28/10/2016
Frauke Petry favorable à Donald Trump.
Allemagne. La dirigeante de l’AfD Frauke Petry s’est vue questionnée lors d’un meeting de l’AfD à propos des élections présidentielles aux États-Unis. Elle a déclaré que la politique de ce pays consiste à maintenir l’Allemagne en dessous et la Russie dehors. C'est pourquoi, Frauke Petry favorise Donald Trump qui est prêt à changer cela. Hilary Clinton signifie, pour Frauke Petry, la guerre.
20:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Comité pour le "Non" à la réforme constitutionnelle.
Italie. Comité pour le "Non" au référendum constitutionnel.
19:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Votez "Non" à la réforme constitutionnelle."
Italie.
"Le 4 décembre, votez "Non" à la réforme constitutionnelle Boschi - Renzi."
19:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Silvio Berlusconi adopte une ligne de dialogue.
Italie. Revue de presse.
ARTICLE, Il Messaggero E. Pucci « Berlusconi (Forza Itala) voit Mattarella [le président de la République] et se dit prêt à collaborer après le vote » : « Berlusconi a quitté le Quirinal [résidence du président de la République] en donnant des assurances sur sa contribution à reconstruire un climat de respect réciproque avant et après le référendum. Contrairement à une partie de Forza Italia, Berlusconi n’est pas sur les barricades et a adopté la ligne du dialogue de Stefano Parisi (Forza Italia). Obtenant ainsi en échange une reconnaissance ‘’politique’’ comme interlocuteur présent et futur. L’idée de Berlusconi, vu le petit écart entre les partisans du ‘’Oui’’ et du ‘’Non’’ au référendum, est de revenir dans le jeu. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Geert Wilders ne prendra plus part à son procès.
Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders a décidé de ne plus prendre part au procès qui lui est fait devant le tribunal correctionnel. Il estime que ce procès est politique et que les débats politiques doivent avoir lieu au Parlement et pas devant un tribunal.
[Geert Wilders est poursuivi pour avoir demandé en 2014 dans un café à ses partisans s’ils veulent plus ou moins de Marocains. Ceux-ci avaient répondu « Moins, moins, moins ».]
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