annonce sa démission.
Italie. Le Premier ministre Matteo Renzi annonce sa démission du gouvernement après la large victoire du « Non » au référendum en Italie.
07:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les hommes ont voté Hofer et les femmes Van der Bellen.
Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles de ce 4 décembre 2016, 56 % des hommes et 38 % des femmes ont voté pour le patriote Norbert Hofer.
06:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Autriche : les résultats par Länder.
Autriche. Les résultats par Länder (sans les votes par correspondance) : Norbert Hofer (FPÖ) est premier dans 5 des 9 Länder.
00:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Autriche : flux électoraux entre les deux deuxièmes tours de la présidentielle.
Autriche. Les flux électoraux entre les deux deuxièmes tours de la présidentielle.
Hofer (FPÖ)
Van der Bellen
Nichtwähler = abstentionnistes
00:28 | Lien permanent | Commentaires (0)